D'accord sur le constat de L'allemagne à la sortie des années 30, où les extrêmes s'affrontaient dans la rue , mais parfois faisaient alliance. Les alliances nazis-communistes pour aller casser du social démocrate pro république de Weimar furent assez nombreuses.... et la misère y était horrible.
Pas d'accord pour l'Italie fasciste et l'espagne franquisto-phalangiste (et non pas fasciste). Là les c d'état ne furent pas provoqués par la misère, mais bien sur décision idéologique.Pour la france pétainiste, c'était un moyen de ralentir l'invasion de la zone libre et de rapatrier les prisonniers de guerre...enfin au début, parce qu'aprés ce fut autre chose.
Et en ce qui nous concerne , même si notre actuelle démocratie n'est pas trés en forme, il faut le dire, ( parce que l'économie mondiale se pète la gueule) elle n'en est pas au point où en était la république de Weimar en 1933.
Ton argument ne peut donc pas légitimer le discours extrémiste (de droite ou de gauche) dans la France d'aujourd'hui, même si les cas dramatiques et les situations difficiles (professionnelles, familiales,, sociales etc..) se multiplient.
Par contre je suis d'accord, le terreau de années à venir n'est pas reluisant.
Et enfin d'accord sur le fait que je ne sais pas ce que j'aurais fait à l'époque,, mais pour le cas Maurras, et ça n'en déplaise à certaiins c'est de l''histoire, il appartenait à l'extrême droite traditionaliste et non pas pas l'éxtrême droite nationale-révolutionnaire.Il venait d'un milieu privilégié, sans difficultés financières, et son antisémitisme chroniquee était celui des catholiques traditionalistes.
Donc là à nouveau ton argument prend l'eau
Maintenant si nous ne vouons pas savoir ce que nous aurions à faire en cas de coup d'état ou de révolution violennt, l'idéal est encore de tnter de préserver notre vieille république...que nous poouvons encore rénover.