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Discussion: il faut se bouger pour le tipe

  1. #1
    merymed5 Guest

    Exclamation il faut se bouger pour le tipe


    bonjour tout le monde..
    alors on est encor en vacances ?? n'empêche..il faudrait penser au sujet du
    TIPE : le TEMPS (pour les prépas scientifiques) , alors si vous avez des idées ou des pistes n'hésitez pas à nous en faire part, j'ai pensé aux méthodes de datation.. ça peut être pas mal.... bon courage à tous

  2. #2
    florence1 Guest

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    Moi, j'ai de suite pensé à la mesure du temps....Ce devrait être "porteur" ?

  3. #3
    joma Guest

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    A ce propos j'ai trouvé sur ce forum:
    Commencez par lire cette page:
    http://www.philagora.net/cgi/pg-rech...esure+du+temps
    Puis:

    Demandez-vous en quoi la mesure du temps par un espace parcouru sur le cadran de votre montre est déjà une certaine manière de maîtriser le temps.
    Qu'est-ce qui est mesuré?

    http://www.philagora.net/corrige/temps-maitris.php
    - "Par la mesure -la notion de temps a pris une marque quantitative: elle apparaît, non plus comme une entité, mais comme une possibilité d'événements successifs ... le temps n'est pas une chose réelle ou imaginaire mais conceptuelle." Ribot, Evolution des idées générales, p.197.
    "Un temps qui ne serait pas une succession d'années, de mois, de semaines, de jours, d'heures! Ce serait quelque chose d'à peu près impensable. Nous ne pouvons concevoir le temps qu'à condition d'y distinguer des moments différents." Durkheim, Les formes élémentaires de la vie religieuse, PUF, p.14.


    Bergson: Durée et simultanéité:

    "Que d'ailleurs nous le laissions en nous ou que nous le mettions hors de nous, le temps qui dure n'est pas mesurable. La mesure qui n'est pas purement conventionnelle implique en effet division et superposition. Or on ne saurait superposer des durées successives pour vérifier si elles sont égales ou inégales ; par hypothèse, l'une n'est plus quand l'autre paraît; l'idée d'égalité constatable perd ici toute signification. D'autre part, si la durée réelle devient divisible, comme nous allons voir, par la solidarité qui s'établit entre elle et la ligne qui la symbolise, elle consiste elle-même en un progrès indivisible et global. Écoutez la mélodie en fermant les yeux, en ne pensant qu'à elle, en ne juxtaposant plus sur un papier ou sur un clavier imaginaires les notes que vous conserviez ainsi l'une pour l'autre, qui acceptaient alors de devenir simultanées et renonçaient à leur continuité de fluidité dans le temps pour se congeler dans l'espace : vous retrouverez indivisée, indivisible, la mélodie ou la portion de mélodie que vous aurez replacée dans la durée pure. Or notre durée intérieure, envisagée du premier au dernier moment de notre vie consciente, est quelque chose comme cette mélodie. Notre attention peut se détourner d'elle et par conséquent de son indivisibilité ; mais, quand nous essayons de la couper, c'est comme si nous passions brusquement une lame à travers une flamme : nous ne divisons que l'espace occupé par elle. Quand nous assistons à un mouvement très rapide, comme celui d'une étoile filante, nous distinguons très nettement la ligne de feu, divisible à volonté, de l'indivisible mobilité qu'elle sous-tend : c'est cette mobilité qui est pure durée. Le Temps impersonnel et universel, s'il existe, a beau se prolonger sans fin du passé à l'avenir : il est tout d'une pièce ; les parties que nous y distinguons sont simplement celles d'un espace qui en dessine la trace et qui en devient à nos yeux l'équivalent ; nous divisons le déroulé, mais non pas le déroulement. Comment passons-nous d'abord du déroulement au déroulé, de la durée pure au temps mesurable ? Il est aisé de reconstitue
    Bonne lecture...

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