On disserte parfois beaucoup su run sujet, dieu, la mort, la morale etc.... Mais j'ai parfois l'impression que cela, au lieu de nous avancer, ne fais que nous empêtrer dans des considérations nobles, élevées, sophistiquées, mais parfaitement inexistantes (bien que nous soyons convaincus du contraire), donc par là même sans valeur.

Un exemple simple: "Le bien triomphe du mal".

Outre l'aspect naïf de cette affiramtion, analysons là en profondeur.

Le bien, qu'est-ce donc? Une question à laquelle on a pas fini de se prendre la tête.

Triompher? Pourquoi? Ils sont en compétition pour un prix? Et puis pourquoi le bien et pas le mal triompherait?

Le mal, même chose que pour le bien.

Ce qui n'empêchera pas des tas de gens d'avancer des tas d'arguments hautements sophistiqués pour démontrer la valeur d'une idée qui à la base n'existe même pas.

Autrement dit, ne faudrait-il pas parfois laisser tobmer les idées hautement intelelctuelles pour en revenir à des réalités concrète quoi que peu séduisante?

Par exemple, certains vanteront les bienfaits de la vie des champs et vous présenterons l'agriculture et la culture comme des bienfaits extraordinaires pour l'épanouissement personnel et spirituel (Corps saint et simplicité des choses).

D'autres diront simplement: "C'est crevant de labourer des champs, et c'est emmerdants comme la pluie".

C'est nettement moins reluisant comme déclaration, mais généralement c'est on ne peut plus véridique. Faut il privilégier la première hypothèse qui se veut utopiste mais bienveillante, ou au contraire adhérer à une opinion matérialiste mais dont l'aspect concret donne toute sa valeur?