Vous pouvez vous inspirer de cette page:
http://www.philagora.eu/educatif/ind...rreur_desordre
http://www.philagora.eu/educatif/ind...on/Cervantes_9
citation de Pascal:"C'est cette partie décevante dns l'homme, cette maîtresse d'erreur et de fausseté, et d'autant plus fourbe qu'elle ne l'est pas toujours, car elle serait règle infaillible de vérité, si elle l'était infaillible du mensonge. Mais, étant le plus souvent fausse, elle ne donne aucune marque de sa qualité, marquant du même caractère le vrai et le faux"
Discutez du propos en le confrontant aux oeuvres du programme!
Auriez-vous des pistes à me donner pour construire un plan??!!
Merci
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http://www.philagora.eu/educatif/ind...on/Cervantes_9
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir
D'abord "les pistes" à suivre(comme vous dites).....
a) Est-ce que Pascal n'enjolive pas la nature humaine en la simplifiant?
b) Est-ce que l'être humain peut ou doit décevoir par ce qu'il ment?
c) Est-ce que l'usage du mot"fourbe" est vraiment exact?
d)Est-ce que la vérité est opposable au mensonge?(ne s'agit-il pas,tout
simplement,d'opposer le vrai au faux,toujours?)
e)Que doit être cette "maîtresse"(?)(d'erreur et de fausseté) si ce n'est un mot mal choisi qui ne signifie rien....
Un plan argumentatif et critique pourrait être:
a) La CRITIQUE négative
1) Pascal ne veut distinguer entre l'attitude (psychologique) du menteur
2) L'erreur "logique" qui résulte du fait de préférer le mensonge
3)Le degré de franchise qui peut ou ne peut pas coïcider avec le nombre des mensonges "produits"....
4) L'importance"sociale" du comportement mensongé(est-il "fourbe" comme les autres menteurs?)
5) L'importance morale de l'attitude mensongère(mesure-t-il le mensonge comme Pascal?)
6)La valeur "gnoséologique" du mensonge:combien en sait-il en matière de mensonge?
b) Est-ce que ses connaissances en la matière suffise pour le culpabiliser?
La CRITIQUE "positive":
1)Est-il nécessaire de distinguer entre le faux "objectif"(l'énoncé) et le faux subjectif(l'attidude)?
2)Existe-t-il donc une différence entre le "faux" et le mauvais?
3)Est-ce qu'une attitude"mensongère" ne ressemble pas à une maîtresse?
(de celle dont
on peut "solliciter" n'importe quoi(?!))
4)Peut-on mentir de bonne foi?(quelques soit la situation)?
5) Est-ce que le mensonge est á comprendre "autrement"(?),autrement qu'une perte de valeur"subjective"...un point c'est tout....
6)Est-ce que "la qualité" du mensonge n'est pas d'être non-qualifiable?
La Synthèse négative:
Pascal refuse de distinguer:
a)l'objectivement faux du subjectivement faux
b)La connaissance du faux et le comportement hypocrite....
c)L'absence de conscience de soi du menteur(sait-il "comment" il ment?)
et les "implications" toute aussi morales comme psychologiques qui mènent à mentir....Disons"sans discernement" pour ,tout à la fois, soutenir et relativiser
le propos de Pascal....
Avec mes salutations,
Brézing-Hamm