ah la philosophie à quatre sousPosté par dugogh
de la sous philosophie! normal pour des allemands
juste un peu d'humour reposant. Après l'effort le réconfort.
LA LIBERTE EST L'ESCLAVAGE. (Ubu)
ah la philosophie à quatre sousPosté par dugogh
de la sous philosophie! normal pour des allemands
juste un peu d'humour reposant. Après l'effort le réconfort.
Oula François 2 t'a mangé du lion.
Non je plaisante quel plaisir de te lire.
Les posts un peu long ça me rebute, mais là, ton écriture était fluide, j'avais envie de lire jusqu'au bout. Merci!
En tant que chrétienne Jésus par sa mort et sa résurection nous a libérés du péché. Cette libéralisation doit nous permettre de nous tourner vers les autres et non pas de faire du nombrilisme en se disant:
-Ouah! qu'est ce que j'ai encore fait qui ne soit pas dans le sens de Dieu. Qu'est ce que j'ai fait de mal.
Quand ces chaînes justement sont brisées, nous jouissons d'une liberté à nulle autre pareille, et en avant le "aime ton prochain".
Là encore comme pour le sacrifice, j'ai du mal à te suivre. A moins que les chaînes soient les paroles des évangiles qui se résument à la citation ci-dessus.
Quant à dire non, c'est important. Savoir dire non à ses enfants c'est les construire, leur donner des limites, des repères.
Aujourd'hui au travers de la tolèrence tout le monde dit oui à tout le monde, mais à l'intérieur de soi s'accumule: la haine, la frustation, la rancune et la rancoeur. Personne n'ose aller à l'encontre ayant peur de faire des vagues, de la violence de l'autre. Pour moi la tolérence est l'anti thèse du respect.Je sais ça va faire bondir plus d'un, mais au mot tolérence je préfère le mot respect.
Aujourd'hui le courage n'est-il pas de dire "je"? de s'impliquer dans ses idées, de réagir soit dans le sens du oui, soit dans le sens du non?
Aller à contre courant, et comme tu le dis reconnaître que je me trompe.
Quant à convertir, non je ne veux pas me prendre pour Dieu. Ammener une personne à s'interroger par mon attitude, mes prises de position, à réfléchir oui. Convertir, non je laisse à Dieu.
Merci Gy Reymondo
il ne s'agit que d'un bouteille à la mer. Puisse-t-elle accoster sur un rivage acceuillant.
La tolérance: il existe des maisons pour cela. En revanche je suis tout à fait d'accord qu'il faille savoir dire non lorsque cela s'impose mais savoir aussi dire oui. Le oui est à mon avis plus engageant que le non.
Le non est toujours au bord des lèvres de nos jours. Le non est souvent un refus de l'engagement; oh combien plus aisé que d'adhérer à un projet.
Le non d'accord mais avec un oui après. Le pire est l'inaction, le refus de vivre. Le "je" n'est objectivé que par les actions. Sans action, sans adhésion, le sujet n'existe pas.
L'action, le verbe est au début de toute chose.
Bon sang il faut savoir dire oui, agir, vivre. OUI à la vie. OUI au "je"
Ni un, ni l'autre, just une reférence à l'oeuvre d'Ubu Enchaîné, qui médite le long d'un roman philosophique la liberté, l'égalité et la fraternité en maximes suspectes et les faits héroiques.Posté par francois2
Est ce une bonne reférence?
Je suis certain que l'Alfred Jarry a écrit le livre à notre attention, l'exercice de la liberté n'est pas facile.
A mon avis a avaller dans le contexte ubuesque
ou comme une amuse-gueule.
Rassurez vous, Alfred Jarry était un français de pure souche avec une éducation classique
doublé d'un patriote millitant, un grand amateur des armes.
Il était méme un cycliste!
Quoi d'autre que l'humour sait aussi bien tempérer les idées sublimes?
Avant d'avaller la cigue, le Socrate fait une blague,
il propose de faire une petite libation avec le poison.
Ca le rends moins mortel pour nous, les autres.
Santé
Dernière modification par dugogh 29/06/2005 à 18h36 Motif: Encore un petit coup de pub
Posté par dugogh
zut et zut et zut.
Confondre alfred et bertold, inadmissible un bug dans sim's.
Pourrait faire attention le conceptualiseur central, une défragmentation s'impose semble-t-il.
Zut zut c'est pas le bon forum décidemment.
Il va falloir repartir en arrière et retrouver des liens manquants. Peut être ne voudrons-ils pas se reconstituer. Ubuesque mais un peu tard isn't it?
