dans les essais(I,28 MONTAIGNE oppose les amitiés ordinaires, qui peuvent être diverses et méfiantes, et l'amitié parfaite, où "chacun se donne si entier à son ami, qu'il ne reste rien à partager ailleurs ; cette amitié qui possède l'ame et la regente en toute souverainité, il est impossible qu elle soit doudle".
Apres avoir lu toutes les oeuvres du programme et particulièrement des livres VIII et IX d'éthique à nicomaque d'Aristote, êtes vous enclin à confirmer ce jugement?