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Discussion: Vivre... mais pourquoi ?

  1. #31
    Date d'inscription
    October 2004
    Messages
    99

    Par défaut charité bien ordonnée ...

    Et si je vous demandais à chacun d'entre vous quel est le moteur de votre vie là à l'instant? Que répondriez-vous?

    bonne question ! quelle est ta réponse au fait ?

  2. #32
    dugogh Guest

    Par défaut

    Je répondrais que chaque fois quand j'ouvre une page sur ce forum, je vois d'abord une petite fenêtre toute noire qui s'allume pour me montrer les fesses d'une sorte de jesus qui fait le grand saut dans le grand bleu, pis tout disparrait.
    Suite de cette message subliminale, je veux en finir avec les fenêtres noires et bleues, finir avec la décervellage. Dois j'aller en vacances ou de me suicider?
    Quelle question.
    RHAAAAA, passez moi le bâton à taper les opodos!
    Dernière modification par dugogh 20/06/2005 à 02h20

  3. #33
    Gy Reymondon Guest

    Par défaut

    Tokaido, là à l'instant présent c'est de ne pas écorcher ton pseudo.
    Profiter du presque silence de la nuit pour répondre aux mails, écrire, respirer la fraîcheur aprés la chaude journée.
    Quand j'irai rejoindre Morphée, rêver, redire pour la énième fois un conte.
    Penser à ceux que j'aime, paradoxalement à ceux que je ne connais pas encore, et qui croiseront mon chemin, un moment de ma vie, ou partageront un long chemin avec moi.
    Goûter à la vie, admirer la beauté d'un paysage, regarder la Loire couler, tout près de la maison.
    Donner de l'amour, de la tendresse, un sourire, essayer d'accueillir la même chose des autres.
    Mener à bien trois projets qui me tiennent à coeur.
    Voilà ce n'est pas un, mais des moteurs.

    Quant à Dugogh, c'est vrai que ce fichu rectangle, il donne l'impression de ne donner que du virtuel. Mais parfois un fantôme du virtuel devient réalité, et permet de passer un W.E. de bonheur, dans l'amitié. Sur cette fichue toile se tissent de vraies amitiés.
    Et puis les vacances,ça fait du bien. As-tu des projets?

  4. #34
    ouagadougou Guest

    Par défaut

    Bonjour,
    je suis pas trop philosophe, etc..
    je n'ai pas eu le temps de lire les autres posts mais je dirais que ce qui nous motive à vivre, c'est le désir de. quand on désire qqchose on va vers l'avant..
    La volonté d'être meilleur, de se "fortifier", "s'accroître".Car l'humain seul le peut.( développer ses facultés spirituelles entre autres).
    Bon, je vais continuer à y réfléchir.
    Dernière modification par ouagadougou 20/06/2005 à 11h55

  5. #35
    Date d'inscription
    July 2005
    Messages
    128

    Par défaut

    vivre correspond tout simplement ***224; tuer le temps en attendant sagement l' heure de mourir.

    Lorsque chaque ***234;tre humain r***233;alise le bilan de sa vie avant de pousser son dernier souffle , il prend conscience qu' il n' a rien r***233;alis***233; d' utile ni d' int***233;ressant au cours de sa vie.
    Dernière modification par cherry moon 16/02/2006 à 22h00

  6. #36
    Adrien..vh Guest

    Par défaut

    Je distinguerais quand même 2 questions :
    - Pourquoi la vie ?
    - Pourquoi je vis ?

    A la première je n'ai pas de réponse, et il y en a peut-être pas ...

