Au coin des artistes...

[vagabond1]

"Approchez curieux de tout bord et bons buveurs!
Approchez vous tous qui passez, n'ayez point peur.
Entrez tristes sires et po***235;tes de toutes heures,
Entrez sombres dames et go***251;tez le rire aux pleures!"

C'est ce que d***233;clara au XIX***232;me un soir,
Rodolphe Salis plant***233; boulevard Rochechouart.
Heureux en ce temps l***224; les ic***244;nes du Chat Noir,
Pas loin de la galette ***224; Montmartre le soir.

Les temps changent et les yeux dor***233;s du Chat s'***233;teignent,
C'est ce talent aujourd'hui qui se meurt et qui saigne.

Alors...

N'oublions pas que nous aussi,
Po***232;tes de tout acabit,
Avons du pouvoir sur les maux,
Et la rime simple ***224; fleur de peau.

[elbaid]

"Approchez curieux de tout bord et bons buveurs!
Approchez vous tous qui passez, n'ayez point peur.
Entrez tristes sires et poëtes de toutes heures,
Entrez sombres dames et goûtez le rire aux pleures!"

C'est ce que déclara au XIXème un soir,
Rodolphe Salis planté boulevard Rochechouart.
Heureux en ce temps là les icônes du Chat Noir,
Pas loin de la galette à Montmartre le soir.

Les temps changent et les yeux dorés du Chat s'éteignent,
C'est ce talent aujourd'hui qui se meurt et qui saigne.

Alors...

N'oublions pas que nous aussi,
Poètes de tout acabit,
Avons du pouvoir sur les maux,
Et la rime simple à fleur de peau.

Le rire aux pleurs....!! c'est joile ca....!!

Et de simple buveur en ferons le tonneau
De ces rires en pleurs a la fleur de peau
Gouter au bonheur par de gracieux mots

a plus......

[vagabond1]

Nostalgie qu'antalgique...

>>> Cette douleur d'airain
>>> Entam***233;e d'alumines
>>> A raison de mes reins
>>> Raison de mon ***233;chine

>>> La vie fane incertaine
>>> En ce cri rachitique
>>> De nostalgie en cha***238;ne
>>> De cette b***234;te qu'on pique

>>> Le dessein du po***232;te
>>> a cela d'identique
>>> au commun de la b***234;te
>>> bien que les antalgiques

ah! ces po***232;tes maudits !

[elbaid]

Nostalgie qu'antalgique...

>>> Cette douleur d'airain
>>> Entammée d'allumines
>>> A raison de mes reins
>>> Raison de mon échine

>>> La vie fanne incertaine
>>> En ce cri rachitique
>>> De nostalgie en chaine
>>> De cette bête qu'on pique

>>> Le dessein du poète
>>> a cela d'identique
>>> au commun de la bête
>>> bien que les antalgiques

ah! ces poètes maudits !

c de toi sa .....?
C chouete et celui que tu as écris ds le train aussi ... TU VEUX MON TI DERNIER , heu....je ne l'ais pas fini mais voila /

Et si j'étais un enfant au jeu du semblant
criant et sautant la chambre au tourment
déguisé en mille papiers d'argent
Et si j'étais un rien au mystére accompli
le cris de joie a la tendre facetie
de l'étre fin dans mon seul habit
Et si tu étais le tout et le rien
le contre ciel et son destin
mais au principe était le nom
ici perdu lorsque le non
assise de l'étre en ombre
s'obscursit le je en sombre
et que l'ame ainsi viciées
en elle , qui est ombre la voie rayonner . A PLUS

[vagabond1]

>>> j'ai bien l'impression que l'on a du talent par ici...éh éh éh!
j'adore ce que tu as écrit...ça m'aparait tellement harmonieux et mélodique et rythmé et signifié...

>>> oué il est de moi le poème plus haut...quand c'est de quelqu'un d'autre je le précise toujours...

>>> tu parle de quel poème que j'ai écris dans le train??? éclair moi vite ça m'intrigue...

a plus...

[elbaid]

>>> j'ai bien l'impression que l'on a du talent par ici...éh éh éh!
j'adore ce que tu as écrit...ça m'aparait tellement harmonieux et mélodique et rythmé et signifié...

>>> oué il est de moi le poème plus haut...quand c'est de quelqu'un d'autre je le précise toujours...

