Bonjour à tous.
Voilà j'ai l'explication de texte suivante à faire :

Il n'y a donc point de liberté sans lois, ni où quelqu'un est au-dessus des lois : dans l'état même de nature l'homme n'est libre qu'à la faveur de la loi naturelle qui commande à tous. Un peuple libre obéit, mais il ne sert pas ; il a des chefs et non pas des maîtres ; il obéit aux lois, mais il n'obéit qu'aux lois et c'est par la force des lois qu'il n'obéit pas aux hommes. Toutes les barrières qu'on donne dans les républiques au pouvoir des magistrats ne sont établies que pour garantir de leurs atteintes l'enceinte sacrée des lois : ils en sont les ministres, non les arbitres, ils doivent les garder, non les enfreindre. Un peuple est libre, quelque forme qu'ait son gouvernement, quand dans celui qui le gouverne il ne voit point l'homme, mais l'organe de la loi. En un mot, la liberté suit toujours le sort des lois, elle règne ou périt avec elles ; je ne sache rien de plus certain."

Alors j'ai un peu de mal (c'est pour Lundi 10 Mars), et j'avais pensé à ce plan :

I- Le paradoxe rousseautiste de l'existence de la liberté
II- La volonté des hommes de concerver leur liberté et la hantise du tyran...

Par contre je n'ai pas de sous-parties, et je rame un peu...