Mon cher dugogh je suis ivre de confusion
Je voudrais juste, si tu le permets, ajouter une précision afin de pas laisser se propager une fausse rumeur. En aucun cas, mon post précédent, il n'existait de connotation négative à la race allemande. J'aime cette race et toute les races en définitive. Je crois au "racisme" positif. J'aime les différences sinon où serait le plaisir de la découverte et de l'apprentissage.
Imagine un peu un monde sans tchéquo-slovaquie, une monde réduit à une unique intelligence, une vaste noosphère décorporalisée. Mortelle cette vision, quel ennui!
Au fait pourrais tu m'expliquer ce que tu entendais par " la liberté est l'esclavage"
merci et prossit
Dernière modification par francois2 29/06/2005 à 22h36
Juste une mise au point.
La race existe dans le monde animal, mais nullement dans le monde humain.
Qui veut de plus amples explications scientifiques?
mais si il y a les breton , les corses, les gastronomes en culottes courtes, les marathoniens, les laveurs de carreaux ovales, les joueurs de poker russes, les hanballeuses , les cyclistes, les amoureux des roses bleues, les astronomes, les plongeurs en eaux troubles, les archéologues, les grossistes, les petrolleuses, et les raffineurs de parfums suranés.Posté par Gy Reymondon
J'en passe et des meilleurs . Et si ça ce n'est pas des races que dire des douzes tribues.
L'argument d'autorité ne vaut pas un kopek sur un post ubuesque.
Gy, comme le faisait remarquer dugogh ou "of gogh" appellé moi vincent ( excusez moi si je me trompe ) l'humour peut tempérer un peu trop d'ardeur acide. Mea culpa
francois
J'ai le souvenir très lointain d'une chanson qui met les gens dans "des boîtes trop étroites".
J'aime ta description à la Prévert.
Je ne sais où tu habites, mais si dans la région où tu as planté ta tente la chaleur, te donne un moral morose je t'envoie une grande bouffée d'air frais de l'Atlantique. Une bouffée d'air breton, pour supprimer l'acidité et briser les chaînes.
J'aime beaucoup le prénom de Vincent, affaire privée: mais quelqu'un de très proche s'appelle ainsi.
Au fait tribues pas races, je te taquines.
Doux rêves.
Dernière modification par Gy Reymondon 29/06/2005 à 23h37
Huhuhu, me voilà démasqué.
Oui, je m'appelle Vincent Dugogh, mais je ne me coupe point les oneilles pour le vrai.
Je n'ai pas trouvé le texte intégral sur le net et je ne sais pas ou j'ai le livre, alors c'est peut-étre tout autrement:Au fait pourrais tu m'expliquer ce que tu entendais par " la liberté est l'esclavage"
"…nous sommes libres de faire ce que nous voulons, même d’obéir;
d’aller partout où il nous plaît, même en prison !
La liberté, c’est l’esclavage !"
Pissedoux au moment ou le peuple attaque la prison pour s'installer dedans comme le Ubu Enchaîné. A la Bastille!
Pissedoux, caporal des hommes libres a reconnu le champion de la Liberté quand le Père Ubu exécutait les ordres lors d'exercice obligat0ire de la désobeissance civique. (oui, il s'est permis d'ignorer l'impèratif de la liberté)
C'est une scéne tout au début.
Ubu a commencé sa carrière de galérien comme un cireur de chaussures.
Il a débarqué dans la France libre dégouté de la vie d'un roî et des c0ups de pied au cul. Il ne veut plus tuder les gens, il veut leur servir.
Mère Ubu ne croit pas à ses oneilles.
Et voilà arrive le Monsieur Pissembock avec la nièce:
(" Ma petite Éleuthère, il ne faut pas laisser les hommes libres prendre trop de libertés.")
Ubu se jette sur ses victimes, assomme, écrase, cire les pieds et vole les portefeuilles comme l'exige le contrat social. ensuite il les séquestre dans leur maison, pour mieux servir tel un esclave devenu indispensable au maître, le maître du maître, héhéhé, Pissembock est trop faible pour se débarrasser de père Ubu qui réalise son essence humaine par le travail. Après une pantalonade ignoble est le Père Ubu vainçu, soumis au examen théologique et enfermé dans la prison.
Qu'est-ce qu'il est content, il fait une carrière, avec un peu de chance il va devenir mème un esclave..Il fait envie, une sorte de la révollution à l'envers éclate et à la fin tout le monde arrive aux galéres de Soliman qui traite le Père Ubu avec beaucoup de respect, Ubu est évidement de la famille.
Les autres vont ramer.
Voilà, c'est au moins un bout d'une axe d'une lecture.
Je suis trop crevé pour continuer, bonne nuit.
Dernière modification par dugogh 30/06/2005 à 11h44