la question est bien sur très intéressante ne serais-ce que par son actualité. En première analyse, j'ai tendance à considérer que le problème n'est pas la destruction éventuelle de l'humanité, mais les souffrances potentielles endurées par les hommes existants. En effet, si je pense que l'on peut poser comme principe supérieur la réduction des états de souggrance humaine, ceci me paraît relativement différent pour l'idée de présence indispensable dans l'univers.
Si l'on suit cette idée, la question devient alors : comment éviter les souffrances humaines et non comment sauver le monde.
qu'en pensez-vous ?