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Discussion: Des nouvelles de mars

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  1. #1
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    January 2004
    Localisation
    Paris
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    Par défaut Des nouvelles de mars

    à Robinson

    Niel

    Niel va partir sur la lune
    Il prépare sa fusée
    Et il rassemble une à une
    Les choses qu'il doit emporter
    Une lettre un drapeau la photo de son fils Julien
    Il a dit à sa femme je ne sais pas quand je reviens

    Il a déjà le mal du pays
    Le mal des amis
    Mais tant pis
    Ça ne compte pas pour des prunes
    De marcher sur la lune

    Niel a quitté sa maison
    Pour la base de lancement
    Il met sa combinaison
    Son casque transparent
    Dans sa bulle déjà loin de toute cette agitation
    Il n'entend que son coeur le bruit de sa respiration

    Il a déjà le mal du pays
    Le mal des amis
    Mais tant pis
    Ça ne compte pas pour des prunes
    De marcher sur la lune

    Niel a couru sur la lune
    Au bord des p'tits volcans
    Aussi léger qu'une plume
    Qu'un oiseau dans le vent
    En s'penchant il a vu bleue et verte dans l'univers
    Une planète c'est chez lui c'est vraiment le monde à l'envers

    Il resterait bien toute la vie
    A voler dans la nuit
    Mais tant pis
    Ça ne compte pas pour des prunes
    De marcher sur la lune
    Ça ne compte pas pour des prunes
    De marcher sur la lune

    Niel a marché sur la lune


    Paroles et musique : Fabienne Robert

  2. #2
    baruchette Guest

    Par défaut

    j'ai connu
    un Autre
    Julien..

  3. #3
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    January 2004
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    Par défaut Les choses de la vie

    Ne me demande rien
    (Pascal Baehrel/Laurent Manganas)

    Ne me demande rien
    De plus rien de moins,
    Mon amour
    Ne me demande rien
    D’autre que ma main,
    Chaque jour
    Au-delà des tourmentes
    Et des fleurs qui fanent
    Alentour
    Il n’y a rien qui me tente
    Plus que nos matins
    A ce jour

    On est heureux, c’est presque rien
    Il suffisait de le vouloir
    On est heureux mais ne dis rien
    On pourrait s’en apercevoir

    Si la vie ne vaut rien
    De plus rien de moins
    Mon amour
    Je ne demande rien de plus
    Que le tien
    A ce jour
    Au-delà des offenses
    Et des nuits qui tombent
    En plein jour
    Quelque soit notre avance
    On est loin du compte
    A rebours

    On est heureux, c’est presque rien
    Il suffisait de le vouloir
    On est heureux mais ne dis rien
    On pourrait s’en apercevoir


    Dorval
    (Les choses de la vie)

  4. #4
    baruchette Guest

    Par défaut

    Se le dire, se l'écrire
    Le crier
    Sur les toits

    Le bonheur
    n'entend pas

  5. #5
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    January 2004
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    Paris
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    Par défaut Je veux te voir..., un jour !

    ***171; Un cheval invisible galope dans le gris de l'aube. C'est le c***339;ur battant, c'est le c***339;ur emball***233; de l'enfant inconnu qui arrive sur moi ***224; cette vitesse de cavalier fou. D'o***249; vient-il ? Enregistr***233; par des palpeurs dispos***233;s sur le ventre de celle qui accouche, ce c***339;ur cogne et rebondit entre les parois de la salle de travail. L'enfant arrive. Je ne vois toujours rien. Ma femme subit depuis le matin une alternance de douleurs et de r***233;pits. Je suis tendu, attentif, mais je ne distingue toujours rien. ***187;

    Pierre P***233;ju - Naissances.
    Dernière modification par Un autre Julien 29/01/2006 à 23h25

  6. #6
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    January 2004
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    Par défaut Corps & ârmes

    San Antonio de la Luna

    Toutes les vérités seront bonnes à entendre et seront bonnes à dire
    Je ne crains pas le mal et me méfie du bien, les normes sont bien pires
    Apaisés, les démons qui menacent, mon reflet dans la glace, fusionnel face à face
    Je découvre l’été, l’été sans fin

    180 degrés d’immense liberté, de chaleur m’envahissent
    Retrouver comme un frère, celui que je suis vraiment et sa rage de vivre
    L’inconscient peu à peu se déleste des souvenirs épars, dispersés au hasard
    Je découvre l’été, l’été sans fin

    Un sentiment d’éternité, je découvre l’été sans fin

    Ce soir, la lune est pleine et la mer est argent, l’instant est symbolique
    Pour qu’une collision épidermique ait lieu, somptueuse et limpide
    Je suis prêt, je me sens fort et libre, tu donnes et je reçois, mes ailes se déploient
    Je découvre l’été, l’été sans fin

    Pour l’éternité, avec toi, l’été sans fin


    Etienne Daho

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