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Discussion: "De vrais philosophes"

  1. #41
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    May 2005
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    perpignan
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    super...j'adore...

    merci.

  2. #42
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    Citation Posté par 03359818 Voir le message
    Bonjour à tous et à toutes,

    Je suis ravi de recevoir de vous cette première réaction à l'égard de ma participation intitulée "philosophes: medecins des àmes et des corps".Qui dit que l'ètre humain est incurable?
    A vous bye!


    Il semble qu'il doive me manquer une intelligence"certaine" pour pouvoir suivre le sens "synthétique" de votre texte....
    De quel type "d'agrégation " parlez-vous là,s'il vous plaît?

    L'évidence de votre optimisme s'agissant de la "curabilité" de l'être humain,par exemple....Croyez-vous vraiment, ainsi, d'entrée de jeu et sans introduction que nous parlions forcément ET automatiquement de la même chose(?).....
    D'autre part ce qui est à opposer à l'intelligence ce n'est pas la science(comme si l'intelligence "philosophique" aurait la science comme adversaire:avec quelle utilité,d'ailleurs?) mais la bêtise.....
    Et elle,cette derniére, ne connaît qu'une liberté arbitraire qui n'a besoin ni d'exactitude ni d'efficacité...
    S'agissant du reste,c'est-á-dire de votre optimisme répété s'agissant des attributs obtenus ou à obtenir
    par les philosophes: inovation, éveil, moi,etc...

    Il s'agit-lá bien,de ce typiquement "humain",des mêmes illusions qui sous d'autres formes...Je vous fait cadeau du reste....
    Finalement vous n'en sortez pas
    Pourquoi la "situation psychique" de l'être humain est-elle si déplorable?
    Pourquoi on ne peut l'aider ou pallier dans un tel état?
    Pourquoi ne peut-il se laisser aider, l'humain, ainsi?

    Donc une réflexion toute aussi globale qu'analytiquement fondée dans votre texte, ne fusse qu'une esquisse, par exemple, n'est nulle part..... S'agissant de cet objet....

    Votre optimisme.....
    Il pourrait ressembler au principe d'une politique qui substitut à la compréhension de la nature humaine celle du conditionnel passé comme faisant suite au conditionnel présent....
    C'est tout....
    Le reste, c'est-à-dire cette tentative désespérée d'une définition(quelconque) par rapport à la science n'est qu'une vieille litanie: déjà Kant l'a montré: une faculté de juger SANS pouvoir de décision: de quoi faire rire n'importe quel politicien même de la troisième rangée....
    Enfin, pourquoi la philosophie n'a-t-elle aucun domaine indépendant des autres sciences?
    Ne sont-ils pas assez "intelligents" (les philosophes) pour obtenir une importance politique indépendante du prestige de la science?
    D'où vient le déficit "psychologique" d'une telle inéficacité sociale?
    Ainsi peut-on "comprendre" pourquoi ce qu'ils entendent par liberté n'a psychologiquement aucune utilité....
    Car, d'abord,il faudrait bien savoir,contrairement à ce que prétendent (ou ne prétendent pas?) les philosophes:quel mot (?) à quelle position(?) dans quel registre lexicologique (?)

    A vous de répondre si vous le voulez....ou le pouvez....bien.......

  3. #43
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    July 2006
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    Par défaut vive la rhétorique!

    Le style "hammien" lui est est incurable lol...quelque soit votre interlocuteur brezing ham, vous ne cessez de répéter les mêmes mots de manière obssesionnelle: bêtise/intelligence/mais de quoi parlons-nous/veuillez précisez l'objet de votre réflexion....si vous le voulez bien ou si vous le pouvez bien et toujours ce Kant et cette raison claironné à tout va, quelque soit le sujet évoqué...en somme et toi? peux-tu ou sais-tu même ce que tu exprimes, en somme finalement tu incarnes très bien la posture, ou plutot une posture, pour te faire passer pour ce que tu n'es pas: un philosophe! Imposture!en somme tes messages sont inéfficaces car inintelligible, car finalement le fond n'y existe pas...quoique le seul truc à creuser ici: quel mot? à quelles positions? dans quels registre léxicologique?et encore tu dis "il faudrait savoir"...quel mot; à quelles position, dans quels registre léxicologique? mais finalement "il faudrait savoir" quoi en fait?!
    comment définissez vous "la situation psychique de l"être humain ou de l'être hammien" lol...ce typiquement humain qui sous d'autres formes(...) et vous nous faîtes cadeau du reste mais c 'est quoi le reste?!de quoi parlez vous? de quoi parlons nous?la vérité: c'est qu'il n'y a rien derrière le mot "reste" dans votre expression(stop le bluff : "je vous fais cadeau du reste", à mon avis c'est juste "pour la forme" et non "sous d'autres formes"...que de la rhétorique! je suis sur que vous seriez plus compréhensible, si vous faisiez moins de rhétorique...

