Une petite pensée que je voulais soumettre à votre réflexion:
Si "le moi est haïssable" (Pascal) et que "l'enfer, c'est les autres" (Sartre), que nous reste-il?
Une petite pensée que je voulais soumettre à votre réflexion:
Si "le moi est haïssable" (Pascal) et que "l'enfer, c'est les autres" (Sartre), que nous reste-il?
pourquoi diable la filo peut elle etre aussi pessimiste..
Alors que l'un et l'autre sont le produit de l'amour ....
Encore des phrases balancées a la mort moi le noeux !
Aux placards..les pascals, sartre , a nous d'écrire la new philosophie et si possible avec sagesse !
il reste toi....Bonne nuit a tous et a toutes
Cette philosophie n'est pas pessimiste. Le terme "pessimiste" ne signifie rien. Il est sémantiquement vide.
La philosophie de Pascal ou Sartre si elle n'est pas pessimiste est simplement dépouillée de toute illusion, ce qui est bien différent.
Ce qu'il nous reste sont des vestiges d'un temps révolu. Ah oui, il nous reste aussi l'immémorial chaos de la conscience humaine.
Le DaseinSi "le moi est haïssable" (Pascal) et que "l'enfer, c'est les autres" (Sartre), que nous reste-il?
bon fan...mais fai bienfur !
y reste joe dassein...
T'es reconnu....t'es reconnu..!!
L'individu ne se réduit pas au moi. Le moi peut être vu comme un aspect égoïste de l'individu, une façon égocentrique qu'a l'esprit de se regarder lui-même. On peut se concentrer sur l'individu qu'on est, en essayant de le voir "objectivement" plutôt qu'à travers le prisme du moi, comme si on était un esprit détaché de tout et de tous.
Et puis, sinon, il reste le dasein. Heidegger est notre sauveur dans les moments les plus sombres.