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Discussion: besoin d'aides d'urgence

  1. #1
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    January 2008
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    Par défaut besoin d'aides d'urgence

    bonjour.problematique : en quoi les lumieres sont la critique de la liberter?le philosophe du20eme siecle Alain, a afirmé que tout enseignement qui n'a pas pour effet de libérer l'esprit est entieremen inutil.dans une dissertation je dois dire en quoi cela s'implique a l'enseignement des lumieres...pourriez vous m'aider et me donner des idées pour avoir un bn contenu, me dir des choses sur ce qe g mi plu au dessus..mon plan etant : 1)dans ses grands principes les lumieres proposent une vision de l'homme qui ne peut manquer de débouché sur la liberté..2)les moyens littéraires utilisés visent tous a rendre l'homme plus libre par la prise de conscience et par la capacité de jugement..3)Et cela va les mettre de facto en opposition avec certaines realités politiques, sociales, religieuses, humaines....
    merci d'avance a tous ceux qi peuvent me doner des idees pour enrichire ce plan et facilité sa rédaction...

  2. #2
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    January 2008
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    Lightbulb En quoi les Lumières ...

    Je crois dans un pemier temps, que définir le but du siècle des "lumières" est important.

    Si nous n'en connaissons le but, comment en faire une démonstration par les textes ?

    Je vous propose la réflexion suivante :

    Qu'est-ce que les Lumières ?

    Première machine de guerre contre l'ignorance et le fanatisme.

    La métaphore de la lumière désigne un mouvement intellectuel critique, la floraison d'idées nouvelles, qui caractérise le XVIIIe siècle européen: illuminisme en italien, ilustración en espagnol, Aufklärung en allemand désignent le passage de l'obscurité au jour - de l'obscurantisme à la connaissance rationnelle -.

    Les Lumières en effet sont un processus, une méthode, une attitude intellectuelle, plutôt qu'une doctrine achevée.

    Kant écrit: «Les Lumières se définissent comme la sortie de l'homme hors de l'état de minorité, où il se maintient par sa propre faute.
    La minorité est l'incapacité de se servir de son entendement sans être dirigé par un autre. Elle est due à notre propre faute quand elle résulte non pas d'un manque d'entendement, mais d'un manque de résolution et de courage pour s'en servir sans être dirigé par un autre. "Aie le courage de te servir de ton propre entendement"! Voilà la devise des Lumières.»

    Pour les intellectuels du XVIIIe siècle européen, l'homme se caractérise par ses facultés cognitives, dont il doit faire un usage critique à l'encontre des préjugés et des superstitions (relevant de la crainte, vu ici dans un autre Topic).

    En cela, ils sont les héritiers de Galilée, de Descartes puis de Newton (dont les recherches théologiques et alchimiques sont alors inconnues), qui les premiers ont donné la priorité à la raison et à l'expérience sur la Révélation divine et l'autorité religieuse.

    Ils définissent une méthode critique pour réfuter les prétendues vérités révélées, comme la vie des saints ou les explications par le surnaturel. Ils en viennent du même coup à critiquer la monarchie de droit divin.

    L'année 1748 marque un tournant, avec la parution et le grand succès de l'Esprit des lois, dans lequel Montesquieu analyse tous les régimes politiques et établit les rapports nécessaires qui unissent les lois d'un pays à ses mœurs, à son climat et à son économie. Par là apparaît bien la relativité du régime monarchique.

    Entre 1750 et 1775, les idées essentielles des Lumières se cristallisent et se diffusent. La figure centrale est celle de Voltaire (1694 - 1778); admirateur des institutions et des libertés anglaises, dans ses Lettres philosophiques, ou Lettres anglaises (1734), il attaque durement, par contrecoup, le régime de Louis XV.

    En 1760, Voltaire s'établit à Ferney, près de la frontière suisse, d'où il exerce une véritable souveraineté intellectuelle, par ses livres et surtout par son abondante correspondance. Quoique modéré sur le plan social et politique, il s'enflamme pour dénoncer les dénis de justice, le fanatisme et l'intolérance.

