Plus on donne aux gens des pays pauvres, plus cela accroît leur espérance de vie et leur chance de faire une progéniture, qui sera elle-même pauvre (pas d'école, pas d'emploi donc logiquement....).

Pour enrayer la misère, il suffit logiquement de limiter la population pour accroître les ressources disponibles pour les autres.

Hors plus ça va, plus ils sont nombreux, moins ils ont de ressources, plus ils sont pauvres, plus leur espérance de vie est courte. Ils ont donc d'autant plus d'enfants pour compenser, accroissant ainsi la misère dans un cercle vicieux.

Inversement, plus les gens ont des moyens financiers importants, mieux ils vivent, moins ils ont d'enfants. C'est une statistique, j'ai vérifié.

Hors on ne peut pas être toujours plus nombreux pour toujours moins de ressources. Dans certaines régions du globe, les ressources ont presque disparu (je pense notamment à des régions ou les pêcheurs ont quasimment éteint des espèces de poissons). Il faudra des décennies à ces régions pour s'en remettre.

L'aide humanitaire compense partiellement, mais cela finira par atteindre une limite. On assistera alors à des famines, des maladies etc... qui feront des morts par milliards (on sera alors 10 milliards par exemple dont 6 milliards de pauvres, soit 5 milliards de victimes au bas mot).

Perspective charmante non? Alors pour limiter les dégats ou retarder au plus tard possible, il faut donner à ceux qui ont déjà beaucoup plutôt qu'à ceux qui n'ont rien.