Dans un premier temps il convient de définir, assez précisément, les mots :
- psychanalyse (psyché, miroir/reflet intérieur), réalité intangible – réelle ou non – ? voyez !
et ses différentes branches (écoles).. Freud s'est attaché à la mythologie et au symbolisme pour expliquer la complexité humaine, mais avant lui, dans l'antiquité, bien des savants avaient utilisé cette méthode, tel l'immense
Philon un des grands thérapeutes, qui ne tronçonnait pas l'homme en tranches physiques, mais l'approchait dans sa globalité.
Après FREUD qui ne fit qu'acter, ce principe de l'harmonie entre le corps et la psyché, vinrent, KG.JUNG qui lui appréhenda l'homme dans sa relation à l'univers en lien avec une forme de spiritualité, cosmique… (Inconscient collectif) et J.LACAN qui grâce à cette lecture et pratique de l'hébreu, expliqua que ce que nous disions - comme cela – de manière spontanée, irréfléchie révélait notre manière de nous mouvoir et de nous émouvoir ; d'où le lapsus révélateur….. etc…..(c'est pour faire court... ça mérité d'être étudié plus avant, n'est-ce pas !)
- instinct,
- préconsciente, conscience, subconscient (là réside bien des clefs),
- éducation - transmission,
- mimétisme,
- névrose,
- société….. etc….
La conscience est ce qui différencie l'homme de l'animal, cette notion du bien et du mal, qui révèle plus tard des choix que l'on serait censé pouvoir faire. Entre ces deux principes existe ce que l'on appel le "Fléau" (pas au sens de calamités, mais d'équilibre)..c'est ce que l'éducation devrait maintenir :
- ni violence due à l'autorité,
- ni laxisme dû au laisser faire, laisser aller, sans responsabilité ; mais avec une différence suivant la nature de l'enfant.
En effet ce dernier n'arrive pas avec une nature identique, (biologiquement un peu - mais en mémoire inconsciente non) même si les parents sont les mêmes. Il arrive dans un véhicule, dont les tendances ne sont pas celles de son frère ou de son voisin. (cela fait appel à d'autres connaissances)…
Suivant notre terre personnelle, nous ferons de la violence autoritaire un retour, tel un boum-rang, nous appliquerons par mimétisme, conscient ou non le même geste, la même arrogance à nier l'autre, en l'inféodant, tandis qu' un être plus peureux, moins violent, se repliera sur lui, et de nœuds en nœuds pour survivre et ne rien répondre, reproduire, il se méfiera des autres, de la société, voire de lui-même ; de l' étrange personne qu'est l'humain. La Névrose (née des noeufs pluriels) se sera implantée. Alors afin de mieux s'épanouir, de déplier les qualités qui lui ont été déniées, il devra apprendre à se connaître, à savoir qu'il est construit de qualités et de défauts – certes – mais qu'il contient des qualités, qui ne lui ont jamais été révélées et qui sont l'énergie merveilleuse nécessaire à se tenir debout, regarder, respirer, comprendre. (prendre conscience de soi).
Seule l'acceptation d'un certain oubli, d'un détachement potentiel et repositionnement par lui - cet individu, cette personnalité, pourront faire qu'il se sentira plus équilibré. Il tentera alors de maintenir de façon ténue dans un premier temps, le fléau de l'équilibriste qui se renforcera par constance et habitude à ne pas être nié, ni se renier…
La société est faite pour nous parfaire, elle n'est qu'un outil à comprendre nos ressentis, nos errances, nos égoïsme et orgueil (tous ces défauts dont nous avons souffert, précédemment par l'autre qui n'aura pas su faire ce bout de chemin, sans haine, probablement)…..
Creusez cela....