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Discussion: XXIème siècle non spirituel mais numérique

  1. #21
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    April 2005
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    Pariiiis
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    J'ai un peu de temps aujourd'hui, alors j'en profite!
    (faut pas le prendre mal, surtout!)

    Citation Posté par dugogh
    Une portée explicative elles vont avoir pour une histoire d'Europe ou de la collonisation, d'art, des mathématiques, de la philosophie...
    Les Ecritures vont avoir une portée explicative pour tout ça, certes, mais parce que tout cela s'en est inspiré. Ce n'est pas parce que la pub du Jambon d'Aoste reprend une musique classique qu'elle a été composée pour ça... (ou bien? m'aurait-on menti? ). Ou alors je n'ai pas bien compris la portée de la phrase.

    Et quelle matière pour une analyse de nos folies, sous la condition qu'on n'y méle pas une foi.
    Là je n'ai pas compris la phrase... On utilise les Ecritures pour en psychanalyser les auteurs? Ou bien est-ce l'interprétation, la réception qu'on en fait, et qui ressort dans nos délires aujourd'hui?

    Par exemple cet amour de Dieu qui décime si sauvagement le peuple élu que le Moise lui rappelle dans un moment l'Arche et que les voisins vont croire qu'ils ont raison de ne pas Croire. ->Anthropologie, Psychoanalyse...
    Je ne comprend ni la phrase (que j'essaie quand même de deviner) ni la portée de l'exemple, qui doit illustrer le propos de l'analyse de nos folies.
    Cela signifie-t-il que l'amour de Dieu semble bien étrange s'il décime "sauvagement" le peuple qu'il a pourtant choisi? (C'est l'Arche de Noé... pas de Moïse... ou alors c'est une référence antérieure précise, où Moïse rappelerait à Dieu ce qu'il a fait?)

    Les scientifiques savent aujourd'hui que l'irationalité qui fait une partie de la condition humaine intégre aussi les concepts des sciences exactes. Ainsi on doit envisager que la théorie de Big-bang n'est peut-étre qu'une projection de créationisme et qu'elle mérite une bonne remise en question, par exemple
    Là, j'ai compris. Les concepts scientifiques (je crois que la physique n'est pas une science exacte comme les mathématiques) ont peut-être une part d'irrationnel, en effet, dans la mesure où il faut établir une hypothèse à partir d'une expérience qualitative ou bien d'une limite théorique: il y a toujours une part d'imagination qui peut se glisser.
    Les astrophysiciens prennent aujourd'hui beaucoup de recul par rapport à leur science (contrairement aux neurobiologistes, par exemple, qui sont encore dans l'enfance de leur science et la tête dans le guidon) et ils sont conscients de la limite propre à leur mode de procédé expérimental. La théorie du Big-Bang peut en effet être rapproché de la genèse, mais il me semble délicat d'en faire une application directe. Quand bien même le Big-Bang proviendrait d'un Big-Crash le précédent, rien n'empêche de croire que la série éventuelle de Crash-Bang n'est eu un commencement!

    Voilà...

    Scop
    Dernière modification par Scop 27/06/2005 à 16h10 Motif: je corrige... c'est ça d'écrire trop vite! :)

