Bonjour,
Est il possible selon vous d'affirmer que la concience est ?
Que peut-on en penser ?
De quelle conscience parlons-nous alors, et comment la définir ??
Bonjour,
Est il possible selon vous d'affirmer que la concience est ?
Que peut-on en penser ?
De quelle conscience parlons-nous alors, et comment la définir ??
regle par trois1* in-consience2*(egoisme)conscience de(ux) son egoisme=3* partage de son egoisme
la conscience est intérieure
http://www.philagora.eu/educatif/ind..._quelque_chose
Dernière modification par personne 14/04/2006 à 15h22
Posté par Estelle br
Risquez,s'il vous plaît, une hypothèse,vous verrez bien,ou rien....
Oui, j'ai envie de dire que la conscience peut être un état d'être.
Ma difficulté pour ce post est comment on s'échappe de sa conscience .
En même temps une volonté de ne plus être en conscience, comme si cela était fatiguant, mais pour qui, et pourquoi ?
Je définirais la conscience comme sachant ce qui se passe.
Autre caillou sur mon chemin ( mais un beau caillou je vous rassure ) : de quoi pouvons-nous bien avoir conscience ? A quoi puis-je avoir accès ?
autre question que je me pose, est-ce qu'être unifié me donne une conscience plus claire et surtout plus large ?
j'ai envie de dire bien sûr,
voilà pourquoi il m'arrive souvent d'être frustrée de ma "petite porte"
Autre point important pour moi dans ce post : de la nécessité de distinguer "ce qui parle" ( cf mental, activité ) de " être en conscience".
ou encore mieux : être en conscience dans ce qui se trame , voilà une belle médite-action qui nous emmènera loin ...
ce qui m'amène à penser à une autre hypothèse pour ce qui me met dans la difficulté ( mais peut être est-ce une croyance ) d'être en conscience :
être trop "blindée", "chargée", comment y voir clair ?
cela reprend votre mot de la fin : "bien, ou rien"
la conscience me semble être telle la petite fléche au bout de la souris de votre ordi ... minuscule , mais qui oriente tout l'ensemble.
on n'a de conscience que dans ce présent où l'on est ...(le passé et l'avenir n'existent que reconstruits dans ce présent même ).
pour cette raison , et parce que n'existe pour nous que ce dont on a conscience , la conscience est l'alpha et l'omega de tout notre être .
zwardoz,
"la conscience est l'alpha et l'omega de tout notre être ."
çà veut dire quoi au juste ?
à plus!
bah ce par quoi ***231;a entre en nous (le monde , les autres , etc)
et ce par quoi ***231;a sort de nous (ce que l'on ressent , ce que l'on d***233;sire , ce que l'on sait )
un module de triage quoi
pour cette raison on peut ***234;tre coinc***233; de la conscience ; cad ***234;tre incapable de prendre conscience de (ceci cela ) : le tri ne s'op***233;re pas , ***231;a zappe : ou refuser de laisser entrer ceci ou cela
on peut aussi prendre la conscience (cad l'acte de prendre conscience de ) comme une finalit***233; ; ce qui est la d***233;finition de la philo en tant qu'activit***233; syst***233;matique ; cad voulue explicitement comme une fin en soi : (et non pas syst***233;matique comme syst***233;me clos , au contraire ; puisque l'on a une tr***233;s petite et limit***233;e conscience que l'on veut augmenter , par connaissance)
si vous prenez l'acte de conscience comme une activit***233; continue , vous pensez donc : "je ne veux pas mourir sans avoir pris conscience du plus grand nombre de r***233;alit***233;s possibles "
ainsi "avoir conscience de" est l'essence de notre ***234;tre
ce dont on n'a pas conscience n'existe pas ... et donc n'est pas v***233;cu ... (on mourra sans )
mais cela signifie aussi ; on a plus ou moins conscience de
ou enfin : on a plus ou moins une conscience erron***233;e de
(mal vivre ce qui pourrait l'***234;tre mieux , rebondir en positif plut***244;t que n***233;gativement , etc )
nier cette possibilit***233; (de choix intelligent et toute conscience est intelligente de fait ) c'est nier que nous sommes libres (ontologiquement) : c'est possible , mais alors je me demande qui parle ***224; qui ... (qui parle ***224; quoi , quoi parle ***224; qui , quoi parle ***224; quoi )
Dernière modification par zwardoz 18/04/2006 à 21h05
Si la conscience est,qu'est-elle?
Sans la définition du principe d'identité l'objet du débat est sans objet:
l'hypothèse ne peut être que la définition même....
On ne peut donc affirmer son existence sans connaître son identité...
Or,si l'on connaît son identité,pourquoi en parler?
Il faut donc que vous vous décidiez,mlle....
S'agit-il,en parlant de la conscience,d'une hypothèse ou d'un "fait"?
Ces deux points ne sont pas compatibles et,franchement, ne peuvent,normalement,aboutir au même.....
De même,s'agissant de l'utilité.....Pourquoi parler de la conscience?
Est-il question,plus loin,de la conscience de.....quelque chose(quoi? Alors)
ou de la conscience d'elle-même....Selon un principe d'identité(lequel?)
ou d'altération(ce dont la conscience peut avoir conscience d'elle-même ne peut être que "différent" d'elle-même(Hegel.....)
Finalement pour une conscience comme "fait" ou comme phénomène il faut une "raison suffisante" ou une preuve"existentielle".....
Personnellement je ne vois pas ou vous voulez en venir.....
Seule la conscience que l'on peut "obtenir" peut avoir un sens....
Celle dont parle la pensée ésotérique,par exemple....
Mais la manière dont vous posez le débat ressemble "plus"(si vous permettez )
à ce genre de blague:une lampe électrique est allumée...et vous demandez:constatez-le.....
Constatez quoi? s'il ne doit pas être question d'une tautologie n'ayant aucun sens?
....Car qu'est-ce qui "prouve"(....)qu'une lampe ne peut être une conscience?.....(histoire de plaisanter.....peut-être....)
Avec mes salutations distinguées,Brezing-Hamm