Paragraphe 13 suite
Dira-t-on: croira-t-on faire une objection en disant ce que disent
les partisans: ceux qui ont pris parti pour...
Théorie: hypothèse générale
des sensations simultanées: qualitatives, en même temps,: elles n'auraient pas besoin de la conception d'un milieu vide homogène (l'espace) pour être distinguées car elles sont déjà distinguées par l'impression elle même,. En effet «*il n'y a pas deux points..........*»
nous l'accorderons: nous , pour ne pas dire «*je*»serons d'accord.
Car: si deux points produisaient la même impression comment placer l'un à droite et l'autre à gauche?
Mais... voilà pourquoi , loin d'être une objection, c'est une confirmation de la thèse de Bergson.
Ensuite: après ces deux impressions différentes.
Nous interprétons: c'est l'acte de l'esprit qui intervient: nous comprenons cette différence comme différence de situation gràce à la conception d'un milieu homogène, l'espace qui seul permet de distinguer dans la simultanéité de la juxtapositiondeux termes identiques en qualité.
A fortiori:
plus on distingue les termes plus on est forcé de recourir à l'acte de l'esprit qui conçoit un milieu vide et homogène .
Distinction étendue/espace: point capital:
On perçoit l'étendue , on conçoit l'espace
la perception de l'étendue: représentation d'une chose à partir de sensations . La sensation est la matière de la représentation: les sensations sont étendues.
La conception: acte de l'esprit qui conçoit l'espace comme milieu vide et homogène.
«* Un milieu de ce genre (l'espace) n'est jamais perçu. Il n'est que conçu.*»Bergson
Ce qui esrt perçu c'est l'étendue colorée, résistante, diverse selon les lignes qui dessinent les contours des corps.
La conception d'un espace homogène est fonction du développement de l'intelligence.( parce que acte de l'esprit)
Les animaux en restent (probablement ) à l'étendue.qu'ile perçoivent avec des différences qualitatives ce qui leur permet de retrouver leur chemin.