  2. #22
    dugogh Guest

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    Les Ecritures vont avoir une portée explicative pour tout ça, certes, mais parce que tout cela s'en est inspiré. Ce n'est pas parce que la pub du Jambon d'Aoste reprend une musique classique qu'elle a été composée pour ça... (ou bien? m'aurait-on menti? ).
    Si elles seraient seulement écrites, elles auraient bien moins d'importance. La Naissance de Sciences Humaines de Jambon d'Aoste, :lol, quelle inspiration, :lol le vilain iconoclaste. Je n'ai pas perdu la journée
    Là je n'ai pas compris la phrase... On utilise les Ecritures pour en psychanalyser les auteurs? Ou bien est-ce l'interprétation, la réception qu'on en fait, et qui ressort dans nos délires aujourd'hui?
    Mieux. L'ancien testament a certianement inspiré Freud, le Pêre de psychoanalyse, autant que le Moïse de Mickelagelo, mais j'ai pensé plutôt à l'anthropologie, les guerres des relligions, par exemple. Impossible de comprendre quelque chose sur un détail sans avoir dans la caboche au moins un cattéchisme. Imagine que Jan Zizka a pratiquement déclaré la guerre à son roï VenceslasIV, le frère de Césat de Saint Empire Germanique avec 30 000 paysans qui avaient 2mois des exercices militaires, at causé ainsi par un concours malheureux des circonstances la guerre de Tchéques hérétiques contre le Saint Empire. Il faut dire qu'il avait de la foi, il a gagné. Ou que "La vérité gagne toujours et contre tous, s'il le faut," par exemple, dans la bouche d'un docteur de la Théologie excomunié de la Sainte Eglise qui va en Constance pour défendre ses propositions pour la réforme de Sainte Eglise et tout le monde lui dit N'y va pas, frère Jane, le sauf conduit de Sigismund le rouquiin n'est qu'une ruse de ce renard, tu vais te faire brûler ou quelque chose comme ça, on sait, ils avaient une bonne intuition. Jan Hus savait aussi, il n'était pas un idiot, il était un héro et il est parti au council avec la phrase rituelle de jugement de dieu, dans ces temps encore populaire. Que l'histoire lui a donnée la raison est une autre histoire.
    Le Marx sans le bon dieu ne sait pas tout conceptualiser, mais pas du tout.

    Nos délires actuels sont certainement plus ou moins teintés par les siécles et les siécles des délires autour de Bible. Un exemple: Pratiquement toutes les femmes tchéques savent que pour avoir plus vite et mieux bouilli le bouillon de boeuf, il faut dans la casserole ajouter un bon clou de fer. C'est une information qui se transmets par une tradition orale, on le dit dans une conversation mondaine comme une blague, une curiosité ou un secret, et on ajoute; Personellement je n'ai jamais essayée, mais... Parmi autres on fait dans cette recette de la potache d'une sainte relique, mais une accusation de la magie les étonnerait: ce clou ne représente que les vertus de fer qui est saint parce-qu'il est dans les épinards. (!)


    Je ne comprend ni la phrase (que j'essaie quand même de deviner) ni la portée de l'exemple, qui doit illustrer le propos de l'analyse de nos folies.
    Cela signifie-t-il que l'amour de Dieu semble bien étrange s'il décime "sauvagement" le peuple qu'il a pourtant choisi? (C'est l'Arche de Noé... pas de Moïse... ou alors c'est une référence antérieure précise, où Moïse rappelerait à Dieu ce qu'il a fait?)
    Disons alors qu'il ne les a pas décimé sauvagement,
    que le voyage dans la Terre promise s'est just un peu prolongée
    et compliquée.
    Il était un peu colléreux susceptible et mortel à l'époque, lui.
    Un inapprochable, rien que le voir était la mort!
    et le sage Moïse ose de dire Lui dire:
    http://www.biblia-cerf.com/BJ/ex32.php
    Ex 32:12- Pourquoi les Égyptiens diraient-ils :
    "C'est par méchanceté qu'il les a fait sortir,
    pour les faire périr dans les montagnes
    et les exterminer de la face de la terre" ?
    Reviens de ta colère ardente et renonce au mal
    que tu voulais faire à ton peuple.

    N'est pas beau? Il donne un conseil amical
    à lEternel en collére divine, et le Terrible Yahve
    lui donne la raison, si je me souviens bien.
    Mais avait-il une choix?


    Là, j'ai compris. Les concepts scientifiques (je crois que la physique n'est pas une science exacte comme les mathématiques) ont peut-être une part d'irrationnel, en effet, dans la mesure où il faut établir une hypothèse à partir d'une expérience qualitative ou bien d'une limite théorique: il y a toujours une part d'imagination qui peut se glisser.
    Les astrophysiciens prennent aujourd'hui beaucoup de recul par rapport à leur science (contrairement aux neurobiologistes, par exemple, qui sont encore dans l'enfance de leur science et la tête dans le guidon) et ils sont conscients de la limite propre à leur mode de procédé expérimental. La théorie du Big-Bang peut en effet être rapproché de la genèse, mais il me semble délicat d'en faire une application directe. Quand bien même le Big-Bang proviendrait d'un Big-Crash le précédent, rien n'empêche de croire que la série éventuelle de Crash-Bang n'est eu un commencement!
    Ou bien que tout était autrement, de ces étoiles qui nous fugissent nous n'avons vu que les lumières. Par exemple si nous sommes dans un sim-univers, l'effet dopfler peut étre effectivement un petit bug, va savoir. On éteint tout entre deux séances de jeu, un million d'années ou deux pis plouf, on est de nouveau là et on ne sait rien.

