Souvenir d'une interminable saison
faite de reves et douloureuses illusions
ou melancolie avait toute raison noyée;
je me souviens de triste été
ou j'errais dans des rues devenues inconnues
sous les lances d'un soleil aveuglant d'arrogance,
le regard caressant celle que je ne voyais plus
je languissais ,seul, a l'ombre de son absence.
Chaque pas ,chaque seconde ,elle hantait mes pensées
soupir aprés soupir ,je m'interdisais de l'esperer
chaque soir pourtant je m'en allais tendrement la retrouver
dans notre douce demeure au royaume de morphée
chaque nuit je la sentais entre mes mains ,m'aimer
et chaque nuit d'un amer et silencieux bonheur je me laisser pleurer.
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De pales nuits et de ternes journées sont ainsi passées
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mais le desespoir est ainsi fait qu'on continue d'esperer
ma betise est ainsi faite que je continue de l'aimer

(poeme incomplet)