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Discussion: commentaire d'un texte de Hume

  1. #1
    Date d'inscription
    November 2009
    Messages
    1

    Unhappy commentaire d'un texte de Hume

    Bonjour à tous!
    aprés de longues heures de réflexion, j'ai enfin terminer mon développement, mais il me reste un problème avec la conclusion! je sais absolument pas quoi y mettre!
    Le texte en question est extrait du Traité de la nature humaine, vous pouvez trouver le texte sur ce site:
    http://www.oodoc.com/75256-hume-trai...ommentaire.php

    ma conclusion pour le moment est la suivante :
    "En conclusion nous pouvons donc dire que, au travers de ce texte, David Hume cherche à montrer son opposition à la théorie courante qui consiste à croire en l'existence d'un etre purement conscient, qu'il soit nommé "je" ou "moi" et qui serait une substance unique pour chacun et invariable au cours de la vie.
    Pour cela il se base sur ce qui pour lui donne un accés privilégié à la connaissance : l'expérience.
    L'écriture de ce texte place donc Hume comme un opposant au dualisme, qu'il soit Carthésien ou pascalien, le rapprochant ainsi de philosophes comme Spinoza ou Sartres."

    je ne sais pas quoi y rajouter!
    etant donné que je dois rendre mon devoir demain, je vous demanderai de bien vouloir répondre rapidement!
    merci d'avance.

  2. #2
    Date d'inscription
    January 2008
    Localisation
    France/centre
    Messages
    1 460

    Par défaut

    Je ne remets pas en cause votre travail du tout, loin s'en faut, pas plus que votre analyse, car gâce à vous, je travaille également. Aussi en reprenant votre sujet :

    Traité de la nature humaine de Hume !
    "En conclusion nous pouvons donc dire que, au travers de ce texte, David Hume cherche à montrer son opposition à la théorie courante qui consiste à croire en l'existence d'un etre purement conscient, qu'il soit nommé "je" ou "moi" et qui serait une substance unique pour chacun et invariable au cours de la vie. Pour cela il se base sur ce qui pour lui donne un accés privilégié à la connaissance : l'expérience.
    L'écriture de ce texte place donc Hume comme un opposant au dualisme, qu'il soit Carthésien ou pascalien, le rapprochant ainsi de philosophes comme Spinoza ou Sartres."

    Vous voyez et entendez cela après cette étude ? C'est étrange ! Je perçois (percer et voir) que celle-ci m'invite et me relie davantage à l’impermanence, la connaissance de soi, de nous, étant remise toujours en cause à chaque instant ; ce me semble être tout, sauf Sartrien. Le doute n’ayant été que fort peu au cœur de son sujet ! Rappelons-nous ces fourvoyements politiques, assainés telles des vérités incontournables.

    Je ne ressens ni ne vis cela à votre manière. Mais je puis me tromper, n’étant pas professeur.

    Ce texte pour ma part est davantage une « invite ou diktat » nécessaire à s’interroger, se penser de manière empirique, à l’aune du scepticisme ou les passions toujours possibles, enfouies, hourdraient à notre insu, ça et là de nouvelles forfaitures, pour n’aboutir qu’à une justesse relative de notre conscience. Equité chancelante entre le + et le (-) qu’elle aimerait connaître.. Hume nous dit ou nous fait comprendre nos deux mondes déséquilibrés en permanence !

    C’est une proposition ou approche, plutôt binaire, donc « structuraliste » contemporaine de notre immense et défunt LEVY STRAUSS.
    Les mots, leurs voyages, leurs comparaisons ne pouvaient être similaires, cependant ils proposaient une supputation identique, puis puet-être une explication similaire. Le doute est et demeurera le moteur de toutes les croyances et perfections potentielles. De la comparaison naît et vit LA raison ensuite.

    Pour ma part (n’étant ni professeur, ni professorale), j’introduis souvent au cœur de la réflexion, la notion géométrique du papier millimétré sur lequel on peut : dessiner de manière primaire, visualiser, organiser, prévoir, argumenter un certain nombre de « réalités futures » puisqu’initiées et cadrées, laissant peu de doute à la réalisation.
    Pour la construction d'une cathédrâle, les dessins et leur "dessein" étaient des à-plats, qui pouvraient ensuite s'élever, et être réalisés (non exécutées, au sens de tuer).

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