Bonjour,

je suis en train de lire "La connaissance de la vie" de Georges CANGUILHEM qui doit servir à la fois au cours de philo et de lettres. J'ai lu les 50 premières pages mais il y a deux passages que j'ai du mal à comprendre :

le premier est dans l'introduction : "On admet trop facilement l***8217;existence entre la connaissance et la vie d***8217;un conflit fondamental,
La connaissance figerait la vie qui est création x la vie défierait toute connaissance
tel que leur aversion réciproque ne puisse conduire qu***8217;à la destruction de la vie par la connaissance [QUOTE] la connaissance déterminerait ce qui échappe à toute détermination par conceptou à la dérision de la connaissance par la vie. Il n***8217;est alors de choix qu***8217;entre un intellectualisme cristallin
réseau de cncepts qui laisse échapper la réalité: clartéet rigueur pûrement formelles
, c***8217;est-à-dire transparent et inerte
= contraire de la vie
, et un mysticisme trouble
( opaque),
à la fois actif ( plein d'affirmations et sans rigueur)et brouillon" (page 12)

et le second à la fin de la première partie juste après le passage sur le hérisson ^^ : "... la vie c'est la création
ça part dans toutes les directions= la connaissance doit s'efforcer de coller aux créations imprévisibles
: on dira que la connaissance de la vie doit s***8217;accomplir par conversions imprévisibles, s***8217;efforçant de saisir un devenir ( toute puissance de création génère un devenir autre)
dont le sens
La direction et la signification
ne se révèle jamais si nettement à notre entendement que lorsqu***8217;il le déconcerte"
A travers les surprises engendrées par toute création, le sens se révèle, car le sens d'une création continuée ce ne paeut être révélé que par une prise en compte des surprises
(page 49).

Merci en avance de l'aide qu'on m'apportera