    À cette époque, les Lumières françaises ont conquis l'Europe cultivée: «Il s'est fait une révolution dans les esprits [...]. Désormais, l'athéisme n'hésite plus à se dévoiler,

    Un nouveau venu, Jean-Jacques Rousseau, fils d'un modeste horloger genevois, incarne le versant démocrate des Lumières. Persuadé que tous les hommes naissent bons et égaux, il exalte l'état de nature et la libre expression des sentiments, réclame la protection des droits naturels de l'homme.
    C'est le moment de la diffusion maximale, tant géographique que sociale, des Lumières ; l'opinion se politise, prend au mot leurs idées : la philosophie est sur la place publique, accessible à tous, en principe.

    Rayonnement européen
    Les Lumières ne connaissent pas de frontières. Leur cosmopolitisme découle de l'universalité de la condition humaine. Le mouvement touche donc toutes les élites cultivées d'Europe, mais sa langue est le français, qui remplace le latin comme langue internationale des intellectuels. (ce qui a totalement changé à présent)

    À la cour de Vienne ou de Saint-Pétersbourg, les Français sont à l'honneur, et leurs livres à la mode. Cette hégémonie tient au poids particulier de la France en Europe depuis Louis XIV, mais aussi au modèle de modernisme qu'elle incarne, à travers ses écrivains et ses savants, aux yeux des étrangers. Et, de fait, c'est en France que le mouvement des Lumières conquiert la plus large audience intellectuelle dans l'opinion.

    Les droits de la raison :

    «Philosopher, c'est rendre à la raison toute sa dignité et la faire rentrer dans ses droits ; c'est secouer le joug de la tradition et de l'autorité.» Le fonds commun des Lumières réside dans un rejet de la métaphysique, selon laquelle la transcendance (Dieu) précède la réalité (le monde).

    Les termes en sont inversés : la transcendance est ce qui reste, ce qui résiste à toute analyse rationnelle, scientifique, historique. Par-delà leur diversité, les hommes des Lumières ont en commun cette attitude d'esprit inspirée de la méthode scientifique.

    La nature est rationnelle

    Du coup, la vérité est recherchée du côté du monde physique, de l'univers pratique.

    Avec les Lumières, le regard intellectuel curieux se détourne du ciel au profit du monde concret des hommes et des choses. En ce sens, les Lumières sont laïques.

    Pourtant, la plupart des intellectuels éclairés restent déistes (ouff - rire) : pour eux, l'Univers est une mécanique admirablement réglée, dont l'ordre implique une intelligence ordonnatrice. «Je ne puis imaginer, dit Voltaire, que cette horloge marche et n'ait pas d'horloger.»

    Cette religion dite «naturelle» postule l'existence d'un «Être suprême» : nous savons qu'il est, mais nous ne pouvons savoir ce qu'il est; il échappe à la connaissance rationnelle. En revanche, la raison peut rendre compte des rouages de sa construction, «l'horloge». La nature est donc connaissable.

    D'autres, peu nombreux (Helvétius, d'Holbach, Diderot), vont plus loin : ils réfutent tout déisme, au profit d'un matérialisme athée selon lequel n'existe que la matière en mouvement.

    Les sources de la connaissance : expérience et sensation

    Si la vérité de la nature s'éclaire par les démonstrations impartiales de la raison, elle procède aussi de la sensibilité humaine.
    L'expérience occupe ainsi une place centrale dans la théorie de la connaissance du XVIIIe siècle. Cette méthode procède par l'observation, l'analyse, la comparaison. D'où l'importance du voyage comme moyen de connaissance ; d'où le souci presque obsessionnel de la classification des faits, de la construction de tableaux :

    Connaître, c'est décrire, inventorier, ordonner. Ainsi procède Buffon dans les trente-six volumes de son Histoire naturelle.