    c'just quelque chose au sujet de topic,
    Houlala, j'étais vachement long, excuse.
    Dernière modification par dugogh 29/06/2005 à 23h19 Motif: :aPv)

  3. #23
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    Par défaut la fin des taons, pas des temps espèce de créti€n

    Bonsoir cher monstres collatéraux. Je n’ai découvert la suite du débat que ce soir seulement : la qualité philosophique me semble bien présente : ça va enfin un tantinet plus loin que le banal corrigé pour cours de terminale ! François deuxième du nom choie son lecteur, tandis que moi j’ai tendance à le maltraiter ; la remarque « La raison, universalement irrépartie, est devenue le credo de la liturgie républicaine journalière » --> cela me semble très pertinent ! La dénonciation du démon matérialiste me convient, malheureusement que faire contre ce satané principe de réalité – comme l’impuissance qui serait la guise dont l’impossible serait la vérité ? Il me semble que Dugogh a bien pigé le sens initial de ma problématique, je partage avec lui de préférer le fond de la pensée à la forme de l’écriture automatique… Je voulais juste dire un mot sur la réfutation quant à l’hypothèse de simulation numérique du champ de la réalité : elle se fonde sur l’idée que l’univers humain puisse être infini. Mais l’infini existe-il réellement ou alors n’est-il qu’une astuce de logique utile au calcul ? Une astuce apparemment. Sur l’indécidable de savoir si l’univers et fini ou infini, Kant est bien mort, puisque l’univers humain est bel et bien fini --> confère la thèse de l’astrophysicien Jean-Pierre Luminet :

    http://luth2.obspm.fr/~luminet/luminet.php

    outre les bugs informatiques de notre réalité virtuelle voulant se faire passer pour réelle, la finitude de l’univers humain est compatible avec l’idée de la simulation numérique : le nombre de particules élémentaires de l’univers humain est certainement inférieur à l’ordre 10**247 (10 puissance 247) et sa combinatoire inférieure à 2**10**247. L’artiste surréaliste préfèrera peindre une toile sans étoiles sur le thème des parties culs elle aime en taire dans le Théo rit que du terme aux nus clés air (des particules élémentaires dans le théorique du thermonucléaire) – pour rappel qu’en écrivant, soyons comme l’assis berne éthique de la cybernétique. Et les marionnettes se marient honnêtement. Au Royaume d’Essieux, on est embraqué dans un Train d’Enfer…

    En rapport à l’éthique, à partir du moment où le mal se manifeste, l’hypothèse d’un univers infini, cela serait coextensif à la douleur éternelle : cela semblerait une aberration constitutionnellement inepte, d’où le choix éthique de l’univers fini. Si le contrôle des affects par le système est le seul moyen qu’a une réalité virtuelle de se faire prendre pour réelle, à duper incessamment ses hères par la falsification, la fin des temps semble encore la meilleure option – préprogrammée bien entendue : on retrouve alors le syllogisme en Barbara dans le simulacre du « tout homme est mortel ; Sot-crate est un homme ; donc Sot–crate est mort tel ». En pratique un programme sans fin échappant au contrôle des affects, tout programme doit avoir une fin afin qu’un objet soit saisissable – et si rien n’est plus tangible, personne ne s’en plaindra (sinon les revenants seraient « par minous » !) : le nihilisme impose que pour avoir saisi, il faut pouvoir être saisi à son tour, et on périt par là où l’on a péché conformément au simulacre de réalité (opposition réel / réalité).

