Bonsoir et bravo
L'aide demandée est en préparation
“ C'est l'avènement de l'automatisation qui, en quelques décennies, probablement videra les usines et libérera l'humanité de son fardeau le plus ancien et le plus naturel, le fardeau du travail, l'asservissement à la nécessité. (...)
C'est une société de travailleurs que l'on va délivrer des chaînes du travail, et cette société ne sait plus rien des activités plus hautes et plus enrichissantes pour lesquelles il vaudrait la peine de gagner cette liberté. Dans cette société qui est égalitaire, car c'est ainsi que le travail fait vivre ensemble les hommes, il ne reste plus de classe, plus d'aristocratie politique ou spirituelle, qui puisse provoquer une restauration des autres facultés de l'homme. Même les présidents, les rois, les premiers ministres voient dans leurs fonctions des emplois nécessaires à la vie de la société, et parmi les intellectuels il ne reste que quelques solitaires pour considérer ce qu'ils font comme des oeuvres et non comme des moyens de gagner leur vie. Ce que nous avons devant nous, c'est la perspective d'une société de travailleurs sans travail, c'est-à-dire privés de la seule activité qui leur reste. On ne peut rien imaginer de pire.”
Voilà le prochain texte que nous avons a étudié cette fois je m'y prend à l'avance
Merci !
Bonsoir et bravo
L'aide demandée est en préparation
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir
Bonjour
Voici l'aide promise... en deux pages:
http://www.philagora.net/aide-texte/...matisation.php
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir
merci beaucoup !
Dans les méthode du commentaire vous ne le précisez pas mais bon je pose la question quand même : est ce utile de mettre des définitions de certains mots importants du texte dans l'intro ou vaut-il mieux les définir plutôt dans le développement ? Merci !
Bonjour
Les analyses de concepts ont leur place dans l'explication du texte, pas dans l'introduction
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir