qu'elle est la problematique de votre sujet. Y en at-il une. Je souhaite repondre mais par ou commencer ?
la démocratie pourrait être lue ainsi ;
notre développement requérait des techniques, des technologies, des sciences, des organisations administratives ou économiques ou autres,
et donc des individualités pour fabriquer et entrainer tout ce monde-là
les organisations traditionnelles n'y suffisaient pas ; le pouvoir d'un seul, pas de redistribution réelle et incapacité de la grande majorité à décider, ordonner, inventer, projeter, etc (il y a un siècle nous ne savions ni lire ni écrire, paysans ou ouvriers , à 90% )
on a bien vu du fait de l'énorme productivité acquise après la guerre, que alors non seulement il fallait des individus à peu près responsables (au moins pour leur efficacité concernée),
il devenait nécessaire que chacun ait une ... personnalité (des goûts et couleurs, des envies et des vies compliquées , cad multiples )
ce sont les années 60 ... (on en parle suffisamment)
révolution dans la complexité psy et relationnelle, mais aussi technologique (qui n'attendait qu'internet pour se déployer dans nos vies, mais qui existait déjà dans l'économie par l'ordinateur même)
dans tout cela, de quoi s'agit -il ?
de la multiplication active de l'information ; et donc du déploiement de chacun comme vecteur (producteur ou consommateur ou relationnel ou existentiel) voir créateur d'informations
il est probable que l'économie qui a joué un rôle essentiel comme potentiel projeté (et calculé, cad organisé ; sinon c'eût été la pagaille .. ou rien du tout ; après tout, avec votre argent vous multipliez votre possible de façon autonome)
que l'économie s'est enflée démesurément (folie de sa réussite même) ; ce qui est bien sauf qu'elle n'a aucune régulation d'aucune sorte ... et qu'un système ne survit que si il se régularise
apparemment nous sommes dans l'incapacité de comprendre (intellectuellement) le monde humain créé sur tout cela ;
et tout cela (démocratie politique, déploiement économique, multiplicité technologique, augmentation des psychologies individuelles, croissance de l'information généralisée)
tout cela est la démocratie ..
qui n'est pas seulement que sa formulation politique.
qu'elle est la problematique de votre sujet. Y en at-il une. Je souhaite repondre mais par ou commencer ?
Tout ça est sous-tendu par un vilain dogme tout méchant : le progrès. Entraîner tout ce monde-là, certes, mais dans quelle direction ?notre développement requérait des techniques, des technologies, des sciences, des organisations administratives ou économiques ou autres,
et donc des individualités pour fabriquer et entrainer tout ce monde-là
J'ai une image pour représenter l'évolution actuelle de notre monde : un château qui s'effondre, il n'y a plus d'élévation (verticalité, sens du sacré), mais un étalage (horizontalité, matérialisme). Hélas, hélas, l'objectivité n'existe pas !
Interrogeons-nous sur l'idéal que poursuit notre société. Selon vous quel est-il ?
je crois que le dogme peu raisonnable, c'est justement que le progrés soit pas joli pas beau ...
et que le progrés comme finalité (réelle , complète, plus achevée et plus compréhensive, et intégrant ce que, mal utililsée, elle désintégre de fait) a été stoppé net
par le surdimensionnement d'une organisation humaine délirante
qui s'est logé dans le mouvement général de développement ;
de sorte que l'on finit par prendre comme "progrés" cette réalité là, historique et très spécifique ; ad; ça n'est pas l'essence, la nature même du progrés que nous vivons mais sa forme partielle et inaccomplie
(ici se pose la question; l'être humain peut-il , est-il capable d'assumer , biologiquement, génétiquement, s'entend, ce développement ? bref, avons nous tout bien à la bonne place dans la cervelle ? )
n'est-il pas visible qu'une démesure s'est emparée des potentiels (sciences, technologies, organisations du travail, médias, etc) et l'a détourné en d'autres fins ? lesquelles ? pour quoi ?
que cela, qui est démesuré, n'a pas encore de lois , et qu'il probablement trop tard pour rétablir les finalités exactes du progrés ; parce que nos pratiques , si peu réfléchies, si peu compréhensives, s'enfoncent dans une image de nous même très obscure ... et c'est pour cela que nos personnalités mêmes sont en jeu (en plus du reste) ... ça n'est pas seulement une problématique historique globale (les sciences, les multinationales, la société , etc)
je pense pas qu'il y est un idéal pour tel ou tel société....parcontre l'on peut constater le propre de l'évolution et en tirer des conclusions...