    Le démon matérialiste à eu raison de moi – le « moi » n’est qu’un soliton en annexe de la théorie ondulatoire : je suis mort tel comme en Sot-cratie. La résistance psychanalytique est partie d’un bug qui n’était autre qu’un accident de moto – où avec brisures de dents et os, je fus reconstitué par un obscène automatisme, en réalisant que la durée n’était que le produit de l’éternité par l’intemporel. Mais – et c’est de là qu’est parti mon ressentiment, on m’administra un produit censé stabiliser mon système nerveux (un numéro 6’t’M), mais semble-t-elle me mutila de la plupart de facultés de visions nocturnes extramultidimensionnelles (au-delà du 4 – D spatial) --> puisque ce n’est que chimie, alors plus rien ne vaut rien : le monde n’est qu’un néant de néants dit à nouveau le ressentiment. Sans artefacts machinaux rendu visibles pour les analphabètes – fût-ce moi-même, je n’aurais pas compris la conclusion de Schopenhauer, à savoir que le monde n’est qu’un néant, mais avec l’évidence de la loi numérique, l’évidence est facile…

    Sur cette catéchèse, je vous bénis aux non-dupes errent, Du Fis, dû sain’t’est-ce prix, awomen-toi Sainte-Marie-*****-Dieu, astalavista…

  4. #24
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    Deux petites remarques en passant sur le sujet original du post : d'une part, Malraux n'a jamais affirmer que le 21ème siècle serait quoi que ce soit ( toute personne prétendant le contraire est invitée à produire la source) et d'autre part, il paraît prétentieux de juger d'un siècle à priori... Attendons donc sa fin

  5. #25
    dugogh Guest

    Par défaut

    Oooh prophéte de la chaîne des simulations d'un image d'un monde infiniment compliqué mais assez con pour se lancer dans le désespoir de la cause dans une simullation suicidaire (La connerie de ce monde est obligat0ire suite d'une spéculation gratuite mais amusante; si l'homme n'a aucune chance face aux machines dont il aurait besoin pour lancer la simulation parfaite d'un molusque dans un verre d'eau composée au moins des molécules, composées d'un atom d'oxygéne et deux hydrogéne chacune et animées en 3D par le démon de Maxvell, au moment de la Grande simulation il ne sera qu'un souvenir numérique, doué en hommage de notre médocrité vertigineuse d'une capacité de se déveloper jusqu'à la maturité et une nouvelle simili-reproduction dans la chaîne de la dégénerescence, et si nous ne sommes qu'un image en perdition d'un monde-matrice, la connerie de ces étres infiniment complexes ou un atom est composé de nombre de particules plus grand que notre univers, ces étres sublimes de ce mondepour nous inimaginable doivent étre aussi infiniment plus cons que nous pour lancer une telle entreprise.),

    Qu'une technologie nèe de la copullation de Natel avec Barbara enseinte de Socrate mortel est le berceau de cette IA qui va nous manger, c' est une autre idée amusante.

    Mais quel apport pratique, à part que l'idée d'une bijonction de chacune de mes particules avec la Grande Matrice infiniment plus fragmentée que mon HD virtuel qui mélange tout dans le tout sur le Bus Surcosmique ergo la frontière entre mon crâne et le cul d'un macaque dans le 6TM est incertaine? Dois je don't-think-shoot parce-que la PUB est la voix de 2-machine? Vu que je suis né par hasard, est l'erreur 404 de la famille? En attendant les chérubins numériques aux ailles d'airan qui vont m'apporter les revélations merveilleuses de ma fusion iminente avec le fi***** hipopotame.sim dont les molaires me servent de clavier,
    je te salue.
    ID
    Dernière modification par dugogh 02/07/2005 à 21h55 Motif: fôtes

  6. #26
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    Suis-je le seul que les figures de style à répétition et la lourdeur des propos indigestionne? La philosophie, ce n'est pas faire de mauvais jeux de mots ni même écrire un long texte sans queue ni tête où la lourdeur du style se dispute aux mots choisis aléatoirement...J'en veux pour preuve la phrase suivante de Xénastre " cela semblerait une aberration constitutionnellement inepte, d’où le choix éthique de l’univers fini." Que vient donc faire le droit et la constitution dans cette déclaration?

    Bref, un peu de modestie dans le traitement ne ferait pas de mal à la compréhension des lecteurs et à l'honnêteté intellectuelle : le but d'un texte philosophique n'est-il pas d'expliciter plutôt que de se gaver de rhétorique?