  4. #44
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    July 2006
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    Par défaut un nouveau temps de conjugaison: le conditionnel philosophique

    et aussi: vous m'avez parler "de vraie philosophie" mais je vais vous dire, "la vrai philosophie" n'est qu'un mythe, de même pour les faux/vrai/ou grand philosophe,je dirais même à votre façon que ces termes ne sont pas valables: en effet les questions existentielles ne se réglent pas comme des équations algébriques...si 1+1= 4 est faux, aucune question voire aucune philosophie ne peut être fausse ou vrai, il s'agit de calmer ses angoisses existentielles et de retrouver de l'air et de mieux respirer psychiquement, de trouver des mots qui peuvent nous rassurer, de cadrer sa réflexion dans quelques lignes écrites ou lues...l'important ce n'est pas qu'une philosophie soit vraie ou fausse, c'est qu'elle soit thérapeutique et qu'elle fasse du bien(et en cela je suis absolument d'accord avec 03, si tu pouvez changer ton pseudo 03,ça serait plus convivial dailleurs), ensuite si elle traverse le temps, tant mieux plusieurs génération en profiterons, mais finalement si elle traverse le temps...c'est que les mêmes angoisses appelent les mêmes registre lexicologiques et par voie de conséquences les mêmes cheminements philosophiques, c'est pour cela que showdown disait au départ, qu'il avait l'impression d'avoir déjà pensé des choses qu'il a lu ensuite...c'est pour cela ensuite que j'ai cité niestzche; qui disait qu'en gros que parler une même langue ou même différentes mais issue du latin ou grec, prédisposer à une philosophie comune...peut-être que la vrai philosophe dont vous parlez est une "philosophie de la grammaire"...
    pour faire simple, un exemple: MORT
    je meurs, je mourrai, je suis mort,j'étais mort (c'est bien le seul verbe ou le futur précède le passé , pour reprendre elbaid; qui disait je ne sais plus dans quel discussion je crois: "la mort, après laquelle je n'aurais plus de futur", ce n'est pas exactement ses termes mais bon...on peut dire "j'ai fait" et "je ferais" encore d'autre chose, mais avec "mourir" on dit "je mourrai" et on diras de nous "il est mort"...en résumé comme on ne peut parler de la mort qu"au futur et on sait que l'on pôurra jamais en parler au passé, c'est pour cela qu'on fait du "conditionnel" comme vous dites et j'apellerais ça du conditionnel philosophique: éventuellement je mourrais, et s'ensuivent des hypothèses philosophiques du genre épicure "et même si je mourrai ou mourrais c pas grave, pourquoi aurais-je peur de ce que je ne connais pas, de ce dont je n'aurais plus conscience" ou autre orientation philosophique...vous comprenez maintenant que le vrai ou le faux n'a rien à faire la dedans, l'éfficacité philosophique (presque finalement comme efficacité religieuse) doit se mesurer par la pulsation cardiaque normale et la diminution de la peur lorsqu'on ennonce "je mourrais un jour", et aussi l'éfficacité philosophique comme un pansement pour la perte des proches...reste à savoir si en temps réel la philosophie sera efficace pour nous rendre la mort moins insoutenable à vivre...celle des autres et la notre.

    le conditionnel philosohique pour accepter notre condition mortelle.

  5. #45
    Nielsen Guest

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    Philosopher est quoi qu'on en dise une façon de ne pas avoir peur. Il a y a de nombreux philosophes admirables mais la plupart escamotent les véritables tourments ou les passent sous silence.

