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Discussion: khôlle => la mort: avantage/ inconvénient

  1. #1
    soudafr Guest

    Unhappy khôlle => la mort: avantage/ inconvénient

    voici mon sujet de colle!! la moindre idée de piste est la bienvenue!! merci ...

  2. #2
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    April 2001
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    Messages
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    Avantages pour qui? pour les survivants?
    Inconvénients pour qui?
    " On ne me louera, j'en conviens, ni dans ce moment où je suis, ni quand je ne serai plus ; mais je m'en estimerai moi-même ; mais on m'en aimera davantage. Ce n'est point un mauvais échange que celui de la bienfaisance, dont la récompense est sûre, contre de la célébrité, qu'on n'obtient pas toujours, et qu'on n'obtient jamais sans inconvénient. " Diderot à propos de Sénèque.



    Quelle mort? Je ? tu ? il ?
    Pou un plan?
    Pour le point commun demandez-vous si les anciens pouvaient regarder en face le soleil ou s'ils étaient contraints d'utiliser un reflet: la mort est-elle observable par un vivant ou ne l'appréhendent-t-ils pas à travers la mort d'autrui comme dans un reflet?
    Conséquence pour votre sujet?
    "Ni la mort ni le soleil ne se peuvent regarder en face ."Héraclite

    Bien lire cette page:
    http://www.philagora.net/cgi/pg-rech...inconv%E9nient

    => Fin ou passage = Cependant, on parle sur la mort: les uns affirment qu'elle est une fin définitive parce que l'âme est matérielle, et qu'elle se décompose en même temps que le corps (à cela Platon répond dans Phédon que ce qui n'est pas composé, ne peut se décomposer); D'autres au contraire espèrent que l'âme est immortelle, que la mort est un passage ou même un jour de naissance. Bien entendu, ces discours sont des croyances qu'il est impossible de départager par des preuves.
    Reste que tout grand amour s'accompagne de la croyance en l'immortalité de l'amour.

    => Délivrance = Platon affirme que le corps est une prison qui nous empêche d'accéder à la vérité. La mort serait une délivrance qui donnerait accès à la contemplation des vérités éternelles. Mais il faut distinguer le corps objectif, celui que nous représente la science, celui que les autres voient comme un objet, et le corps subjectif. Puis-je vraiment dire que j'ai un corps (alors, je pourrais l'abandonner) ou alors que je suis mon corps ce qui rendrait très problématique une délivrance : puis-je perdre ce que je suis sans disparaître?

    Bonne continuation sur ce sujet ...passionnant.
    Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir

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