c'est un peu pompeux et niais....
La lyre :
Orphée, souviens-toi comme tu célébrais jadis
A travers toute la Thrace la belle Eurydice :
Ta passion et ta joie innondaient les chagrins,
Le cyprès et la rose parfumaient nos refrains.
A présent la douleur se darde sur mes cordes
As-tu enterré à jamais nos joyeuses odes ?
Orphée :
Ô lyre, ces poésies qui fleurissaient de rêves
Ces poésies qui ouvraient leurs corolles suaves,
Tout ces échos du passé, tout ces chants d'espoir
Se sont éteints dans les abymes du Tartare.
Quelle tragique ironie, j'ai vaincu la mort
Et par trop d'amour je la perds.
Je ne vis plus pourtant je pleure encore,
Ô Lyre, la douleur fait jaillir le vers...
P.S : svp n'hésitez pas à laisser vos critiques !
c'est un peu pompeux et niais....
quelqu'un a déjà écouté "l'Orfeo" de Monteverdi ?
c sympa...cela rapel la grece antique , remarque quand on veut parler de mytologie ,dificile de prendre un autre style...a moins de transposer Orphée dans un deux pieces
boulevard st germain sirotant un coca devant le grand film du dimanche soir !
si l'on peut retrouver l'exemple du passé , pourions nous penser une poésie du futur (L'actuel ne m'interesse pas)
tiens je serais curieux du résultat si l'on demandé a nos poetes actuel de phraser leurs consciences dans le futur !
Qu'est-ce que tu attends pour te lancer ??
hooo...je vous en prie , a vous l'honneur !
hé! premièrement je ne sais pas ce que tu attends et deuxièmement je ne suis pas poète! lol !
à toi l'honneur !
Merci pour ton indulgence !
bon courage pour définir le poète !
je te conseille de lire " l'albatros" de Baudelaire ( on va croire que je ne jure que par lui ! lol ( c'est pas totalement faux ! arf ) ) si tu ne connais pas.
see you on the darkside of the moon !
>>> ah! le mythe d'Orphée! Pompeux et niais ton texte...euh...mouais...dans un sens c'étais le but recherché nan?
>>> Elbaid ! transposer Orphée dans un deux pièces et buvant du coca me parait une très très bonne chose...
Orphée 2000
Glandouillant tout pépère sur son clic-clac d'occase
Orphée buvait une bière -boisson à bulles qui pique-
Composant ci ou ça sur sa lyre électrique
Pour Eurydice sa belle -la serveuse de "La Case"
Il l'avait rencontré un soir un peu bourré
Un soir comme tous les autres pour partir en virée
Un flash, un coup de foudre, un coup d'esbrouffe plus tard
Orphée encore pinté caressait ses nibards
Si sa lyre électrique pouvait vous raconter
Elle vous dirait sans doute que "c'était mieux avant
Qu'Orphée et qu'Eurydice s'aimaient éperdument
Et qui pour elle avait du l'enfer supporter"
Que le futur est glauque pour ceux qui s'aiment autant
Aujourd'hui Eurydice a trouvé un amant
Orphée est devenu alcoolique dépendant
Et la lyre est aux puces : ce mythe est statufiant