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Discussion: la conscience et l'inconscient

  1. #1
    fade Guest

    Lightbulb la conscience et l'inconscient

    pensez vs que sartre a raison lorsqu'il dit qu'il ni a pa d'inconscient et k ns sommes tous responsable d nos faute.pr vs est ce que freud ds l'analyse d reve a bien raison d'en prendre cas?je pense personnelment k les reves font bien partis d ce pole et que si on les etudi alors ils reveleront une part de se que l'on ne voit pas directement a notre conscience.

  2. #2
    bizbi Guest

    Par défaut responsables et inconscients.

    Citation Posté par fade
    pensez vs que sartre a raison lorsqu'il dit qu'il ni a pa d'inconscient et k ns sommes tous responsable d nos faute.pr vs est ce que freud ds l'analyse d reve a bien raison d'en prendre cas?je pense personnelment k les reves font bien partis d ce pole et que si on les etudi alors ils reveleront une part de se que l'on ne voit pas directement a notre conscience.
    Oui, Sartre a raison en ce qui a trait à la responsabilté de nos fautes, cependant il fait à mon avis fausse route en rapport avec l'inconscient. Je pense que Freud a fait une très grande découverte qui a sussité l'attention de plusieurs penseurs depuis. Sans ce rapport à l'inconscient nous pourrions aussi nier notre responsabilité en tant que personne humaine. Alors il n'y a qu'à voir l'évolution historique,religieuse,philosophique pour réaliser qu'il y a un tout très important qu'on ne peut nier.

  3. #3
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    796

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    Oui, l'inconscient est bel et bien efficient dans la majorité de nos actes. Il est évident que nous ne sommes pas conscient de tout ce qui se passe dans notre corps! Heureusement qu'il ne faut pas penser à respirer (, j'ai oublié de faire battre mon coeur!). Entre la conscience et la vie cellulaire, il y a un monde complexe qui nous échappe, entre tout ce que nous sentons sans nous en rendre compte, que nous analysons automatiquement, des gestes acquis par l'habitude ou par apprentissage...

    Notre responsabilité assume pourtant ce donné, car nous pouvons le pétrir dans une certaine mesure.

    A dire vrai Freud n'est pas révolutionnaire dans le domaine, il reprend pratiquement tout d'Augustin (il a été élevé par une religieuse d'obédience augustinienne).

    Scop

  4. #4
    Olivier66 Guest

    Par défaut

    Bonjour à vous,

    Je pense aussi que l’inconscient possède une réalité efficiente, nous ne sommes pas conscient de TOUT, auquel cas je diagnostique un méchant mal de crâne, une incapacité à réfléchir, aucun repos pour notre petit cerveau ainsi qu’une bonne dose de stress continuel…

    Heureusement qu’il est la mon ch’ti inconscient, il me permet de garder en mémoire tout ce qui n’est pas dans la fenêtre de ma conscience ! Terrible…d’ailleurs, je me demande si, éveillé, on est continuellement conscient ou si ça se passe par phase, avec parfois des errements reposants durant lesquels je zappe la conscience et des moments pleinement conscients ? Je me demande quelle serait la masse d’informations à traiter pour un cerveau qui ne pourrait ni zapper sa « conscience » ni ranger des informations dans ses planques obscures…

    Comme le faisait remarquer scop, je n’ai conscience ni de respirer, ni de faire battre mon cœur, aptitudes de notre cerveau reptilien (si je ne me trompe pas) qui peut prendre le relais en cas de situations exceptionnelles : la mère qui voit son enfant coincé sous une voiture peut agir de façon incroyable et montrer des aptitudes hors normes dont elle n’avait pas conscience. Beaucoup de choses restent enfouies, pour le meilleur et pour le pire. Sans cette soupape de sécurité, je me demande même si ça serait vivable ? (auquel cas je me réponds tout seul que je ne peux en avoir strictement aucune idée).

    Par contre, concernant l’opposition Sartre/Freud, je ne savais même pas que Sartre avait réfuté l’idée d’inconscient. Mais s’il l’a fait pour exprimer son idée que l’inconscient n’est pas quelque chose d’étranger à nous et que nous sommes aussi responsables de ce qu’il est, alors je comprends mieux : l’inconscient n’est pas quelque chose « hors de nous » qui peut cautionner l’irresponsabilité, il est fruit de notre développement, de nos expériences, …, tout autant que la conscience. Je ne sais pas dans quelle mesure il faut faire cette part des choses mais peut-être que Sartre évoquait l’idée d’un rapport différent à l’inconscient personnel en le recadrant dans son contexte, dans son origine et dans son expression ?

    Bon, vaste question…

    Ciaoooooooooooooo

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