Chouette, un contradicteur énervé.
Tu détournes mes propos. Je ne mets pas tout le monde dans le même bateau. Je fais une distinction entre ceux qui bossent vraiment, qui s'intègrent, dont on n'entend jamais parler au 20h, et ceux qui foutent le bordel, brûlant à la fois nos voitures et notre culture. Ce ne sont pas les mêmes. Mais toi-même, es-tu sûr d'appartenir à cette catégorie ?
Ou es-tu un défenseur de la weshitude, de la haine anti-française et de la destruction gratuite ?
Être ou ne pas être, telle est la question...
Héhé, je vois que tu as lu Nietzsche... Ou du moins, tu montres que tu l'as lu.Début de la quote
"Ensuite, il est irréfutable que le communisme a tué beaucoup plus de monde, provoqué beaucoup plus de souffrances et a été beaucoup plus hypocrite que le nazisme."
J'ajoute même que la faim tue plus que le communisme et le nazisme réuni, et pourtant, on a jamais fait la guerre à la fin. C'est fou ce que ce raisonnement est constructif. Qui devrais le plus détester entre communisme et nazisme. Un dionysiaque au coeur d'airain n'aurait que faire que cultiver cette rancoeur, faire une comptabilité de la rancoeur...
Mais Nietzsche ne mélange pas n'importe quoi pour en tirer des conclusions idiotes. Le communisme et le nazisme sont deux totalitarismes, deux formes de gouvernement.
La faim est-elle un totalitarisme ? Est-elle une forme de gouvernement ? Non. C'est un état de fait.
Vu ton discours, tu vas probablement me sortir que la faim dans le monde existe à cause des méchants occidentaux qui pillent la planète. Ah, les préjugés, comme c'est facile !
Ensuite, je ne comptabilise pas la rancoeur, j'essaye simplement d'estimer ce qui est le plus détestable. Tu pourrais adresser la même accusation à ceux qui ont compté le nombre de juifs morts dans les camps. Sauf que là, tu serais tout de suite diabolisé. Tout dépend de l'objet étudié, et de comment on l'étudie...
Summum de la crétinerie, demandons nous ce qu'ils ressentent, tu sais bien ces gens la sont des bêtes avides de sang de sacrifice humain mais quel question?Début de la quote
A propos des gens qui vivent en banlieue et qui ne sont pas des racailles, demandons-nous ce qu'ils ressentent... La plupart d'entre eux n'en peut plus, à force de vivre sans cesse dans la peur, l'angoisse, l'humiliation constante que leur infligent les racailles et leurs familles. Et s'ils disent quoi que ce soit, on les accuse d'être racistes.
J'ai passé en cité la moitié de ma vie, et je pourrais t'en parler, ma famille toute entière y a vécu jusqu'à peu, et la peur, l'angoisse, l'humiliation m'ont l'air d'être des maux complètement inventés pour les besoins d'un parti, ou d'un génération bobo en mal de causes à défendre. Au lieu de stipuler et d'émettre des hypothèses farfelues, mais droles puisque ridicules, va mouiller ton cul en cité, tu verras, tu pourras en parler autrement. Je pourrais te parler des heures du MPF, et pourtant, j'ai pas ma carte ( on a encore une dignité presque animale chez nous, bien que nous ne soyons pas, au regard de tes critères, français). Si je voulais savoir ce que c'était que le MPF, (pourquoi pas, j'interdis personne de manger sa *****), le mieux serait d'y aller, tu ne penses pas?
Examens de quoi au fait?
Je ne suis pas du genre à abuser des attaques personnelles, mais là, tu mens.
Ma mère a passé deux ans à Créteil, dans un HLM. Deux ans de terreur quotidienne, avec une famille d'arabes au-dessus de chez elle qui la traitait de pute, et si elle se plaignait auprès du logeur, on l'accusait de racisme. Chaque semaine, les lampadaires cassés, les racailles sous les fenêtres, le bruit, l'environnement dégradé.
Des dizaines de milliers de gens ont vécu cette situation. Nier cet état de fait est un mensonge pur et simple.
Quant à tes attaques personnelles, tu peux les garder pour une soirée rap, ça fera super bien au milieu d'un troupeau de casquetteux haineux.
mes voeux pour 2007. Qui sait ce qui arrivera ?