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Discussion: phénoménologie de la perception

  1. #1
    Date d'inscription
    October 2007
    Messages
    12

    Par défaut phénoménologie de la perception

    Je dois étudier cet extrait de "Phénoménologie de la perception" de Merleau-Ponty.


    Je ne suis pour moi même ni <>, ni <>, ni <>, ni <>. On s’étonne souvent que l’infirme ou le malade puissent se supporter. C’est qu’ils ne sont pas pour eux même infirme ou mourant. Jusqu’au moment du coma, le mourant est habité par une conscience, il est tout ce qu’il voit, il a ce moyen d’échappement. La conscience ne peut jamais s’objectiver en conscience-de-malade ou conscience-d’infirme, et, même si le vieillard se plain de sa vieillesse ou l’infirme de son infirmité, ils ne peuvent le faire que s’ils se voient par les yeux des autres, c’est à dire quand ils prennent d’eux même une vue statistique et objective, et ces plaintes ne sont jamais tout à fait de bonne foi : revenu au cœur de sa conscience, chacun se sent au delà de ses qualifications et du coup s’y résigne.


    Je cherche encore les axes

  2. #2
    Date d'inscription
    October 2007
    Messages
    12

    Par défaut

    je le remet car il manquait des mots
    Je ne suis pour moi même ni <>, ni <>, ni <>, ni <>. On s’étonne souvent que l’infirme ou le malade puissent se supporter. C’est qu’ils ne sont pas pour eux même infirme ou mourant. Jusqu’au moment du coma, le mourant est habité par une conscience, il est tout ce qu’il voit, il a ce moyen d’échappement. La conscience ne peut jamais s’objectiver en conscience-de-malade ou conscience-d’infirme, et, même si le vieillard se plain de sa vieillesse ou l’infirme de son infirmité, ils ne peuvent le faire que s’ils se voient par les yeux des autres, c’est à dire quand ils prennent d’eux même une vue statistique et objective, et ces plaintes ne sont jamais tout à fait de bonne foi : revenu au cœur de sa conscience, chacun se sent au delà de ses qualifications et du coup s’y résigne

  3. #3
    Date d'inscription
    October 2007
    Messages
    12

    Par défaut

    décidément


    Je ne suis pour moi même ni jaloux, ni curieux, ni bossu, ni fonctionnaire. On s’étonne souvent que l’infirme ou le malade puissent se supporter. C’est qu’ils ne sont pas pour eux même infirme ou mourant. Jusqu’au moment du coma, le mourant est habité par une conscience, il est tout ce qu’il voit, il a ce moyen d’échappement. La conscience ne peut jamais s’objectiver en conscience-de-malade ou conscience-d’infirme, et, même si le vieillard se plain de sa vieillesse ou l’infirme de son infirmité, ils ne peuvent le faire que s’ils se voient par les yeux des autres, c’est à dire quand ils prennent d’eux même une vue statistique et objective, et ces plaintes ne sont jamais tout à fait de bonne foi : revenu au cœur de sa conscience, chacun se sent au delà de ses qualifications et du coup s’y résigne

  4. #4
    Date d'inscription
    April 2001
    Localisation
    France -
    Messages
    21 954

    Par défaut

    Bonjour!

    Les aides sont provisoirement interrompues pour les textes...
    Voyez si votre texte ne se trouve pas sur une de ces pages:
    1) http://www.philagora.net/aide-texte/index.php
    et
    2) http://www.philagora.net/aide-texte/index.php
    Classement par auteur et par ordre alphabétique
    Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir

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