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Discussion: Définition biologique de la pensée

  1. #11
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    July 2005
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    Je pense que l' une des clés de cette réponse réside dans l' interprétation du rêve.Le rêve ne serait-il pas un événement neurologique qui traduirait toute nos arrières pensées de la journée?En fait , je pense que quand nous rêvons , il se produit spontanément un flux de substances neurologiques qui se trouvent responsables de la pensée : des substances qui nous amènent à voir des lieux , des personnages , des événements que nous connaissons sans aucun ordre logique.Notre cerveau penserait alors tout seul!Nous aurions en nous une forme de pensée que nous serions incapables de controler.J' en déduirais que nous ne pouvons contrôler notre pensée que lorsque nous sommes révéillés et mentalement ordonné.Mais lorsque ce n' est pas le cas , les substances neurologiques responsables de la pensée continuent à circuler dans notre organisme , créant en nous une pensée inconsciente et incohérente : le rêve.

    Ce qui expliquerait l' origine de l' autisme : les autistes sont incapables de contrôler leur pensée : les substances neurologiques responsables de la pensée leur font percevoir des pensées mais ils sont incapables de contrôler , d' ordonner ces dernières et ce retrouvent donc plongés dans un rêve éveillé.

    Ce n' est qu' une hypothèse bien sûr.

    Bon après , dire que l' homme serait contrôlé par sa pensée était peut-être un peu exagéré mais bon c' était mon premier message sur philagora , il fallait bien attirer l' attention

  2. #12
    dugogh Guest

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    Les animaux rêvent, mais à mon avis la pensée qui se pense, chez l'Homme relève d'un autre processus que j'ignore, mais qui n'en existe pas moins.
    Je ne pense pas d'une manière radicalement différente de ceux de mes chats, on se comprends. Une chatte a compris mème le langage de singe de mon bébé..
    Bien sûr, les chats sont les cons. Ils n'ont pas le penchant pour les abstractions, et j'ai vu que les pensées qu'un chat est capable de maintenir entre ses deux oreilles sont assez courtes, par exemple: le moment est propice, aller dans la cuisine, ouvrir le frigo, miam-miam.
    Je ne crois pas que ça va plus loin, quand je me suis réveillé avec deux côtelettes du congel sur la poitrine, le chat qui attendait sur mon ventre, en toute évidence justement ça, a paniqué quand il a rencontré mes yeux; je prèsumme que c'était seulement dans ce moment qu'il s'est souvenu du tabou de frigo, héhéhé, préoccupé par son expériment ou plan ou qu'est-ce que c'était, il a oublié la première condition de la réussite; que je ne le vois pas.
    Oui, j'avais un chat créatif qui savait travailler.

  3. #13
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    l'être humain est un animal parmi d'autres mais un drôle d'animal

    certains ont même été jusqu'à dire que nous sommes des machines désirantes. Changement de vocabulaire pour signifier que l'homme est un animal social.

    Definir un être humain correspond à définir ses pulsions. boire manger dormir se reproduire mais aussi toucher l'autre.

    Jamais vu un chat venir t'chat er sur philagora.

  4. #14
    dugogh Guest

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    Jamais vu un chat venir t'chat er sur philagora.
    Peut-étre est un signe d'une sagesse qui nous manque? Ces bètes de Hume n'ont point peur du noir, leur perception est pour noud un Mystère. Je suis d'accord qu'elles ont peu de la cervelle entre les oreilles, mais quelles oreilles!..sans parler des mystères de la Moustache...Je comprends vaguement ce qu'ils disent les chats (surtout les chattes). Ces bètes n'ont aucune idée de la philo, pour l'instant, elles s'humanisent, en observant que nous sommes plus forts; "la loi de plus fort est la meuilleure," par exemple. Les chats ont leur propres tchats ou ils disputent les questions du territoire, éventuellements aussi les questions d'amour, de la hiérarchie des valeurs en quelque sorte. Je crois que tout le monde qui aime les chats les humanise..sans les problémes que nous aurrions pour les insectes, par exemple.
    J'avoue, je parle miau-miau, et ces animaux me pardonnent mes insuffisances en ce qui concerne de remuer ma queue ou les oreilles. Je sais aussi parler avec certains oiseaux, mais les merles sont bien moins marrants que les chats, ces sacs de vices nous rensemblent tellement qu'il faut les aimer, disons que c'est l' 11e commandement: Aime les chats, l'amour s'en fout de la raison.
    Sincérement, la pensée n'est pas une affaire des chromosones, mais de l'intérét et de la logique. La pensée qui se pense n'est peu-étre, tel un privilége humain, qu'un de ces mythes qui nous permettent de manger de la viande, d'éliminer les biotopes des X espèces pour faire pousser un champ du blé, et si j'observe ma chére Chippie qui a essayée de me dominer par la violence plus que 10 fois, bien que notre première rencontre était assez explicite, elle doit se racconter les histoires aussi out off que nous les humains.

