Suite à une fermeture d'un forum je profite de celui-ci pour continuer la discussion qui commençait à devenir intéressante. Je le fais avec d'autant moins de scrupule que le sujet est le même ( bien vu Henri ).
Januscream avançait justement que si le meurtre est le fait de tuer une personne qui a déjà établi des liens avec d'autres et qui a une conscience d'elle-même, alors un embryon au premier stade ne saurait être une personne (avec les ajustements d'Hana qui met en avant que l'embryon à un certain stade est déjà capable de tisser des liens); et donc il pourrait être tué sans que cela soit un meurtre.
On faisait la même chose avec l'esclave. Même si le droit de vie et de mort ne se concrétisait pas tout le temps... On rejoint là le présent sujet: la dignité de la personne est absolue.
Mais la personne n'est-elle que relation? La conscience que l'individtu a de lui-même et ses relations avec les autres sont-ils ce qui fonde le respect qu'on a vis-à-vis de lui?