bonjour,
une petite question à propos de l'oeuvre de Corneille, Cinna.
A partir de l'acte 4, scene 2 et 3, une question m'est posée:
le pouvoir absolu est-il libre absolument?
quelqu'un aurait-il une trame ou une idée principale à développer par rapport à cette question?
merci d'avance