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Discussion: Puis je présenter mon essai en philosophie? : STRUCTURE DE LA VIE SOCIALE

  1. #1
    manu06 Guest

    Par défaut Puis je présenter mon essai en philosophie? : STRUCTURE DE LA VIE SOCIALE

    Ou va t il être supprimer?

  2. #2
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    Question

    pourquoi serait-il supprimé?

    Scop

  3. #3
    manu06 Guest

    Talking première partie de mon essai en philosophie

    STRUCTURE DE LA VIE SOCIALE

    Lorsque la pureté et la dignité devient l'honneur.

    1/PHILOSOPHIE DE VIE

    Dans une société où la culture se tourne à une maladie existentielle précoce, les états d'esprit ne savent plus se prendre en main, les illusions se multiplient, les actes sont détournés de leur action originel, la raison, pour le plaisir de la débauche. Il n'y a plus d'équilibre, tout devient superflu et de plus en plus intouchable, transparent dans la transparence même des choses, tel le fantôme. C'est ce qui engendre des excès de violence et de haine, le mal à son état le plus infâme, dans toute sa frustration, son mépris, sa haine et donc sa douleur. Nous faisans subir l'équivalent d'éventrements violents et incurables, pour finir perdu dans notre propre trou, notre propre vide, la violence alliée à la haine.

    Il faut savoir tel un sage, se détacher du conditionnement, apprendre à marcher, à regarder, à voir au dessus de ses propres espaces, ses limites et les pulsions de ses limites, voir au delà de l'au delà lui même, ce qui, à l'image, représente la mort. La mort de la vie et de la raison, l'illusion dans toute sa trahison et sa mauvaise foi, tel un cauchemard vivant, un monstre.

    Il ne faut pas se contenter des images vécues, il faut prendre la vie selon ses bons côtés et non dans ses ressentiments continus, voir les choses tel qu'elles auraient du être et non toujours comment elles doivent finir, c'est apprendre à se détacher de la contrainte, des barrières que l'on se met par l'emprise de la pulsion, ces nerfs qui nous paralysent à chaque action, pour se retourner indéfiniment au centre de l'estomac. Un système bancal.

    Mais à chaque chose, il y a modération et donc équilibre, rationalité et lucidité, il ne faut pas abuser des choses saines pour l'esprit et le corps, il faut savoir trouver le bonheur dans chaque état obtenu, c'est ce qui forme la raison et nous fait rester humain. Ne jamais trop l'être, c'est la vérité. Travailler sa foi pour mieux atteindre l'espérance d'un lendemain nouveau et vivifiant, non dans la fatigue et la morbidité. C'est toute une philosophie de vie, se détacher des angoisses existentielles pour atteindre l'éveil d'une sensibilité dans son absolu jouissance, tel un rêve.

    Il ne faut pas bloquer dans ses pensées, chaque rêve est un nouveau fruit à récolter, une nouvelle source de jouissances, de pureté et de bonheur à trouver, ne jamais la consommer trop tôt, ni trop tard, toujours selon le rythme de la digestion et de la respiration qui s'accompagnent. En retirer la jouissance finit et complète.

    Abuser des jouissances amènent à la maladie, l'auto-destruction, l'aliénation et une indigestion infinie et continue. Il faut pouvoir trouver l'équilibre dans tout repas, toute recette, toute envie. C'est ainsi que viendra le plaisir d'une existence vécue réellement et non de façon conditionnée et absurde. La vie est un bonheur à prendre à parts égales.

    L'amour est une qualité qui ne doit pas être contrariée selon son bon vouloir, toujours rester neutre de soi même et sain vis à vis de l'autre pour trouver le bonheur accompli, l'existence à l'état propre. Ce qui est défini doit le rester, tel un accomplissement de la personnalité, nous protégeant de la miséricorde et de la débauche.

    L'amitié reste une notion vague de l'amour porté à l'autre, restant incohérente mais brave. C'est un équilibre dans les relations à la recherche de la multiplicité des individus, elle ne doit pas dépasser les limites de la jouissance personnelle, chacun ayant son état, sa propre personnalité, ses envies, ses goûts et donc ses pulsions, il s'agit de partager de façon équitable le bonheur. Ne pas entraver les plaisirs communs pour permettre une jouissance perpétuelle de l'état d'esprit dans sa plénitude, c'est le respect de la raison.

