Il me semble que parmis toutes les questions qui pourraient
se rapporter tout aussi bien au penser comme à l'évènement
le "comment"(?) vaut toujours.....
Ainsi faut-il comprendre "la question" comme la recherche d'un lieu géométrique....
Comme en géométrie plus le nombre des propriétés
d'un même point est grand plus il est significatif pour l'explication de la construction dont il fait partie....
De même en philosophie.....
Toute une vie ne serait donc pas suffisante pour éplucher toutes les questions dans toutes les situations intellectuelles et concrètes possibles,en conséquence....
Il faut donc "trouver" des raccourcis,des résumés,des accumulateurs de "sens",enfin tout un mécanisme de cohésions qui permette tout aussi analytiquement que synthétiquement de "comprendre" ce dont il peut être question, selon.....
Ainisi le"comment",par exemple,se rapporte au fonctionnement
de la pensée comme au temps comme ordre de succession,
de même qu'il implique une ébauche de méthode et même une composante systémique....
Sous ce rapport cet élément "conjonctif" est l'introduction
à son nom invariable:la manière.....
Et,ainsi de suite.....
On voit donc "comment" s'explique sa supériorité par rapport au pourquoi(?),par exemple....
On sort de la linéarité,de l'impossibilité de fonder ou de trouver un objectif....
On "se" donne un objectif,indépendant,à la manière de Kant:
souverainement....
Voilà un objectif de la philosophie....
Et il n'est donc pas question d'une absence de psychologie:
il est question d'une certaine "interprétation" de ce qui"justement" est à "comprendre" par ce mot.....
Il ne faut donc pas se faire d'illusion:sans un usage "intelligent" de la méthode interrogative(qui ne peut exister qu'hypothétiquement) la représentation de la liberté comme objectif philosophique N´EXISTE PAS.....
Voilà le mystère,cet art caché qui reste incompréhensible pour "non-philosophes":
COMMENT CERTAINES CHOSES NE PEUVENt-ELLES EXISTER QUE SI ON LES COMPREND?