Tout aurait du être centré...j'ai du perdre l'habitude...
Repenti
A l'extrémité douloureuse de mes sens,
Tu fais de moi ton supplicié, ton anononyme.
Sur la croix de ton être je me plaîs à outrance,
Et ce péché prodigue conduira à l'abîme.
Ma caresse s'appose sur ton ventre angevin
Et mes baisers de vin échouent sur ta poitrine.
Mes mains stygmatisées font rougir le divin,
Quand posées sur les flancs de ton corps qu'il devine.
C'est choisir dans tes draps toute une éternité
- Ô Marie-Madeleine pour l'amour de tes charmes -
En échange des tourments de cette humanité
Qui un jour en mon nom usera de tant d'armes.
Puis, quand le cri du coq par trois fois au matin
Poussera hors de moi cette âme qui sommeille,
Tu seras tout sourire dans ta robe de satin,
Absoute et réjouie des étreintes de la veille.
Ma petite contribution "poétique" du début de vacance scolaire...
Tout aurait du être centré...j'ai du perdre l'habitude...
tu es saoul comme un cochon...valeureux poet , c'est pourquoi t'es strophes sont en travers !!
[QUOTE=vagabond;1852406968]Repenti
Sur la croix de ton être je me plaîs à outrance,
n'y aurait il pas une erreur ? ne serait-ce donc pas outre et anse ?
à part ça je trrouve le reste très bien, et puis être saoul; allons elbaid!! venu de toi ça m'étonne!
tu m'as habitué à de plus belles critiques ....
moi ce qui me plait pas trop c'est le coq trois fois au matin, il subit les quotas ou quoi ???
et puis ... qu'est ce que le matin, ou plutot quand est ce le matin ?
de plus réjouie au matin des étreintes de la veille ne va pas trés bien avec " dans ta robe de satin" en principe c'est toute nue épanouie dans les relants d'étreintes de la veille ...
en tout cas c'est super, ça fait du bien un peu de poésie !!!
test deuxieme
je cite:
"A l'extrémité douloureuse de mes sens,
Tu fais de moi ton supplicié, ton anononyme.
Sur la croix de ton être je me plaîs à outrance,"
tu t'es fait mordre ou quoi ? non, c'est rien (S.M), attention à la croix, les curés n'aiment pas ça !!!
je cite:
"Et ce péché prodigue conduira à l'abîme.
Ma caresse s'appose sur ton ventre angevin
Et mes baisers de vin échouent sur ta poitrine.
Mes mains stygmatisées font rougir le divin,
Quand posées sur les flancs de ton corps qu'il devine."
quel pécher? elles sont mures au moins ?
font rougir le divin? pourUOI ? satan l'habte??
devine, devine ...
"C'est choisir dans tes draps toute une éternité
- Ô Marie-Madeleine pour l'amour de tes charmes -
En échange des tourments de cette humanité
Qui un jour en mon nom usera de tant d'armes."
éternité rime avec absurdité (dixit Léo Férré)
pourquoi pas Marie-Jeanne pendant que tu y est ...
L'humanité ne se fout pas de tes charmes, elle n'en à pas conscience, réfléchi avant d'écrire...
pour l'humanité et les armes ne te sens pas trop concerné, ceux qui refusent les armes les ont souvent détournées...
"Puis, quand le cri du coq par trois fois au matin
Poussera hors de moi cette âme qui sommeille,
Tu seras tout sourire dans ta robe de satin,
Absoute et réjouie des étreintes de la veille."
comme je te l"ai déja dit, ton coq semble malade surtout s'il ne sonne que trois fois....
je reste persuadé que tu détiens dans ton coeur des secrets qui nous concernent tous et toutes, mais ....
tu ne crois pas assez dans ton coeur, fais abstraction de l'envie d'êtrte aimé et dis nous mieux ...
on t'aimera plus ...
avant de parler de vous connaissez nous vous même,
vous dites et faites comme s'il n'y avait pas de toit utile,
mais vous savez que vous verez bien mieux qui n'appartient à personne d'autre qu'à l'inconnu(e) qui détient la vérité qui n'apartient qu'à chacu_n ..
(vive les mots)
@ Elbaid : c'est pas faux...la saoulerie aidant...me fais plaisir de te retrouver un peu...
@ Barbaraz : désolé mais je ne comprend pas un traitre mot de tes critiques ou de tes "digressions"...mais ça me fait plaisir...j'écris un truc vite fait et je vois qu'il y a un peu de chose à dire...
>>> J'explique quand même le "pitch" du poème : et si le "non-nommé" narrateur avait choisi l'amour (de Marie-Madeleine en l'occurence) plutot que le salut de toute l'humanité...c'est pour ça qu'il faut un minimum de "précsion" dans les référence => le coq chante trois fois oui...ni une, ni deux, ni quatre...mais bien trois...prenant cette fois ci le rôle d'un réveil-matin et non d'un révélateur de la trahison...enfin bref...quelle dérision...
...De la pointe de mon clavier...bien à vous...
saluuu !
tu t'adonne donc a la crucifixion de ton coeur .... pfff j'ai pas pour habitude de décortiquer des vers ; a quoi bon....ils sont une expréssion , un ressenti..et a défaut de les comprendre on peut les interpreter pour soi même
Une poésie a cela de bien que son auteur n'a de personel que la pensée qu'il y a posé ... les mots ont cette liberté de s'exprimer en chacun selon un ressenti HORS de la pensée de son hauteur !
CE qui fait d'une poésie un iceberg dont on en voie qu'une moitié....
A PLUS plus....bise a tous et toutes