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Discussion: Au coin des artistes...

  1. #21
    Kijou Guest

    Par défaut

    Les temps changent …
    Les temps changent …et les yeux dorés du Chat,
    Aujourd'hui, je vois les yeux dorés du Chat
    Les temps changent …le talent qui se meurt ?
    Aujourd'hui, je vois ton talent
    Aujourd'hui, tu fais vibrer mon coeur
    Aujourd'hui, oublie ce talent
    Oublie ce talent qui se meurt et qui saigne
    Oublie, et vie ! Vie ton talent !.
    Fais vibrer les cœurs.

  2. #22
    vagabond1 Guest

    Post du côté de chez nous...

    >>> tout d'abord Sombreval je dois te dire que ton poème c'est quelquechose...première lecture il faut un certain souffle...un peu saccadé mais tellement "exprimé"... alors même si tu n'es pas satisfait de des autres créations, peut-être que certaines personnes sur ce forum pourraient l'être...m'enfin libre à toi d'en faire ce que tu désires en tant qu'habile propriètaire...

    >>> Kijou ton message moi j'ai bien envie de la prendre comme un super encouragement...quelques fois je suis trop blazé... ça fait mil ans environ que je suis pas venu faire un tour alors je vais livrer une réflexion au cas ou...


    à Prendre ET à Laisser

    A trop vouloir que l'on s'ébauche,
    A placarder des songes jaunis,
    Rêver ses Déesses qui débauchent
    Ces Enfants nés de l'infini...

    Marcher, désert lourd de saveurs,
    Sourire, qu'on l'ait voulu ou non,
    Saouler, de leur tendre sueur,
    Rugir, des sentiments sans nom...

    De l'infini naît le poète,
    Aux yeux relatifs d'absolu,
    Mignonne il a perdu la tête,
    De toi, c'est qu'il l'avait voulu...

    Marcher, en toi comme on se perd,
    Sourire, ou bien montrer les dents,
    Saouler, comme noyer dans la bière,
    Rugir, qu'on est mort en dedans...

  3. #23
    Date d'inscription
    March 2006
    Localisation
    Nancy, Lorraine
    Messages
    59

    Par défaut

    Il y en a bien quelques autres que je pourrai poster, en effet.

  4. #24
    Date d'inscription
    March 2006
    Localisation
    Nancy, Lorraine
    Messages
    59

    Par défaut

    Au temps où je n'étais qu'homme, où mes jours étaient nuits et mes nuits étaient noires, au temps où je rampais encore,
    tu es apparue dans ma vie en m'insufflant l'espoir.

    Tu es l'astre de la nuit, et pleine du savoir céleste, tu me donna mon nom. Pour cela je te remercie. Tu fis de moi ton Alceste, amoureux des vérités sans conditions.

    Tu es apparue dans ma vie en m'insufflant l'espoir, pour cela je te remercie.

    Imperméable a cet environnement, inconscient de ta nature, je te donna le plus beau nom qui soit: Amour . Mais malheuresement tu n'est que Lune. Et ce nom lui n'est que mensonge.

    Tu fis de moi ton Alceste, amoureux des vérités sans conditions mais ce nom lui n'est que mensonge.

    Nous marchions un temps ensemble. Ta lumière guidant mes pas vers un monde toujours meilleur, mais vite j'ai eu cette crainte étrange,
    celle que rien de tout cela ne durera.
    Mais bien plus qu'une crainte, une prémonition, j'en ai peur.

    Inconscient de ta nature, je te donna le plus beau nom qui soit, mais rien de tout cela ne durera.

    Car, préferant ta nature, tu délaissa mes passions, disparaissant dans une nouvelle lune.
    Tu me ramena au début de mon aventure, mais dans un desespoir plus profond encore, dans une vie plus noire que d'habitude.

    Nous marchions un temps ensemble vers un monde toujours meilleur, mais dans un désespoir plus profond encore.

    Et alors seul, je cherche, en vain peut etre encore, un nouvel espoir pour avancer.
    Toi, tu n'es plus que cette ancienne compagnie lâche, et loin de toi, dans une étoile, ou un ver luisant, je recherche cette lumière capable de me guider.

    Dans un désespoir plus profond encore, dans une vie plus noire que d'habitude, je recherche cette lumière capable de me guider...


    (dans un autre style. Moins bien)

  5. #25
    vagabond1 Guest

    Par défaut

    Boire...sans soif (mon amour)

    Des verres creux et inutiles
    Des vers fades et malhabiles
    Des bi***232;res aux contenus d'oubli de toi
    Des vers qui n'auraient pas fan***233; sous moi

    Et la soif me d***233;vore
    Et je mange ce verre
    Qui est mon seul tr***233;sor
    Mon seul revolver

    Prisonnier d'***234;tre sans toi
    De ce corps insupportable
    De cette vie qu'on aboie
    Comme une gorg***233;e d'eau trop potable




    J'ai envie de baston, j'ai envie de Ricard,
    J'ai envie de crever sans vraiment le vouloir
    "Et s'il est vrai que l'on a qu'une vie...
    J'ai envie de frissons avec toi dans le noir
    J'ai cette force de t'aimer cette force de te vouloir
    La mienne s'ach***232;ve sur un tant pis."
    Dernière modification par vagabond1 25/06/2006 à 19h54

  6. #26
    vagabond1 Guest

    Par défaut comment ça?

