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Discussion: l'éducation en question

  1. #1
    Date d'inscription
    September 2007
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    11

    Talking l'éducation en question

    que penser de ce sujet ourquoi éduquer l'animal humain?

  2. #2
    Date d'inscription
    May 2005
    Localisation
    perpignan
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    744

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    voir : Douglas.com !

  3. #3
    Date d'inscription
    October 2006
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    295

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    Et pourquoi pas ?

  4. #4
    Date d'inscription
    May 2005
    Localisation
    perpignan
    Messages
    744

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    oui pourquoi pas....

    mais il y a quelque chose qui me chagrine ds la question !!

    L'animal humain ? et le pourquoi de son éducation....mais est'il animal ou humain ?
    peut'on mélanger les genres dans l'éducation......n'etais ce pas une spécifité humaine ? et non pas animale...
    ALORS POURQUOI mélanger le genre ds la question ?

    Animal humain...il est ou l'un ou l'autre...mais pas les deux !
    Alors ptet le but de la question est de créer cette différence entre L'animal et l'humain...amener le penser de dire , L'humain n'est pas animal et l'éducation nous permet de ne pas le devenir !

  5. #5
    Nielsen Guest

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    Arrêtons d'être naif. Bien sûr qu'il est les deux même si pour un esprit ignorant, cela est contradictoire. Il y a certes une sorte d'hybridité. Seulement, ce n'est pas toujours visible. ( Pourquoi Zola a-t-il écrit La Bête humaine ?)

    La question a déjà sa réponse en ce sens qu'elle décrète que l'homme possède une part animale irreductible. Pourquoi éduquer ce qui ne peut plus l'être ? Le problème serait originel, donc l'éducation ne modifierait pas les instincts humains. Ce constat désabusé est légitime surtout au sortir de la seconde guerre mondiale.
    Je pense à C. Simon ( dans la Route des Flandres ) et à la remarque de l'un de ses personnages qui est au front et qui apprend par son oncle qu'une bibliothèque a été détruite, alors il répond, ironiquement : "quelle perte !" Bah oui, à quoi a servi l'art si on en est à encore se tabasser les uns contre les autres ?

    Par exemple, la guerre, et c'est ce que beaucoup d'écrivains qui l'ont vécu et qui ont écrit dessus disent, déshumanise ( ou met à nu ? ) l'individu et le ravale au rang de bête parce qu'elle inaugure le retour à des pratiques primitives, sauvages. Elle dissimule des terreurs primitives. La reptation en temps de guerre n'est-elle pas un indice d'animalité ? La perte de langage indique cette régression lorsque par ex, le hurlement devient le seul mode d'expression.
    Attention aussi, l'attitude humaniste, la pitié ou la fraternité symbolisent à l'inverse la capacité de l'homme à pouvoir préserver son statut ontologique. La frontière de l'inhumanité est ténue.

    Tout cela pose le problème de Nature/Culture.

    L'éducation agit comme un "cache-misère" car on comprend que la guerre met au jour ce qui, dans l'ordre normal de la société, est masqué ou atténué par les lois, les règles de bienséances, la morale. La barbarie a toujours un visage humain comme dirait l'autre.

    C. Simon, encore, dans les Géorgiques, l'homme ; c'est à dire "la seule espèce animale enfermée dans des vêtements".

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