Chères et chers internautes,
Les capacités olfactives des rats de laboratoire n'influencent en rien leurs réussites ou leurs erreurs dans l'expérience qui est décrite dans le texte intitulé : "Recherches nouvelles sur l'intelligence formelle de la Nature" dont j'ai parlé dans mon post plus bas.
Pour ce qui est de l'infaillibilité des théories scientifiques, il ne faut pas se leurrer. Pour pouvoir dire si telle ou telle théorie scientifique est infaillible, on doit se servir de nos moyens cognitifs humains donc faillibles. Il y a là un paradoxe important. En effet, comment être sûr d'avoir détecté la perfection avec nos moyens humains imparfaits ? C'est pourquoi je dis que toute théorie scientifique ne peut être que subjective. Sinon on tombe dans un dogmatisme digne de l'Inquisition. A mesure que la science évolue, il faut s'attendre à ce qu'elle découvre plus de questions que de réponses. Il faut donc laisser place au doute et à la subjectivité. L'important, c'est que les questions soulevées soient intéressantes. Et je crois que les hypothèses soulevées par M. Rupert Sheldrake sur les champs morphiques sont extrêmement intéressantes. Elles touchent à la fois la science, la philosophie et la spiritualité.