    Epicure perpetue le mythe de l'homme sans anxiété de la "grande civilisation" Je vois pas en quoi la philosophie peut mieux aider à supporter le poids de l'existence ou nous soulager au moment de mourir. L'art est impuissant et la blessure inguérissable.

    Pourquoi la philosophie serait-elle une acceptation bienheureuse de notre condition ? Pourquoi se résigner à notre condition de mortel comme à une loi de la bonne nature?
    (relire l'homme revolté)

  6. #46
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    May 2003
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    Relire l'homme révolté?
    dans quel but,s'il vous plaît?........

    Contrairement à ce que "pense" mes mots" la philosophie n'a pas de vocation psychoanalytique......Elle a,peut-être, une vocation "psychologique":ne pas "se" mentir inutilement.....
    Si,donc,l'homme révolté de Camus est un insensé imbécile,
    c'est pour plusieurs raisons.....
    Dire,par exemple, que l'on peut changer quoique ce soit en notre monde n'est même pas une niaiserie....
    Ce que certains politiciens croivent "pouvoir faire" ne vaut même pas un brossage de chaussure ou s'estampille"faux"....
    C'est moins que cela.....
    Il suffit,par exemple,de "comprendre" les dangers qui viennent de l'écologie....Nous pouvons déjà savoir "maintenant" que le combat est perdu,un point c'est marre.....
    Pourquoi donc "philosopher",alors?

    Contrairement á ce que prétend"mes mots" c'est,malgré tout une question "d'intelligence"......
    Car "les imbéciles ne vont "ni changer la situation (de notre monde) ni,même lorsqu'il sera trop tard,"comprendre"
    pourquoi il en est ainsi.....
    Pour "comprendre" le destin de l'être humain il faut pouvoir "voir" son état psychique....
    L'être humain n'est pas libre:il ne l'est même pas pour penser "ce" qu'il veut COMME il le veut.....
    Ce que "l'homme pense" est un rêve....Qu'il soit agréable ou même désagréable n'y change rien....

    Prenons,s'il vous plaît,comme exemple, la peur de la mort.....
    Comment"comprendre" la peur?
    Quelle attitude avoir vis-à-vis de la peur?
    Comment contrôler la peurt?
    Existe-t-il un langage de la peur?
    Est-ce que les signaux de la peur
    correspondent à un danger ou une menace "réelle" ou non?
    Est-ce qu'une peur "imaginaire est différente d'une peur réelle?
    Et ainsi de suite.....

    Le contrôle de la peur n'a rien à voir avec la mort.....
    Donc,au contraireenser la peur sous la menace de la mort rend la peur "incontrôlable".....PARCE QU'ALORS la peur est justifiée par la mort....
    Qui,donc, parle de la peur de la mort a donc déjá abandonné le combat.....
    Sans doute.....
    Et cela pour différentes raisons....
    D'abord parce qu'on ne peut pas être"uniquement" "contre la peur"....

    Car elle existe toute aussi bien consciemment comme inconsciemment....
    Ensuite....Un sentiment négatif vient rarement seul:avant la peur de la mort vient "la surprise:il va falloir mourir,ensuite vient la peur.....
    Il s'agit donc bien d'une dépossession....
    Et il devient très compréhensible pourquoi l'être humain
    ne peut que mentir lorsqu'il est question de sa chair et de ses os:
    il est impuissant.....

    Mais il ne veut pas renoncer à l'illusion de son devenir en toute quiétude:il croit plus en ce qu'il vit qu'en ce qu'il pense.....
    Voilà donc la différence avec le "vrai philosophe":lui croit PLUS
    en sa pensée qu'en sa vie....
    Pour lui vivre c'est penser et la vie sans la pensée n'est rien...
    Car nous sommes venus sur cette terre "pour comprendre"....Et cela "délibérément".....

    Seulement sous cette forme la compréhension peut-elle avoir une valeur....

    Toutes les formes de contraintes du point de vue de la valence tombent à l'eau,ainsi...
    Seule une "libre compréhension vaut".....

    Il n'est donc pas seulement question "de philosophie" ou d'intelligence.....

    Il est question aussi de savoir l'utiliser à bon escient:non pas pour un quelconque but bidon....
    Le propre de l'intelligence,ainsi, est de déterminer l'essentiel:comme les choses SONT....Avec précision,succintement....