A cela se rajoute le constat que le progrés va de pair avec l'expention , si la terre en avait ete plus petite...nous n'aurions pas évoluer de la même facon !
c'est un peu comme le nez de Cléopatre....la face du monde en aurait ete changer...
l'évolution est dans un premier temps géographique...
C'est un mouvement....
Quand nos sociétés auront compris cet idée de mouvement...on aura fait un grand pas...
Reste que l'on a plutot tendance a stagner...ce qui est fort regrétable !
On s'empetre dans nos dogmes et nos vérités bien trops limités pour qu'elles soient réelle...
ouiouiuouoiouioiouioioiouio....oui !
L'évolution nous contraint a l'unité.....si l'on compare il y a 2000 ans et aujourdhui , on constate en effet cet évolution.....mais elle n'est pas volontaire , ce n'est pas une société qui décide ou qui fait quoique ce soit dans se sens.....ce sont plutot les évolutions technologiques qui nous poussent a l'unité !
et dans la technicité...il y a une idée de vitesse , vitesse des com. vitesse des déplacements ....nos différences s'estompent a mesure que ce "mouvement" augmente , mais le probleme est que l'adaptation ne se fait pas du jour au lendemain...en se sens le "politique" est bien plus en ariére qu'en avant , la pensée , la philo....et toutes les idéologies en regles générales se trouvent décalés..par raport a son temps !
l'exemple de l'europe m'a toujours fait rire....parcequ'elle existe depuis 3000 ans voir plus , l'unité européenne existait au travers des peuples Celtes même s'il n'y avait pas un idéal politique commun...reste qu'elle fut dominée par une seule et même race ... celle des celtes qui du nord au sud possédaient sensiblement la même culture...
biensur on peut toujours avancer une europe politique...mais cela n'enleve pas l'essentiel de l'évolution d'une seule et même peuplade qui n'a eut de cesse de se répandre , de conquérir....pour s'unifier toujours plus !
il est évident que l'on va vers l'unité...le tout en 1...évidement cela pose des problemes , mais c'est le chemin de l'évolution...elle doit en passer par la !
je vais même plus loing....jusqu'a l'évolution extréme , l'unité des sexes...folies pure folies , plus d'hommes plus de femmes....une seule entité , un seul être !
L'unité ne se commande pas....elle est un facteur déterminant dans l'évolution
mais n'est pas une volonté humaine.....
Dans l'unité...il y a une idée de puissance , l'ouvrage humain est de créer cette puissance mais pas dans un but résolu de créer l'unité....celle ci se fera au dela des concepts humains et autres idéologies....
C'est a mon sens un ordre naturel , l'humain ne cherche pas l'unité , il a plutot tendance a s'y opposer....
La religion sert a relier...
Le Monotéisme a servie cette liaison...mais dans le même temps elle nous désunie au travers des cultures et diverses formes de croyances..
Reste qu'il existe moins de "Dieu" qu'autrefois , de même il existe moins de langues....et encore maintenant disparait des cultures , c'est l'apauvrisation de nos différences et nos temps modernes accentuent ce phénoméne...
C'est une réalité...un constat , et non pas une volonté de la pensée mais un ordre naturel ! est ce un bien ? est ce un mal....j'en sais fichtre rien...mais en tous cas c'est l'évolution..
Alors la conscience évolue , elle prendra corps différement...transformera l'homme par des mutations...mais l'artifice d'une machine ne poura etre commander que par une conscience supérieure !
il existe aussi une idée d'énergie...
plus on avance dans l'évolution , plus la demande d'énergie augmente..et davantage a t'on besoin de tecnologie pour dévelloper les nouvelles énergies
et dans le même temps l'esprit et le corps évolue !
esprit , corps , énergie , technologie...sont étroitement liés...
