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Discussion: Pascal, Pensées.

  1. #1
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    September 2008
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    Par défaut Pascal, Pensées.

    Bonsoir à vous,

    voila j'ai besoin d'un petit coup de pouce pour reformuler le sens de cette phrase et donner une phrase d'explication de cette phrase :

    "Mais quand j'ai pensé de plus près et qu'après avoir trouvé la cause de tous nos malheurs j'ai voulu en découvrir les raison(s), j'ai trouvé qu'il y en a une bien effective qui consiste dans le malheur naturel de notre condition si faible et si misérable que rien ne peut nous consoler lorsque nous y pensons de près."

    Je vous remercie d'avance de votre aide.


  2. #2
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    Bonjour
    Il me semble que pour expliquer ( déplier) le texte il faudrait faire la différence entre les causes effectives de notre malheur et les raisons (d'ordre intéllectuel : réflexion, retour sur)
    Nous pensons à notre condition ( cause, dualité) et nous en sommes affligés! D'où le divertissement...
    Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir

  3. #3
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    Je vous remercie de vos lumières. Je suis un peu plus éclairée.

  4. #4
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    September 2008
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    Je m'excuse de faire un double post mais j'ai besoin d'une petite confirmation

    Citation Posté par admin-philagora Voir le message
    Bonjour
    Il me semble que pour expliquer ( déplier) le texte il faudrait faire la différence entre les causes effectives de notre malheur et les raisons (d'ordre intéllectuel : réflexion, retour sur)
    Nous pensons à notre condition ( cause, dualité) et nous en sommes affligés! D'où le divertissement...
    Cela voudrai dire que lorsque l'on pense a notre malheur on est encore plus malheureux ?

  5. #5
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    April 2001
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    France -
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    Oui. On peut dire ça
    Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir

  6. #6
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    September 2008
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    Merci beaucoup.

    J'ai une autre question.

    "L'unique bien des hommes consiste donc à être divertis de penser à leur condition ou par une occupation qui les en détourne, ou par quelque passion agréable et nouvelle qui les occupe, ou par le jeu, la chasse, quelque spectacle attachant, et enfin par ce qu'on appelle divertissement."

    Je ne comprend pas le sens de "divertis de penser". Serait'il possible de m'éclairer ?

    Merci.

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