    Les réponses à la seconde question sont multiples, mais je répondrais :
    - Je vis parceque j'y trouve du plaisir que je ne suis pas sûr de trouver ailleurs
    - Je vis parceque c'est une expérience amusante, même s'il y a des désagréments
    - Je vis parceque je sais que malgré tout il est quelques personnes à qui ca ferait mal que je ne vive plus
    Dernière modification par Adrien..vh 08/07/2005 à 12h17 Motif: dur dur l'ortaugraffe

  7. #37
    Lesaigneur Guest

    Par défaut

    Bonjour, à tous cela fait longtemps que je n'étais pas venu vous rendre visite et j'ai vécu un trés bon moment à lire les pensées volontairement déposées en ce lieu immatériel et pourtant riche à mes yeux. cela fait plaisir de revoir "des tetes connues" et toujours assidues.

    Une longue absence car je prends le temps de vivre sans me demander pourquoi dans l'absolu, en cette période de ma vie je vis pour la réalisation d'un film tout modeste et amateur mais qui a pourtant à mes yeux autant de valeur que les rires les idées les sacrifices, l'apprentissage qui accompagne sa création, tant au point de vue "artistique" si on peut dire qu'au point de vue de la communication qui est le vecteur de sa réalisation concrete.

    Un immense plaisir que de pouvoir mettre son imagination sous un format comprehensible et visible de quiquonque.
    Le tout avec la philo comme outils de l'action durant la journée et la philo comme fondement et l'action comme outils de celle ci durant la soirée.

    pourquoi vivre? je sais pas
    pourquoi ne pas mourir ? sa j'ai plein d'idées qui pourront sembler artificielles à certains mais qui me font avoir le sourire la plupart des matins

    bonne soirée à tous j'ai malheureusement peu de temps ...

  8. #38
    Date d'inscription
    July 2005
    Messages
    128

    Par défaut

    Citation Posté par Adrien..vh
    Je distinguerais quand même 2 questions :
    - Pourquoi la vie ?
    - Pourquoi je vis ?

    A la première je n'ai pas de réponse, et il y en a peut-être pas ...

    Les réponses à la seconde question sont multiples, mais je répondrais :
    - Je vis parceque j'y trouve du plaisir que je ne suis pas sûr de trouver ailleurs
    - Je vis parceque c'est une expérience amusante, même s'il y a des désagréments
    - Je vis parceque je sais que malgré tout il est quelques personnes à qui ca ferait mal que je ne vive plus
    Je ne distingue pas deux questions adrien : pourquoi la vie?Il n' y a pas de réponse.
    Pourquoi je vis?Il n' y a pas de réponse non plus puisque nous ne sommes que des produits de la vie.

  9. #39
    vincent22 Guest

    Par défaut C'est pour nous mêmes que nous vivons

    Nous marchons sur une terre qui ne parle pas. Nous avançons sans savoir où nous allons nous arrêter. Le ciel même ne témoigne que d'une indifférence déconcertante. A nous de savoir courir et de savoir nous arrêter. Alors que tout est mis en œuvre pour nous décourager, alors que tout concoure à nous ranger dans le silence, il y en a parmi nous pour se honnir,à poser des actes que le temps a arraché même aux animaux. Je pense qu'ils n'ont pas leur place parmi nous et qu'il nous faut les renvoyer très loin. Nous sommes Maîtres de notre destin et même le ciel ne pourrait nous contester cela sinon que confirmer l'idée selon laquelle Dieu n'existerait pas. Agissons en maîtres et sortons de cet enclos abrutissant dans lequel l'insouciance nous a enfermé.







    YEDENOU VINCENT

    02 BP 816, Porto-novo ( Bénin)Tél/fax: (229) 22-38-94 Email: zinckmatokoo@yahoo.fr











    MAITRES DE NOTRE DESTIN



    Quand les hommes comprendront qu’ils ne doivent pas souffrir d’avoir échoué ?

    Quand prendront-ils à deux mains leur courage pour affronter la vie qui ne tient qu’à les décourager ?

    Quand s’engageront-ils définitivement sans penser qu’ils ont à plusieurs reprises déjà échoué ?

    Quand souriront-ils sans penser au nombre indéterminable de larmes que le soleil leur a séché ?