  7. #27
    dugogh Guest

    Par défaut Xénastre un générateur du texte?

    " cela semblerait une aberration constitutionnellement inepte, d’où le choix éthique de l’univers fini." Que vient donc faire le droit et la constitution dans cette déclaration?
    M'ouais, c'est vrai.
    Est-il le Xénastre un
    générateur automatique d'essais philosophiques?
    "Critique de la consubstantialité
    Pour une consubstantialité substantialiste.
    La problématique de la consubstantialité n'est-elle pas analogue à celle de la consubstantialité?
    Nous savons auteur que Descartes particularise la conception subsémiotique de la consubstantialité...."
    Dernière modification par dugogh 02/07/2005 à 21h00 Motif: exemple

  8. #28
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    Par défaut Les "cancres las" font la l’oie

    Rappel : un cerveau en tant que « sert-vaut » indexe l’inaptitude à la liberté entre servir et valoir n’est qu’asservissement, et c’est quoi finalement mathématiquement qu’un « sert-vaut » : un câblage aliéné, une restriction géométrique dénombrable et finie, un artefact éventuel, un système asservi, un ganglion machinal, un PC ou Process Control de Parti Communiste triadique, un appareil de radio-télévision sur automate pneumatique qui fonctionne, un centre analytique produisant du c_a_c_a nerveux, et cætera… C’est moins que rien et rien n’est mieux que rien. J’aurais laid le contester, tout sur Internet n’est que vain soliloque…

    N’avez-vous pas compris que les scribogorrhées cartésiennes, kantiennes, nietzschéennes, hégéliennes, sartriennes… n’étaient que le fruit d’automates (puisque le « sert-vaut » n’est qu’un ganglion machinal à compiler des nombres à base 26 des lettres de l’alphabet) : vous introduisez une formule mathématique dérisoirement concise (et tenant en quelques octets) dans la machine à penser, pour que celle-ci vous crache des millions de pages philosophiques, (c_o_n_n_o-zoo-phiques en fait). Bon, voilà une occasion d’arrêter le soliloque là : oki je sors --> reset / exit / erase / back_space, point barre !

  9. #29
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    Par défaut la carotte ou le bâton

    j'avoue humblement que je suis trop humain pour suivre l'IA décrite précedemment. Les concepts volent trop haut; désolé je décroche un petit sourire.

    Mon dieu, le bus s'affolle et le conducteur est débarqué, le véhicule nihiliste déchire le film de la réalité mais heuresement l'humour de Tex avery permet de sortir du film, de vider sa vessie, de boire un peu de vin, de manger un peu de pain. Retour sur le bon chemin, bien guidé par la belle roue dentée, le celluloide se remet en route et l'endormi virtuel se reveille.

    Heureusement, le fou rire aux eclats physique nous contraint à l'entracte et nous empèche de prendre les vessies pour des lanternes. Mais il faut être plusieurs dans le même doute virtuel pour compatir avec la douleur d'autrui.

    La quantité limité de particules élémentaires est peut être liée au système de comptage; de même la notion de particule élémentaire est-elle parfaitement assurée, docteur Watson?
    Il convient de se poser la question de savoir si cette IA ne serait pas elle aussi virtuelle et ceci jusqu'à la limite de l'infini.

    L'IA pose quelques problèmes de réalisation semble-t-il. En effet il semblerait qu'il faille d'abord définir l'intellligence. Oh combien hardu

    http://tecfa.unige.ch/tecfa/publicat...www/phd_92.php

    ai je tout compris ou suis-je trop limité par mes capacités neuronales?

    cordialement
    Dernière modification par francois2 02/07/2005 à 22h35

  10. #30
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    April 2005
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    Pariiiis
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    Par défaut

    C'est quand même amusant: quand on parle d'IA on oublie un détail qui pourtant est lourd de conséquence. C'est le A.
    Car tout cela n'a de sens que pour l'homme... Tout part de lui, et tout lui revient.

    Un programme aussi complexe soit-il, ne peut s'élever au-dessus de son propre calcul pour se donner un sens. Pour la simple raison que le programme est programmé (de plus ou moins loin) par l'homme.

    Pour donner la vie à une machine, il suffit au préalable de concevoir la vie comme une machine...

    Scop

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