La Maitrise (technologie) du feu (énergie) a dévelloper et transformer le corps ainsi que l'esprit ou la pensée....mais cela se fait spontanément , et cela marche parceque l'on se multiplie , la démographie augmente toujours plus qui demande toujours plus d'énergie donc plus de techniques...
C'est pourquoi je considére la pollution comme un acte naturel...
Un jour viendra ou l'on sera en mesure de maitriser le coeur même du soleil pour la bonne et simple raison qu'il en sera de notre survie....ce jour la...on sera pas tout a fait des hommes , pas tout a fait des robots....mais des homo espacius ! hihiihihiihihih !
et l'espace avec ses exigences nous transformera....et il est évident que la philo de papa sera a mettre au placard ! mais bon d'ici la....on a bien le temps
Mais oui on subit des mutations....quoi de plus normal ! et la pensée comme le corps se modifient !
prend un homme de cro magnon et met le en centre ville , tu verras s'il va pas s'étouffer ; évidement que nous avons mutés !
nous avons une formidable capacité d'adaptation , ainsi que tout les étres biologique !
fait naitre un enfant dans l'espace , fait le vivre dans cet espace....et tu verras sa biologie se transformer !
j'y crois pas a matrix ! je mets en doute l'effet cinéma...
INTRODUIRE UNE CONSCIENCE DANS UNE MACHINE
pourquoi pas...je n'ais rien contre , encore faudrat'il maitriser la mécanique d'une conscience et lui donner un MOI ! ce qui est dans l'etat actuel , de la SF bien plus que de la réalité !
L'ancetre du portable....c'est les signaux de fumées , ou les tours de guets qui servaient de communications..
le suport a changer , la technique aussi....mais dans le fond tout est comme avant ; nous sommes conditionnées par cette forme de communication...on eput néamoins dire qu'elle est a son paroxisme , encore que on pourait voir plus loing encore !
je pense souvent a la "roue"....c'est con une roue , mais alors...qu'est ce qu'elle a modifié nos comportements cette roue , non seulement le comportement mais en plus l'environement ! pffffffff
si je connaissais le con qui a inventé la roue ?
JE SUIS DONC conditionné par la science
Je suis science .... plus que nature !
si on s'ataquaient au source du mal....on triompheraient , alors éliminons la "roue" et tout ira bien....hihihiihihih bon et puis je délire...allez a plus
douglas ;
la pensée d'un moi est une réalité extrêmement complexe ...
cad qu'il y a dans un moi une intégration de différents plans ; par ex il me parait inimaginable de concevoir une "pensée" qui ne ressente pas
le chaud le froid, la douleur le plaisir , etc
la "pensée" ne peut pas exister sans un système retors , réflexif et multiplement réflexif
il faudrait imaginer une machine ayant une sensibilité ; cad animale.
ceci étant il se peut que nous soyons simples agents d'une complexité qui "se pense"
mais si cette complexité a besoin de notre unité, de notre sensibilité, de notre relationnel, etc, pour être ... quelle différence d'avec nous-mêmes ???
la question est essentielle : elle consiste en ce que s'opposeraient deux logiques ; d'une part un logos tout puissant (ça pense)
et d'autre part une indépendance du sujet humain
laquelle indépendance est précisément le fait philosophique majeur
puisque la philo est justement de ne pas se laisser faire par une "pensée en soi" , mais de l'agir , la décider, la vouloir, l'inventer
une pensée qui se déroule toute seule c'est ce que la philo a débouté ...
donc vous vous trompez d'ennemi
les accents nietzschéens n'y feront rien ; nietzsche lui-même cherchait à fonder sa réflexivité dans un système (d'autant plus complexe à comprendre qu'il adopte une forme partielle et vagabonde )
l'idée de système est certes contraignante lorsqu'elle s'impose des autres vers vous-même , mais le système est libérateur lorsque le sujet développe systématiquement son être
ad ; il ne faut pas tout mélanger ... il y a des distinctions qui peuvent simplifier faussement , abusivement ; l'imprécation ça n'est pas un raisonnement, juste une saute d'humeur