secoué, moi , je veux bien :-) en tous cas aussi vives les interventions peuvent -elles être, je reconnais à tout le monde de penser tout et n'importe quoi, et c'est encore plus amusant comme ça , on donne juste son avis sans prétendre à quoi que ce soit
ou alors on dit rien
or sur le net est, c'est un acquis qui doit être défendu absolument , on rencontre en général "des gens qui pensent des choses" ,
sinon ils ne seraient pas là ... internet est déjà sélectif au bon sens du terme: puisque plus on parle, plus on parle .... (!)
donc dans tous les cas, c'est bien.

pour ce qui est de la liberté , on oublie toujours un composant fondamental :
le libre (et vous en parlez tout à fait) ça n'est pas ce qui est (déjà) , c'est ce qui n'est pas (pas encore).
alors ça s'invente. ça s'invente par contrainte, par rencontre, par rupture ou par fidélité, ou du simple fait d'être ceci (spontanément), on se dit (ou on le ressent, on ne le dit pas forcément avec des mots), on se dit , "tiens pourquoi j'ai dit ça, pourquoi j'ai fait ça "
du simple fait d'être posé là au-devant de soi, (pour peu que l'on stagne un peu cad contemple et tout le monde contemple peu ou prou , se contemple et contemple , observe les autres), du simple posé là , ça change...ça n'est déjà plus le "même",
alors de ce miroir, qu'est le vécu, comment voulez vous que nous n'en pensions rien ...?
forcément on se pense tout le temps et légérment ou avec fracas, on se pense autrement.