    La raison expérimentale, dès lors, ne connaît pas de frontières: les Lumières opèrent une formidable expansion de la sphère de la connaissance scientifique. La raison est universelle; à côté des sciences naturelles et des sciences de la vie se développent les sciences humaines: ethnologie, psychologie, linguistique, démographie. Dans l'Esprit des lois, Montesquieu invente une sociologie politique, en recherchant les rapports qui unissent les «mœurs» de chaque peuple et la forme de son gouvernement.

    Le bonheur et le progrès
    La philosophie des Lumières procède d'un humanisme laïque : elle place l'homme au centre du monde, et entend œuvrer à son bonheur.

    Pour Voltaire, «le vrai philosophe défriche les champs incultes, augmente le nombre des charrues, occupe le pauvre et l'enrichit, encourage les mariages, établit l'orphelin. Il n'attend rien des hommes, mais leur fait tout le bien dont il est capable». Il faut des actes. Tout l'effort de connaissance est orienté vers l'utilité commune. Cette conception utilitariste fait du bonheur le bien suprême. Elle tourne le dos à l'idée chrétienne de purification par l'épreuve et la souffrance, ainsi qu'aux notions nobiliaires et militaires d'héroïsme et de gloire.

    Un manifeste des Lumières: l'«Encyclopédie»

    Un ouvrage incarne à lui seul cette vaste entreprise humaniste et savante des Lumières: c'est l'Encyclopédie. Dix-sept volumes de texte : il s'agit là de la plus fantastique réalisation éditoriale de son temps.

    Le rôle de Diderot - Un projet ambitieux - Une mission
    Une arme -

    Le combats des Lumières pour la liberté-

    C'est sur le terrain des libertés, de la lutte contre l'arbitraire (insupportable dans les faits, révoltant dans les principes) et l'intolérance que les Lumières ont mené leurs principaux combats.

    Contre l'arbitraire

    La critique des Lumières s'attaque aux manifestations jugées les plus insupportables de l'absolutisme monarchique, et en premier lieu à l'arbitraire et à la toute-puissance de l'appareil policier. Il n'existe d'habeas corpus qu'en Angleterre : depuis 1679, personne ne peut y être arrêté et inculpé sans avoir été déféré dans les vingt-quatre heures devant un juge qui doit notifier le motif précis de l'arrestation et laisser l'inculpé choisir un avocat. Police et administration n'y ont aucun pouvoir juridictionnel : la justice est indépendante, ce qui garantit la liberté.
    Rien de tel dans les monarchies absolues.
    En France, la pratique des «lettres de cachet», en particulier celles laissées «en blanc», qui permettent à tout agent royal qui en dispose de priver n'importe qui de liberté, symbolise l'arbitraire du pouvoir.

    Contre la torture

    Les scandales qui éclatent sensibilisent l'opinion aux problèmes de la justice et de son organisation, lente, coûteuse, influençable jusqu'à commettre les pires erreurs sous la pression des préjugés.

    Contre l'intolérance

    Dans l'Europe du XVIIIe siècle, la question religieuse reste l'enjeu le plus brûlant. Les différentes confessions affirment toutes en effet la même prétention à l'universalité et à l'exclusivité (à l'exception du judaïsme, qui ne prétend pas convertir les non-juifs). De plus, partout prévaut le modèle de la religion d'État (catholique ou protestante) imposée à tous les habitants et tolérant difficilement (très difficilement en France, en Espagne, dans les États italiens, ou plus facilement en Prusse ou dans les Provinces-Unies) la présence d'étrangers de confessions différentes.
    Face à l'intolérance et aux persécutions religieuses, les Lumières vont mener un combat passionné : prison, exil, excommunication guettent l'auteur imprudent ou sans protection. Le plus incendiaire de tous est Voltaire. Dès l'âge de vingt-trois ans, il a tâté de la Bastille. Mais ni la prison ni les autodafés n'ont eu raison de sa verve insolente. Il déteste l'obéissance, de façon viscérale. Il ne cesse de fustiger, de sa plume acérée, l'injustice, l'arbitraire et l'obscurantisme. Au bas de ses pamphlets rageurs, il signe Ecrelinf: «écrasons l'infâme», c'est-à-dire le prêtre fanatique, l'Inquisition et tous les dogmes religieux qui prêchent la crainte et la soumission.