    Il serait,bien sûr,possible de "s'étaler sans fin" sur les propriété de l'intelligence....
    Mais dans quel but,au fond?
    Qui ne veut pas s'y intéresser,croit déjà l'avoir ou pense qu'il s'agit d'une supercherie....
    peut faire penser à l'adage:

    - Vous chantiez? J'en suis fort aise.
    Eh bien dansez maintenant....

    A la prochaine,peut-être...

  7. #47
    poly Guest

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    Citation Posté par elbaid Voir le message
    je crois pas que nous évitons le MAL pour faire le BIEN...
    IL y un raport d'équilibre entre les deux...et ce sont des données toutes relatives a notre état de conscience..
    Le bien et le mal...sont l'expréssion du doute , de nos peurs , de nos angoisses...mais aussi de nos volontés , nos espoirs..ect ect..
    Je viens de relire toutes les réponses et en passant par votre réflexion Elbaid je me suis dit:

    Bien je pense que le mal n'existait pas avant qu'on ne l'expériemente..depuis ce temps là on apprends qu'il y a des conséquences au mal!

    Il y a d'une part comme dit Elbaid un rapport entre les deux...mais aussi un rapport d'équillibre rompu, donc un déséquillibre auquel nous sommes confronté dans le temps et l'espace...je trouve!

    Poly

  8. #48
    poly Guest

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    Citation Posté par Brezing-Hamm
    Voilà donc la différence avec le "vrai philosophe":lui croit PLUS
    en sa pensée qu'en sa vie....
    Pour lui vivre c'est penser et la vie sans la pensée n'est rien...
    Car nous sommes venus sur cette terre "pour comprendre"....Et cela "délibérément".....
    Bonjour Brezing-Hamm, je suis assez d'accord avec votre défénition comme quoi...Il faut croire plus en notre pensée qu'en notre vie..bien que sans la vie...pas de pensée possible?
    C'est inter-relié et contradictoire pourtant car si la pensée est non active, la vie végète; c'est un peu vivre dans une situation désertique, et sans eau ...c'est mourrir (de soi) cet état là!

    Je suis aussi d'accord que nous soyons venu sur terre pour essayer de comprendre nous en avons l'essentielle responsabilité libre!

    Tchow!
    Poly

  9. #49
    poly Guest

    Par défaut Mourrir de soi et mourrir a soi!

    Oui moi j'ai d'abord penser comme mourrir de soif...puisque la mort frappe a la porte ou le semble!

    Mais mourrir de soi est aussi vrai!!!
    Comme mourrir a soi est aussi vrai!

    Cela appelle une autre réflexion: cesser de penser n'est pas nécessairement cesser de vivre...Cela peut aussi signifier une sorte de mort a soi pour naître a une autre forme de penser et une autre façon de vivre sa vie!

    Parfois on peut mourrir a une forme de penser!
    Comme mourrir a une façon de vivre pour en adopter une autre.

    Car penser c'est aussi devoir choisir vers quelle sorte de pensé est valable pour orienter ''mon vivre''.

    C'est ici que prend tout le sens de ''l'abandon positif'' de devoir mourrir a soi! La personne vit alors un retournement personnel intérieur qui peut beaucoup changer sa pensée et de pair sa vie!

    EX: croire en quelq'un au point qu'il devienne une source, un maître.
    Peut changé la façon de penser d'une personne.
    Car il semble que la penser de cette personne rejoigne une vérité que j'aime. Ainsi j'aime sa pensée! et sa facon de vivre.
    Car sa pensee est toujours bien et sa facon de vivre m'attire assez que je veux être comme Lui! (Cela peut-être aussi un prof de philo. par ex.)? Hummmmm!(rire)

    Alors ici, le mourrir a soi personnel peut entrez en conflit avec l'égo, le moi qui est fort et qui veut mener sa vie comme bon lui semble au gré de sa vie et de sa liberté tant chérie de toutes ses pensée qui en moi me satisfassent égoïstement souvent!
    La pensé satixfaction personnelle ''égoîste'' centré sur soi existe, mais on n'aime pas s'en vanté! Elle peut être positive certes mais le plus souvent elle comporte en ses excès et ses conséquences obliga toirement!



    Poly

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