J'ai une colle sur cette citation de Nietzsche. J'ai peur de faire fausse route, de ne pas comprendre réellement ce qu'entend Nietzsche par cette phrase. Dans son contexte cela donne :
Ce que nous savons de nous-mêmes et avons en mémoire n’est pas aussi décisif qu’on le croit pour le bonheur de notre vie. Un beau jour s’abat sur nous ce qu’autrui sait (ou croit savoir) de nous_ et l’on s’avise alors que c’est cela qui est le plus puissant. On vient plus facilement à bout de sa mauvaise conscience que de sa mauvaise réputation.

J'ai pensé étudié tout d'abord dans une première partie cette citation avec tout d'abord la conception de la mauvaise conscience de Nietzsche (résultat d'une invention mensongère cf Généalogie de la morale)
puis je comptais approfondir le sens de cette citation avec notamment Rousseau (l'empire de l'opinion..) et Sartre (Huis Clos)
Dans une seconde partie je comptai remettre en cause cette affirmation de Nietzsche avec notamment les théories des psychanalystes tels Freud, mais aussi à l'aide de Crime et châtiment de Dostoïevski mais aussi redonner une place importante au libre arbitre
Enfin dans la dernière partie je voulais nuancer ces deux thèses avec notamment une réflexion sur le jugement personnel et le jugement d'autrui

Suis-je sur la mauvaise voie? Ai-je bien compris cette citation? Ai-je oublié certains éléments?

Merci d'avance.