    Je ne sais pas.

    Car ils ont en tête combien de fois dans leur vie, ils ont dit Ah !

    Ah ! Pour quelque chose qu’ils ne retrouveront plus jamais,

    Ah ! Pour ceux qui demain ne leur souriront plus jamais,



    Ah ! Pour ce qui leur a manqué,

    Ah ! Parce qu’ils ont peur de trépasser,

    Ah ! Parce qu’ils ne cessent d’échouer

    Et Ah ! Car ils vont désormais tout regretter.



    Il ne s’agit pas pour nous

    De vivre comme si nous ne recevions pas des c.

    Ce serait vivre comme des fous

    Et cette vie ne nous convient pas du tout.



    Il est clair que la vie nous décourage.

    Elle n’assèche jamais nos yeux.

    Elle nous rend plutôt soucieux

    Et à tout moment elle nous ronge.



    Aussi savons-nous que nous pouvons

    Rien qu’en une minute perdre tout ce que nous gagnons

    A la sueur de notre front.

    Nous savons aussi qu’entre la joie et la détresse, il n’y a rien d’autre qu’un pont.



    Mais cela ne devrait aucunement être pour nous la fin.

    Elle se trouve encore très loin

    Et ne saurait nous empêcher de gagner notre pain.

    Nous avons encore le temps même si elle est pour demain.



    C’est que nous sommes maîtres de notre destin.

    Et pour cela nous n’avons pas besoin d’être nés saints.

    Prenons les reines de notre vie en main

    Et remplissons notre quotidien.



    Bravons échecs et découragements

    Afin que soit définitif notre engagement.

    Nous sortirons vainqueurs avec le temps

    Pour emprunter un chemin différent.



    Sur ce nouveau chemin nous attendent d’autres couleurs.

    Sur ce nouveau chemin nous attend un vrai bonheur.

    Nous sommes maîtres de notre destin

    Mais notre force se trouve sur ce nouveau chemin.









    MON CŒUR, SECHE TES LARMES.



    Sèche tes larmes, mon cœur.

    Bientôt sonnera une nouvelle heure.

    Bientôt tu connaîtras le vrai bonheur.

    Bientôt disparaîtra la peur.

    Bientôt s’envolera la terreur

    Et de la vie tu ne craindras plus la froideur

    Car elle t’offrira de nouvelles fleurs ;

    Des fleurs qui calmeront ta fureur,

    Des fleurs qui calmeront aussi tes pleurs.

    Tu entendras alors malgré la clameur.

    Tu souriras malgré que la vie soit un malheur.

    Et ce sourire écrasera ta stupeur.





    Mon cœur, lorsque sonne la cloche,

    Je voudrais que tu tiennes ma marche

    Afin que, de grandir, je ne manque la coche.

    Je voudrais que tu sois de ma vie, la torche

    Qui me conduit vers les lieux où le savoir jonche.

    Sois donc de ma vie le manche.

    Et à tout moment, je voudrais que tu me soutiennes comme une arche.

    Pour mon esprit, sois donc la roche

    Pour que vers mon avenir qui s’approche

    Mais que le temps me cache,

    Je ne m’avance comme un lâche,

    Et que de lui je ne me fiche.





    Mais brise tes chaînes.

    Détournes-toi de la haine

    Et devant le mal, freine.

    Détourne ton attention des considérations vaines.

    Que la pureté devienne pour toi une peine

    Pour que coule un sang pur dans mes veines,

    Pour que ma joie soit pérenne

    Et que je ne sois plus à la traîne.

    Ce sera pour moi donc une étrenne

    Et germeront alors en moi de nouvelles graines

    Qui s’enracineront par centaines

    Pour que ma vie soit pleine.





    VAINCRE LA FATALITE



    Pendant combien de jours devrons-nous encore tout supporter ?

    Pendant combien de temps durera encore cette vie de condamné ?

    Pendant combien de jours devrons-nous encore nous courber ?