    Je ne vois pas une autre différence que celle de la quantité, les animaux ont aussi une intélligence.

  5. #15
    dugogh Guest

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    PS.: Désolé pour l'inconsistance de mon post précédent, j'ai une grippe et je suis au beau millieu du traitement au Whisky.

  6. #16
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    Citation Posté par dugogh
    Peut-étre est un signe d'une sagesse qui nous manque? Ces bètes de Hume n'ont point peur du noir, leur perception est pour noud un Mystère. Je suis d'accord qu'elles ont peu de la cervelle entre les oreilles, mais quelles oreilles!..sans parler des mystères de la Moustache...Je comprends vaguement ce qu'ils disent les chats (surtout les chattes). Ces bètes n'ont aucune idée de la philo, pour l'instant, elles s'humanisent, en observant que nous sommes plus forts; "la loi de plus fort est la meuilleure," par exemple. Les chats ont leur propres tchats ou ils disputent les questions du territoire, éventuellements aussi les questions d'amour, de la hiérarchie des valeurs en quelque sorte. Je crois que tout le monde qui aime les chats les humanise..sans les problémes que nous aurrions pour les insectes, par exemple.
    J'avoue, je parle miau-miau, et ces animaux me pardonnent mes insuffisances en ce qui concerne de remuer ma queue ou les oreilles. Je sais aussi parler avec certains oiseaux, mais les merles sont bien moins marrants que les chats, ces sacs de vices nous rensemblent tellement qu'il faut les aimer, disons que c'est l' 11e commandement: Aime les chats, l'amour s'en fout de la raison.
    Sincérement, la pensée n'est pas une affaire des chromosones, mais de l'intérét et de la logique. La pensée qui se pense n'est peu-étre, tel un privilége humain, qu'un de ces mythes qui nous permettent de manger de la viande, d'éliminer les biotopes des X espèces pour faire pousser un champ du blé, et si j'observe ma chére Chippie qui a essayée de me dominer par la violence plus que 10 fois, bien que notre première rencontre était assez explicite, elle doit se racconter les histoires aussi out off que nous les humains.

    Je ne vois pas une autre différence que celle de la quantité, les animaux ont aussi une intélligence.

    Effectivement il est possible d'imaginer unecertaine transcendance à l'espèce feline; elle est surement plus souple que celle de l'être humain .Si les chats sont assez intelligents pour nous dresser à miauler et à les nourir gratuitement alors peut être devrions nous les élever au rang de demi dieux

  7. #17
    Hugo88 Guest

    Talking

    Cette discussion est poilante... Smilie

  8. #18
    Hugo88 Guest

    Unhappy

    ...et je ne maîtrise pas les smileys...

  9. #19
    Mibay Guest

    Unhappy La pensée au carré

    J'aime beaucoup les animaux. Pour le dévouement et l'amour du prochain, ils n'ont pas grand chose à apprendre de l'Homme.
    Au point de vue de la réflexion, j'attends de voir un chat envoyer un des ses confrères dans la lune pour changer radicalement d'avis.
    La pensée réfléchie est-elle une évolution de la pensée animale ? Je pencherais plutôt, comme Teilhard, vers l'idée que la pensée au carré est un phénomène nouveau propre à l'Homme, une sorte de point d'inflexion sur la courbe de l'évolution. Ou seraient les intermédiaires ? Je n'ai pas tendance à considérer certains hommes pathologiquement anormaux comme des intermédiaires.
    Tout ceci est très troublant, mais on ne peut nier l'évidence.
    A bientôtt

  10. #20
    Hugo88 Guest

    Question

    Je ne vois pas tellement ce que tu veux dire par "intermédiaires". Si tu veux parler des intermédiaires entre l'Animal et l'Homme, alors tu as dû oublier l'évolution du singe à l'Homo Sapiens.

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