    Aimer est une constante de l'amour et de l'amitié, apprendre à être serein pour mieux supporter les échanges, en premier, avec ses propres parents et enfants.

    Le superflu reste un objet maudit, qui n'a pas sa place chez les êtres transcendants la vie, ils sont ce qu'il y a de plus lourd en ce monde, l'inutile et le non concret, ils restent à l'état de drogue dangereuse, quelque chose de nuisible et d'usant, il est à supprimer et à être remplacer par le vivant, l'existant.

    Tout ce qui est à l'état de superficialité est la caractéristique même de l'existence, un vide absolu dans son éternel néant, vivant infiniment les contraintes du cycle perpétuel des renaissances dans un absolu conditionnement ironique, apportant l'ivresse, la mésentente, la rancoeur, la pitié et donc la haine. Il faut savoir rester maître de ses désirs pour ne pas marcher sur les besoins des autres, trouver le juste milieu dans chaque rapport.

    Savoir se contenir est une valeur sure, elle permet la maintenance des ressentiments et des contrariétés, sinon, c'est l'apport de la guerre, la destabilisation de la vie sociale et donc la débauche, tel une drogue, faisant de nous des fantômes aux yeux enflées, grossiers et névrosés. Il faut trouver le zen.

    Même si tout conditionnement amène forcemment à des incertitudes, il ne faut pas se laisser détruire par la pulsion, toujours rester sur de soi pour garder son esprit au propre de toute souillure psychologique, c'est la sérénité.

    La raison est la première forme d'intelligence, elle est celle qui permet une stabilité physique et psychique la plus totale, ne pas se laisser influencer indirectement, c'est se donner les moyens de vivre la vie selon sa réalité et non son fausseté, son mensonge, sinon c'est la perdition.

    Réussir à nouer les liens, c'est se donner les moyens de communiquer selon le respect de l'un à l'égard de l'autre, sans compromettre l'entente, chercher la cordialité pour mieux s'unir dans les difficultés morales, c'est se donner la possibilité de vivre selon la saineté, l'équité et la bonté.

    Prendre le temps de choisir ses chemins, c'est une façon de construire sa propre hiérarchie, ses idées, son vécu, pour mieux pouvoir faire ce dont on aurait toujours du faire, c'est l'ambition.

    L'envie est une saveur à consommer avec modération et équité, sinon c'est l'inégalité.

    La passion doit rester le fruit d'un travail sain et modéré dans son talent et sa vision à autrui, c'est pour cette raison que chaque individu doit se contenir dans ses désirs vis à vis de sa passion, pour ne pas dépendre de l'influence de quelques autres pulsions, risquant d'abrutir le talent ressortant de cette passion, la discipline.

    La dignité est la valeur première à suivre, elle est celle permettant l'humilité dans sa globalité et son évolution, c'est à dire, la liberté. Elle amène à un détachement complet des états d'esprit vers le bonheur absolu, c'est la félicité.

    L'honneur est une valeur sure, elle permet un renforcement moral amenant à un détachement complet des contraintes sentimentales, mais il faut savoir rester juste dans ses actions vis à vis de ses sentiments, ne pas se décaler, éviter de marcher sur les pieds de l'autre, ne pas le détourner de son propre chemin, l'aider à monter les marches de l'espérance, à gravir les montagnes de l'illusion, pour atteindre finalement les sommets de la liberté et de la dignité.

    Le miracle est une possibilité, selon les actions que l'on engendre, il est pensable et faisable d'amener l'autre à un émerveillement complet de son propre état d'esprit, le bonheur, à son état le plus pur, chaque miracle accomplit est un partage des espérances et des rêves, il ne faut pas s'oublier de ce côté là, c'est ce qui permet la lucidité.

    La gentillesse est un état d'âme à gérer, manipuler de soi, il ne faut pas s'abuser de la contrainte et de la timidité, savoir s'en contenir pour mieux supporter le poids de l'existence de l'autre, il n'y a pas de honte à faire de bonnes actions et il faut savoir rester rationnel.

