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En: de la femme
bruits*: rumeur nouvelle qui circule...
courir*: a toute vitesse*: évanescents sans valeur du point de vue de l'information...
la princesse d***8217;Élide: comédie de 1664...
La reine de Trébizonde probablement Thamar (fin du 12°siècle , début du 13°Siècle)
On peut comprendre que la princesse et la reine sont des qualificatifs qui correspondent à «*l'étoile*» Aurélie et que les rumeurs sur la princesse et la reine ne l'intéressent pas plus que les propos sur Aurélie. reines ne l'intéressent pas.

Vous pouvez utiliser la distinction Auteur/narrateur*: l'auteur se moquant du narrateur et du vide de sa vie...et de ce qu'il y a en un an de cette vie résumé en deux paragraphes.
Que pense-t-il du narrateur qui consciemment refuse la réalité qui est la femme et se donne à l'actrice qui participe à la beauté. Que pense Nerval de ce mépris?

Et certes le temps est nié (ou perdu) mais à quel prix*?
---Un de mes oncles*: on a l'impression que ,sous le regard narquois de l'auteur, le narrateur se protège sur un passage oncle=> neveu, et une belle envolée rhétorique.
Belle excuse*:
il m'avait raconté tant comme si le nombre justifiait tout.
Bien connaître*: comme si ce qui est est ce qui doit être
de ces temps là*: intervention maligne de l'auteur
je m'étais habitué à penser mal*: le narrateur se réfugie derrière l'oncle
sans tenir compte:nouvelle intervention de l'auteur
L'ordre* des temps c'est la succession. Plus bas nous aurons la décadence et la rénovation.
Pour comprendre l***8217;***339;uvre ne jamais confondre le narrateur et l'auteur. Ce serait une grande injustice contre l'auteur*!
Ce qui ne signifie pas que Nerval n'a pas une vraie sympathie pour le narrateur: à quoi le voyez-vous?