    Contre les discriminations

    L'appel à la tolérance n'est pas une apologie de la différence. Il ne s'agit pas de faire reconnaître juridiquement des particularismes, mais bien plutôt de faire disparaître les différences légales : les philosophes des Lumières sont universalistes. Leur lutte contre les discriminations repose sur la conviction d'une égalité naturelle du genre humain. Pour eux, les préjugés historiques ont perverti l'être original de l'homme.

    Contre l'esclavage

    Égalité de l'homme primitif, universalisme de l'humanité, ces deux principes conduisent à dénoncer l'esclavage des Noirs.

    Dans Candide, de Voltaire, le héros rencontre un nègre mutilé : cet esclave des champs de canne à sucre a perdu une main et une jambe, etc.....

    Pour la liberté d'entreprise et de commerce

    Toute la pensée des Lumières repose, au fond, sur une
    La cité idéale des philosophes.

    Au-delà de ces convictions libérales plus ou moins partagées, plus ou moins cohérentes selon les auteurs, les hommes des Lumières apparaissent divisés quant à la conception du meilleur régime politique.

    Les contradictions du despotisme éclairé

    Faute de trouver suffisamment de crédit au sein des élites, par méfiance envers une noblesse et des parlementaires jugés obscurantistes, et considérant le peuple trop peu éclairé, les Lumières françaises reportent leurs espoirs sur des souverains qu'ils espèrent convertir à leurs idées: c'est le «despotisme éclairé». Il s'agit de subordonner les intérêts privilégiés et les coutumes au système rationnel d'un État censé représenter le bien public, de favoriser le progrès économique et la diffusion de l'enseignement, de combattre tous les préjugés pour faire triompher la raison. Ce despotisme éclairé inspira Frédéric II en Prusse, Catherine II en Russie, Joseph II en Autriche. Mais les philosophes qui croyaient jouer un rôle positif en conseillant les princes, comme Voltaire auprès de Frédéric II et Diderot auprès de Catherine II, perdirent vite leurs illusions. Ce qu'ils avaient pris pour l'avènement de la raison et de l'État rationnel était en réalité celui de la raison d'État, cynique et autoritaire.

    L'impasse découle d'une insurmontable contradiction: vouloir imposer le progrès d'en haut, c'est s'exposer à l'autoritarisme. Il faut convaincre la société entière et pas seulement le prince. Le despotisme éclairé est antinomique de la liberté politique.

    Le contrat social de Rousseau

    Jean-Jacques Rousseau défend des conceptions politiques bien différentes, radicalement démocratiques. Du contrat social (1762) constitue un tournant dans la pensée politique. Pour Rousseau, toute société humaine repose sur un contrat entre les participants, contrat tacite ou bien accepté à un moment donné. Toute souveraineté réside donc dans le peuple qui accepte ce contrat. Celui-ci suppose l'égalité civile et politique de tous les citoyens qui forment la nation, l'ensemble des contractants. La cité idéale de Rousseau, composée de petits propriétaires égaux et libres, garantit ainsi les droits naturels de l'individu; elle bannit l'injustice et l'oppression; elle fonde l'idée démocratique qui inspirera la Révolution française.