    La fierté doit rester équitable, il ne faut pas porter préjudice à l'autre selon ses ressentiments, toujours garder l'équilibre entre les états d'esprit et leurs souffrances, leurs désespérances, rester neutre dans sa fierté pour permettre une meilleure amitié dans les relations, ne jamais se laisser influencer par le mal commun, être et rester au milieu de l'action et des réactions résultantes. La fierté reste un péché car elle fait croire qu'elle supporte un esprit de domination alors qu'elle est la forme même de sa propre contrainte, la maladie existentielle, c'est un sentiment inutile mais permis sans raisons, une simple façon de compenser son vide, et il reste absolu.

    L'amour propre peut être une compensassion de son mal-être mais il faut rester équilibré dans ses ressentiments sinon on peut se porter soi même préjudice, ce qui reste le mal commun, la destruction, l'horreur et donc la misère.

    Le mensonge est la destruction même de l'amour, car il est celui qui a engendré la misère commune, la fausseté, la haine, la mauvaise foi, jusqu'à apporter les fruits de la mort, après la récolte la plus mauvaise, la plus hypocrite.

    L'illusion est dans ce monde, ce qui fait que l'on doit rester transparent à toute action qui peut paraître instable et irrationnel, ce qui manquerait de valeurs, il faut savoir que chaque chose en ce monde physique n'existe pas et n'a pas de fin en soi, il faut savoir rester neutre de toute forme de conditionnement. Savoir être détaché permet d'atteindre l'illumination vers l'absolu liberté, la mélodie éternelle.

    La musique représente l'essentielle de ce monde, elle est notre rythme et mélodie vers l'infini détachement du point sensible, appelé "Dieu", c'est la musique et l'amour qui s'accompagne avec qui nous a permis d'atteindre les joies de la créativité et des plus heureux sentiments.

    En toute logique, chaque histoire se résumerait à un alignement des états d'âme vers l'état d'esprit absolu, le bonheur suprême, celui qui permet le détachement complet du tout nouveau, le tout conditionné et inerte de soi, les formes physiques dans leur vide infini, chaque histoire est un retour en un point "mort", mais il faut savoir trouver dans chaque histoire, les valeurs suffisantes à notre appétit, sinon c'est l'indigestion et donc la maladie, souvent la plus mortelle.

    Les sons entendus, les images perçues ne sont que le reflet d'une existence transparente d'elle même, souvent vide de sens et de compréhensivité, il y a illusion lorsque ces sons et images sont détournés vers la contrainte du conditionnement, le point d'éternel retour. Lorsque que dans ces cas là, il n'y a plus d'équilibre, tout s'effondre dans le néant le plus absolu, la mort des valeurs, l'absence des connaissances et de la force morale, chaque histoire doit avoir sa logique et sa lucidité, c'est ce qui fait que les choses de ce monde ne sont plus des drogues mais des valeurs, représentant la seule force mentale, c'est ce qui a permi la liberté dans sa totalité.

    S'oublier est une bonne façon en parti d'apprendre à connaître sa souffrance, mais il faut savoir faire la part des choses, sinon, il s'agira d'un mauvais partage, la séparation la plus douloureuse et inutile. Apprendre à connaître ce qui peut paraître l'autre nous permet d'apprendre à mieux nous connaître, à mieux nous faire savoir, et donc à mieux offrir à autrui la liberté d'un monde plus vaste.

    Dans la multiplicité naît les êtres, les sentiments, ne pas la respecter est se condamner à l'incohérence et la décadence, et donc la décadence même de la culture, à son sens général. C'est dans la multiplicité que naît les êtres, les formes, les actes, sans ce respect commun, il n'y aurait pas de vie, juste du vide. Au commencement, le masculin et le féminin, le féminin représentant l'émotion, la base, la chaleur de ce monde tel le coeur du soleil, le masculin représente le sensible, la grandeur, la force tel les flammes du soleil. Chaque chose a sa place et il faut le respecter, sinon, plus aucune étoile ne pourra naître dans son tout nouveau, Dieu n'est pas un jouet avec lequel on peut abuser indéfiniment, la nature offre la vie et c'est dans son équilibre que toutes les choses résultantes ont pu voir le jour, ne pas suivre cette vision est une damnation au sens final du terme.