>>> tu parle de quel poème que j'ai écris dans le train??? éclair moi vite ça m'intrigue...

a plus...

hihihihi en fait j'me trompe ! c'est le poeme a propos de l'italiene cité ds les jeu teme des amoureux ....che pas pourquoi ; je me suis mi ds la tete que tu l'avais composé ds un train ! je vois des petits "train" partout , et j'aime bien celui des antalgiques....IL est bien tourné , j'aime quand c complexe ..A PLUS

[Kijou]

Les temps changent …
Les temps changent …et les yeux dorés du Chat,
Aujourd'hui, je vois les yeux dorés du Chat
Les temps changent …le talent qui se meurt ?
Aujourd'hui, je vois ton talent
Aujourd'hui, tu fais vibrer mon coeur
Aujourd'hui, oublie ce talent
Oublie ce talent qui se meurt et qui saigne
Oublie, et vie ! Vie ton talent !.
Fais vibrer les cœurs.

[vagabond1]

>>> tout d'abord Sombreval je dois te dire que ton poème c'est quelquechose...première lecture il faut un certain souffle...un peu saccadé mais tellement "exprimé"... alors même si tu n'es pas satisfait de des autres créations, peut-être que certaines personnes sur ce forum pourraient l'être...m'enfin libre à toi d'en faire ce que tu désires en tant qu'habile propriètaire...

>>> Kijou ton message moi j'ai bien envie de la prendre comme un super encouragement...quelques fois je suis trop blazé... ça fait mil ans environ que je suis pas venu faire un tour alors je vais livrer une réflexion au cas ou...

à Prendre ET à Laisser

A trop vouloir que l'on s'ébauche,
A placarder des songes jaunis,
Rêver ses Déesses qui débauchent
Ces Enfants nés de l'infini...

Marcher, désert lourd de saveurs,
Sourire, qu'on l'ait voulu ou non,
Saouler, de leur tendre sueur,
Rugir, des sentiments sans nom...

De l'infini naît le poète,
Aux yeux relatifs d'absolu,
Mignonne il a perdu la tête,
De toi, c'est qu'il l'avait voulu...

Marcher, en toi comme on se perd,
Sourire, ou bien montrer les dents,
Saouler, comme noyer dans la bière,
Rugir, qu'on est mort en dedans...

[Sombreval]

Il y en a bien quelques autres que je pourrai poster, en effet.

[Sombreval]

Au temps où je n'étais qu'homme, où mes jours étaient nuits et mes nuits étaient noires, au temps où je rampais encore,
tu es apparue dans ma vie en m'insufflant l'espoir.

Tu es l'astre de la nuit, et pleine du savoir céleste, tu me donna mon nom. Pour cela je te remercie. Tu fis de moi ton Alceste, amoureux des vérités sans conditions.

Tu es apparue dans ma vie en m'insufflant l'espoir, pour cela je te remercie.

Imperméable a cet environnement, inconscient de ta nature, je te donna le plus beau nom qui soit: Amour . Mais malheuresement tu n'est que Lune. Et ce nom lui n'est que mensonge.

Tu fis de moi ton Alceste, amoureux des vérités sans conditions mais ce nom lui n'est que mensonge.

Nous marchions un temps ensemble. Ta lumière guidant mes pas vers un monde toujours meilleur, mais vite j'ai eu cette crainte étrange,
celle que rien de tout cela ne durera.
Mais bien plus qu'une crainte, une prémonition, j'en ai peur.

Inconscient de ta nature, je te donna le plus beau nom qui soit, mais rien de tout cela ne durera.

Car, préferant ta nature, tu délaissa mes passions, disparaissant dans une nouvelle lune.
Tu me ramena au début de mon aventure, mais dans un desespoir plus profond encore, dans une vie plus noire que d'habitude.

Nous marchions un temps ensemble vers un monde toujours meilleur, mais dans un désespoir plus profond encore.

Et alors seul, je cherche, en vain peut etre encore, un nouvel espoir pour avancer.
Toi, tu n'es plus que cette ancienne compagnie lâche, et loin de toi, dans une étoile, ou un ver luisant, je recherche cette lumière capable de me guider.

Dans un désespoir plus profond encore, dans une vie plus noire que d'habitude, je recherche cette lumière capable de me guider...


(dans un autre style. Moins bien)