Je ne sais pas si c'est dans le bon forum que je poste ce message mais je n'en trouve pas d'autre approprié..
J'ai un probleme avec une dissertation sur "solitude de la pitié" de giono.
A propos de cet ouvrage Philippe Arnaud écrit "Satan conduit le bal dans ce recueil..." et il s'agit d'expliquer dans quelle mesure une telle formule eclaire la lecture du recueil.
Je bloque un peu sur ce sujet, mis a part une mince corélation à satan avec "le prélude de pan" ou le dieu-bouc est présent je ne vois pas quoi dire.
En éspérant une petite aide ou quelques pistes de vos parts je vous remercie d'avance