    La vérité est dans ce monde en elle même déjà un mensonge, il ne faut pas se laisser abuser de toutes les contraintes nous amenant au conditionnement de la culture au niveau matériel, tel que sont les matérialistes pervers et non éduqués à la morale, la valeur, la vraie culture, ceux ci resteront des orgueilleux pervers déchus, à la culture infâme. A l'inverse, les autres auront le coeur pur, l'esprit saint, ce qui leur permettra d'atteindre un niveau de valeur absolu, complet; ce sont ces personnes là qui sauront atteindre la félicité dans toute sa grandeur, sa pureté; une culture dans toute sa structure, son rythme, sa mélodie et ses sentiments; autrement, on ne vivra pas dans la vérité mais l'illusion.

    Le goût reste un sentiment très flou, il est l'intermédiaire entre le plaisir physique et le besoin spirituel, souvent on confond ses goûts avec les pulsions, ce qui peut nous ramener aux besoins premiers, les valeurs matériels, influençant les besoins psychiques, ils sont la preuve de la régression culturelle, une vision arriérée du monde spirituel pour le privilège aux plaisirs physiques, tel une sacade abusive du rythme de vie, une détérioration du corps de la musique, une limite rapidement mise à cause des contraites de la condition du cycle physique de la vie, détruisant toute valeur morale de sérénité, de bonté. Le goût est quelque chose de très instable, non vrai, nous sommes tous sensés aspirer à un bonheur commun, culturellement parlant, après, cela reste approximatif. Dans ce monde ci, il y a deux structures, le rythme et la mélodie, servir de mauvais intermédiaire ne peut apporter que décadence de la structure humaine, cette pyramide de l'existence, le non respect de celle ci pourrait faire penser à une vision avancée de fin du monde, il faut savoir respecter un équilibre dans ses "goûts".

    La passion ne doit pas être porter à l'exagération, dans chaque passion, il y a une valeur, tel un film, à en tirer, une dose de pulsion et de bonheur, tout en respectant la bonté qui s'accompagne, c'est ce qui permet de conserver une bonne moyenne dans ses joies et ses douleurs, ce courage doit pouvoir porter l'homme à une espérance fixe, le savoir, tel qu'il aurait toujours du être, pour ne pas régresser, quel que soit le côté pris, sinon c'est la contrariété.

    Le rêve restera le but ultime de chaque homme, l'état d'esprit à son niveau le plus pur, le plus détaché, le plus libre, malgré le fait qu'aucune liberté existe réellement de soi, il faut toujours savoir et pouvoir apprendre à rêver, à imaginer le futur existant, pour ne pas sombrer dans une quelconque décadence, sinon il s'agira de misère et de désévolution. Rêver équitablement a toujours permis à l'homme de se surpasser dans ses pulsions mentales et physiques, de voir plus loin que ce qu'on le lui a présenter.

    Le cauchemard restera le fruit des consciences perdues dans l'abîme de l'existence, les enfers, ce sont les sentiments les plus oubliés, les plus ignorés du continent humain. Chaque oubli d'un sentiment, d'un passé, d'une partie de l'existence est une condamnation aux enfers, le néant avant l'heure, preuve que notre vie domine largement l'existence de chacun et que chacun ne peut que se satisfaire d'être son propre Dieu, partager selon l'autre a toujours permis une préservation du moi profond.

    Se préserver permet une remise en forme de toutes les dépréciations du corps et de l'âme, des plus profondes douleurs aux plus grandes joies, il faut savoir trouver le juste milieu de chaque chose, tel le rêve.

    Vivre la joie est le but des émotions, arriver à atteindre la félicité et le bonheur dans son épanouissement le plus libre et le plus complet, sans jamais oublier chaque instant de jouissance reçue, sans que ces jouissances deviennent superficielles et dangereuses, c'est le bonheur commun.

    L'art ne doit plus être abusé de soi.

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