+ Répondre à la discussion
Affichage des résultats 1 à 8 sur 8

Discussion: l'art est-il une nouvelle religion ?

  1. #1
    silver59 Guest

    Question l'art est-il une nouvelle religion ?

    Bonjour,
    j'ai fais pas mal de recherches par rapport à ce sujet mais il est treès difficile de trouver des infos par rapport à l'art vu comme une nouvelle religion.
    que me proposeriez vous pour ce sujet ?
    auriez-vous une idée de plan ? ou des auteurs à mentionner ?

    Merci de votre aide !

  2. #2
    tia Guest

    Par défaut

    C'est le terme nouvelle qui me pose problème...
    Sinon sur les rapports art et religion j'ai trouvé cela:
    http://forum.philagora.net/showthrea...t=art+religion

  3. #3
    silver59 Guest

    Par défaut

    moi aussi ca me pose problème.... des infos sur les relations entre l'art et la religion j'en ai mais je ne trouve rien de rien sur l'art comme une nouvelle religion

    sinon j'avais pensé faire une partie sur l'art comme une nouvelle religion pour l'artiste puis pour le spectateur....

    t'en pense quoi ?

  4. #4
    Galigo Guest

    Par défaut

    Vous n'êtes pas des futurs préparationnaires lillois vous deux par hasard ? Prépa saint-paul, non ?

  5. #5
    silver59 Guest

    Par défaut

    YES !
    tu fais une prépa éco ?

  6. #6
    Date d'inscription
    April 2001
    Localisation
    France -
    Messages
    21 954

    Par défaut

    Bonjour à tous les trois
    Quand un sujet me semble flou je le prends au mot!
    Ici nouvelle:au sens strict est nouveau ce qui apparait pour la première fois
    L'art apparait-il pour la première fois comme une religion? pour la première fois l'apparition d'une religion?
    Je partirais du double sens de religion: ce qui réunit horizontalement des individus et ce qui s'oriente avec respect vers un transcendant. Je n'oublierais pas la distinction entre le sacré et le profane ( ce qui reste en dehors du temple) Le fanatique est celui qui s'enferme dans le temple.
    Est-ce que cela vous donne une idée?
    Je m'étonnerais de la question... L'art n'a-t-il pas perdu son caractère religieux?
    Enfin je commencerais par m'interroger sur l'économie du terme nouvelle, tout comme vous, sans pour cela perdre de vue le terme religion.
    Maintenant je pense au caractère intolérant que peut prendre une religion.... Et je me dis que cela permet peut-être de mieux comprendre la question...
    Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir

  7. #7
    python Guest

    Par défaut

    Citation Posté par silver59 Voir le message
    Bonjour,
    j'ai fais pas mal de recherches par rapport à ce sujet mais il est treès difficile de trouver des infos par rapport à l'art vu comme une nouvelle religion.
    que me proposeriez vous pour ce sujet ?
    auriez-vous une idée de plan ? ou des auteurs à mentionner ?

    Merci de votre aide !
    le plus simple, est de poser que l'art se fonde sur l'esthétique, tendis que la religion se base elle sur la croyance..

    en gros autant vouloir melanger des pommes et des poires, si elles vont ensemble ce n'est que par récupération du religieux a dessin pour l'illustration des mystères quel entend distiller au sein des population..

    esthétique et religion sont deux domaine très important du fait "humain".. ne portat pas sur les même notions de base, le beau, et la croyance, il est quasi vain de vouloir meller ses deux termes.

    toutefois, la question ayant tout de même un sens il faut extraire celui-ci.

    ici, le terme religieux ne vient sous la forme mystique, fanatique ou autres, mais bien plutôt comme l'idée d'un mouvement social particulier posant un certain nombre de code(esthétique) intrinsèque..

    mais là aussi, le lien reste vraiment ténu, poser l'art sous la forme de la croyance, ou d'un mouvement général d'une société, se serait oublié que l'esthétique est un fait encore plus fondamental aux hommes que ne peut l'etre le religieux..

    en dernier lieu l'on pourrais invoquer, la notion de norme et de normalité quand a l'esthétique et la notion de relativité du beau, des style qui peuvent se poser en normesdu gout dans ue société, et parceque ce sont des normes, générer des phénomène de soi vs non-soi, c'est a dire de rejet de ce qui n'est pas dans la norme.. a ce titre, le religieux pouvant etre lui aussi normalisateur, l'on pourras dire que l'esthétisme et religion peuvent connatre les même excès de normalisaton en rejetant tout ce qui n'est pas dans leur dogme.. mais somme toute sur ce point, ni l'esthétique, et ni le religieux sont vraiment en cause, il s'agit plutôt du fait social normalisateur naturel dans l'espèce humaine.. la relation du soi/ non-soi etant un notion propre au système biologique, donc encore plus profond que l'humanité elle-même, puisque la moindre céllule connais la division soi, non-soi..

    l'esthétique, comme le religieux etant des phénomène humains, et que l'homme cherche toujours a normaliser et étiquetter les choses, il finit toujours par découvrir des exception aux règles qu'il pose.. que se soit en science, en religion en art, en amour, en droit ou autres.. l'art de classifier les chose, de normaliser, etant " natura humanis prime" en faisant du mauvais latin.. les religions ne sont que des système sociaux de second rang necesaire mais indispensable.. l'esthétisme quand a lui etant aussi vieux que l'amour et le sexe existe..

    l'art une nouvelle religion?? question stupide pour jeune philosophe de prépa, rien qu'un amuse gueule comme l'on ferais du plum-pudding au cuisse de grenouille, une pure hérésie (pas dans la normes,donc très vilain, pas bô, koi)

  8. #8
    Date d'inscription
    April 2001
    Localisation
    France -
    Messages
    21 954

    Par défaut

    Certes on ne peut écarter l'hypothèse d'une plaisanterie.
    Ceci dit reste la question: que faire devant un sujet impossible qui , peut-être, ne sera même pas ramassé?
    On voit mal un prof avoir dès le premier jour 40 copies à corriger...
    Je pense qu'il est possible
    -dans une première partie de mentionner ce qui a pu conduire à poser une telle question
    - dans une deuxième partie justifier la décision ferme de répondre non (utiliser l'aide de python et l'analyse des concepts du sujet)
    Le tout en deux pages maximum au cas où ce ne serait pas un bizutage.
    Garder ce travail bien caché et ne le rendre qu'en dernier recours
    Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir

+ Répondre à la discussion

Règles de messages

  • You may not post new threads
  • You may not post replies
  • You may not post attachments
  • You may not edit your posts