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Discussion: Affirmer qu'il y a un plaisir pur, cela a-t-il un sens?

  1. #1
    abeaucadeau Guest

    Par défaut Affirmer qu'il y a un plaisir pur, cela a-t-il un sens?

    Salut à tous,
    Déjà merci pour ce forum extra qui permet d'avoir un peu d'aide quand on se sent déboussoler. Voilà j'ai une disserte à faire qui s'intitule Affirmer qu'il y a un plaisir pur, cela a-t-il un sens?

    Méthodologiquement, voilà ce que j'ai fait:
    J'ai défini les notions:
    -plaisir: expérience de sensations agréables, satisfaction d'un désir
    -pur: sans mélange, sans défaut moral.

    Maintenant en réflechissant sur la problématique, le truc qui me parait le plus cohérent, c'est de traiter l'aspect moral. Puisqu'en effet le plaisir est subjectif, individuel parce qu'il est satisfaction personnel, peut-on alors affirmer qu'il y a un plaisir pur? Autrement dit, peut-on affirmer qu'il y a un plaisir qui serait dans l'ordre moral?

    Voilà mon point de vue mais je suis pas trop sur. J'espère que vous pourrez m'aider en m'indiquant quelques auteurs à utilisé.s et des remarques sur un aspect que j'aurais occulté.


    Merci beaucoup

  2. #2
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    Point de départ du sujet:
    =A ce moment du Philèbe, Socrate a obtenu la présence de deux types de plaisirs, purs, isolés de tout ce qui n'est pas eux. Il va donc pouvoir grâce à cette présence, "voir" si le plaisir est toujours bon ou "parfois" bon.
    http://www.philagora.net/philo-bac/lirphilb.php
    == - Platon distingue deux sortes de plaisir: le plaisir impur qui fuit toujours, qui est précédé de peine et suivi par la peine, et le plaisir durable parce qu'il est pur.
    Sur ce point vous pouvez voir l'Épilogue du Philèbe et ce qui précède immédiatement cet épilogue: "Ces plaisirs qui, dans notre thèse, se définissent comme exempts de peine, que nous dénommons des plaisirs purs de l'âme toute seule, et qui viennent à la suite, les uns des connaissances, les autres des sensations."

    == Rappelons qu'Épicure distingue dans La lettre à Ménécée en particulier, le plaisir véritable qui correspond au bonheur et le plaisir en mouvement qu'il faut fuir.

    === =>
    cette joie est issue de la joie d'aimer Dieu, c'est une origine, une source. Il faut comprendre que le pouvoir jaillit de la joie donnée par la satisfaction de comprendre et d'aimer le moi, le monde et Dieu.

    http://www.philagora.net/spinoza/spin-ethique10.php
    Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir

  3. #3
    abeaucadeau Guest

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    Merci pour cette orientation que j'avais essayé de traiter mais c'est un sujet si vaste que je ne sais pas par quoi commencer.

    Dans l'intro, je me demande comment bien exprimer la problématique. Autrement dit, je me demande comme définir le terme de plaisir et de pur en les rassemblant pour faire sortir le problème très clairement. Des idées?


    Merci

  4. #4
    Date d'inscription
    April 2001
    Localisation
    France -
    Messages
    21 954

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    Comment affirmer un plaisir qui soit réduit à lui même sans contradiction?
    Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir

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