    La diffusion des Lumières

    Le mouvement des Lumières se distingue des mouvements intellectuels qui l'ont précédé par son destinataire : l'opinion publique. Voltaire, Diderot et leurs amis sont des agitateurs d'idées; ils veulent discuter, convaincre. Les progrès de l'alphabétisation et de la lecture dans l'Europe du XVIIIe siècle permettent le développement de ce qu'on a appelé un «espace public» : les débats intellectuels et politiques dépassent le cercle restreint de l'administration et des élites, impliquant progressivement des secteurs plus larges de la société. La philosophie est à double titre « l'usage public de la raison », comme le dit Kant : à la fois le débat public, ouvert, contradictoire, qui s'enrichit de la libre discussion, et l'agitation, la propagande pour convaincre et répandre les idées nouvelles.

    Les académies, les bibliothèques et les loges

    Les académies sont des sociétés savantes qui se réunissent pour s'occuper de belles-lettres et de sciences, pour contribuer à la diffusion du savoir. En France, après les fondations monarchiques du XVIIe siècle (Académie française, 1634; Académie des inscriptions et belles-lettres, 1663; Académie royale des sciences, 1666; Académie royale d'architecture, 1671), naissent encore à Paris l'Académie royale de chirurgie (1731) et la Société royale de médecine (1776). Le clergé et, dans une moindre mesure, la noblesse y prédominent. En province, il y a neuf académies en 1710, 35 en 1789.

    Ces sociétés provinciales regroupent les représentants de l'élite intellectuelle des villes françaises. Leur composition sociale révèle que les privilégiés y occupent une place moindre qu'à Paris: 37 % de nobles, 20 % de gens d'Église. Les roturiers constituent 43 % des effectifs: c'est l'élite des possédants tranquilles qui siège là. Marchands et manufacturiers sont peu présents (4 %).

    Voisines des académies, souvent peuplées des mêmes hommes avides de savoir, les bibliothèques publiques et chambres de lecture se sont multipliées, fondées par de riches particuliers ou à partir de souscriptions publiques. Elles collectionnent les travaux scientifiques, les gros dictionnaires, offrent une salle de lecture et, à côté, une salle de conversation.

    Toutes ces sociétés de pensée fonctionnent comme des salons ouverts et forment entre elles des réseaux provinciaux, nationaux, européens, échangeant livres et correspondance, accueillant les étrangers éclairés, lançant des programmes de réflexion, des concours de recherche. On y parle physique, chimie, minéralogie, agronomie, démographie.

    Parmi les réseaux éclairés, le plus développé est celui de la franc-maçonnerie, ça demeure - quoique réservé aux couches supérieures (fautx). La presse enfin contribue à la constitution d'un espace public savant, malgré la censure, toujours active. Le Journal des savants, le Mercure de France, les périodiques économiques sont en fait plutôt ce que nous appellerions des revues. Par les recensions d'ouvrages et par les abonnements collectifs des sociétés de pensée, un public éloigné des centres de création peut prendre connaissance des idées et des débats, des découvertes du mois, sinon du jour.

    L'écho des Lumières

    Mouvement intellectuel caractéristique du siècle, les Lumières ont évidemment influencé l'art de leur temps. Pour autant, elles n'ont pas dicté une esthétique spécifique. Elles ont en revanche créé un urbanisme particulier. La ville des Lumières est le fruit des efforts conjoints des pouvoirs publics et des architectes soucieux du bien public: elle doit être claire, aérée, hygiénique et fonctionnelle. L'architecte Claude Nicolas Ledoux (1736-1806) est celui qui va le plus loin dans l'utopie d'un habitat totalement fonctionnel et utilitaire. Il construit à partir de 1775 la fameuse ville idéale de la saline de Chaux, dans le Jura, véritable cité usinière ne laissant aucune place à la fantaisie ou à l'improvisation.

    Malgré leur volonté militante, les Lumières n'ont touché que les élites. Le peuple, lui, n'est pas touché: l'immense majorité des paysans, même français, n'a jamais entendu parler de Voltaire ou de Rousseau.

    Après on compare avec les philosophes plus contemporains...

  3. #3
    Date d'inscription
    January 2008
    Localisation
    alger
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    2

    Par défaut of

    c'est trés défficille

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