    J'ai soudoyé le juge pour qu'il me déclare coupable,
    J'ai soudoyé le bourreau pour qu'il salope le travail,
    J'ai soudoyé Saint Pierre pour qu'il m'envoie vers Dieu,
    J'ai soudoyé Dieu pour qu'il existe un peu,
    Et j'ai prié Satan de caresser en moi ce manque de toi qui grossi

  7. #27
    vagabond1 Guest

    Unhappy Sacrée ****** !

    El***233;gie sous la Lune...


    C'***233;tait un pauvre Diable, un loulou solitaire,
    Une triste ***226;me en ballade en qu***234;te de sa soeur,
    Un pierrot porte-pitre mais un libre penseur.
    - Toujours la t***234;te en lune, jamais le coeur en l'air. -

    D'ailleurs...

    Celle qui gagna son ***226;me, ce fut toi Colombine,
    Toi femme si belle qu'on pleure en d***233;posant les armes,
    Toi beaut***233; irr***233;elle, doux songe orn***233; de charmes.
    - Et ce Pierrot de toi, il br***251;le, il se calcine. -

    Alors...

    Quand vos corps r***233;unis buvaient l'ivresse d'aimer,
    Vos deux passions chassaient tous les lions de N***233;m***233;e.
    Un Pierrot sous la lune se faisait fou de toi.

    Pourquoi es-tu partie sans m***234;me te retourner,
    En nous abandonnant, sans m***234;me nous malmener ?
    Un Pierrot comme la lune chaque soirs meurt de toi...
    Dernière modification par vagabond1 23/06/2006 à 17h05

  8. #28
    michine Guest

    Wink Salut!

    Je viens te saluer. Je ne partage pas toujours tes idées, mais j'essaie de comprendre ton point de vue.
    je te souhaite une Colombine, si tu ne l'as pas déjà trouvé.!

    michine
    biz...

  9. #29
    vagabond1 Guest

    Par défaut tiens!

    >>> Oh! non alors point de Colombine pour moi...garce manipulatrice, immonde démon peint en femme, succube évicératrice des rêves des hommes dont elle a eu l'envie de se faire désirer puis de les ignorer...m'enfin...

    >>> tiens allé une touche de bonne humeur vue que michine semble me prendre pour un suicidaire qui ne sait point profiter de la chance qu'il a, ou qui est toujours insatisfait :



    Fondu déchainé

    Mes pieds un tantinet plus nus que d’habitude
    Cherchaient dans les fourrés l’haleine de l’herbe douce
    Les cheveux des fougères
    Les caresses de la mousse
    L’amour à la nature courtoise béatitude

    J’aime la nature j’aime la nature
    Et elle me le rend bien
    J’aime la nature j’aime la nature
    Je rentre chez moi serein

    Charmer de ces plaisirs je divaguais plus loin
    Une ferme abandonnées tendait vers moi ses bras
    Un domaine incertain
    Un corps nue comme un draps
    Ma tête s’enracinait dans son odeur de foin

    J’aime la nature j’aime la nature
    Et elle me le rend bien
    J’aime la nature j’aime la nature
    Je rentre chez moi serein

    J’aime la nature j’aime la nature
    Et elle me le rend bien
    J’aime la nature j’aime la nature
    Car j’aime aussi tes seins

  10. #30
    vagabond1 Guest

    Talking Galaxie express 999

    La vérité se trouve au fond de mes bouteille


    Un matin de janvier en randonnée pédestre,
    Je m'écarte du groupe pour soulager en neige,
    Une vessie presque pleine, quand soudain pris au piège...
    La créature m'accoste : c'est un extra-terrestre!

    "Salutation mon gars!" s'exclame t-il sans accent,
    "Salut!" que j'lui répond en un mot comme en cent.
    Il me dit qu'il est là en mission de sureté,
    Pour voir si les humains détiennent la "vérité".

    Je lui clame que ma foi, pour des secrets pareilles,
    L'endroit est mal choisi : les arbres ont des oreilles,
    Et qu'il nous faudrait bien cinq ou six bonnes bouteilles.

    Je le conduis chez moi, et l'installe à ma table,
    Après quelques rasades d'une eau peu supportable,
    Le petit martien meurt, dommage c'est lamentable.

    Voici la vérité qui se trouvait alors au fond de la bouteille:
    "La vérité, c'est qu'il faut toujours faire attention à ce que l'on boit pour découvrir la vérité..."

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