    Et pendant combien de temps faudra t-il encore supplier ?



    Combien de cris faudra t-il encore lancer pour vivre ?

    Combien est-il encore prévu pour nous de souffrir ?

    Combien notre chemin est-il encore long ?

    Quand sortirons-nous de cette simulation ?



    Notre faiblesse est-elle vraiment si grande que cela ?

    Notre petitesse est-elle vraiment si grande que cela ?

    N’avons-nous vraiment pas le choix ?

    Ne nous reste t-il vraiment rien d’autre que la foi ?



    Il est clair qu’avant d’avoir dit un, deux, trois,

    Nous avons tout perdu à la fois

    Sans pouvoir nous plaindre à qui que ce soit de quoi que ce soit.

    C’est de la nature, une loi.



    Est-ce pour cela qu’il faut regarder cette vie

    Nous priver de toute gloire et nous plonger ensuite dans la nuit ?

    Est-ce pour cela qu’il faut se laisser enchaîner

    Par cette existence qui ne tient qu’à nous décourager ?



    Liberté !

    Frères, il faut la crier.

    Liberté !

    Frères, il faut la revendiquer.



    Nous devons libérer notre raison pour qu’elle aille chercher au fond de l’abîme,

    Là où sommeillait depuis l’origine la force de notre âme,

    Une lumière pour que le ciel s’éclaircisse,

    Une lumière pour que plus jamais le ciel ne s’assombrisse.



    Ce n’est que grâce à la force de notre âme

    Que nous pouvons espérer vaincre notre adversaire.

    Ce dernier ne mérite que la lame

    Car pour mieux nous atteindre, elle cherche à nous plaire.









    Plus qu’un adversaire,

    Nous avons un ennemi à abattre.

    Et au lieu de nous taire,

    Nous ferions mieux de combattre.



    Notre ennemi c’est la fatalité.

    On dit qu’on a prévu d’avance notre journée

    Et que nous nous soyons levés très tôt ou très tard,

    Nous serions toujours à l’heure pour le départ.



    Et bien c’est une fausseté.

    Désobéissons à la fatalité.

    Combattons tous pour la liberté

    Car l’heure de l’émancipation a sonné.



    Saisissons-nous de nos armes

    Et allumons de la liberté la flamme.

    Qu’au ciel brille une autre lumière

    Pour que demain nous en soyons fières.



    Marchons tout confiant vers la victoire.

    Au bout du chemin nous attend la gloire.

    Et puisque sur ce chemin nous serions maîtres de nos actes,

    Lions un pacte avec la raison.



    A l’horizon pleure un meilleur lendemain

    Qui lui, nous supplie de balayer du revers de la main

    Cet ennemi qui nous prive de notre pain

    Et qui charge notre quotidien.



    Jusque là, nous n’avons pas su vivre.

    Pour donc mieux vivre,

    Il nous faut briller mieux que le soleil.

    Il nous faut chercher à conquérir d’autres merveilles.



    Soyons confiants et avançons sans jamais tressaillir.

    La victoire ouvrira à toute la terre les portes d’un nouveau monde.

    Et c’et sur ce merveilleux monde que dès l’origine, la fatalité s’est dressée

    Pour nous empêcher de contempler une beauté que personne ne sonde.



    Devant nous se dresse la liberté.

    Faisons preuve de courage et de volonté.

    Nous devons tout tenter

    Pour que demain, nous soyons émancipés.





    GRAND VENT



    Jamais cette tornade n’éteindra la lumière qui brille en moi.

    Tout croule à la fois,

    Plus rien ne reste sans s’échoir

    Parce que tout est noir.



    Et chaque fois que je me lève pour contempler,

    Je n’ai que le temps d’être découragé.

    Je cherche sans cesse l’occasion de ne plus être offensé,

    Je cherche à mourir l’occasion d’être consolé



    Parce que je m’imagine un monde meilleur,

    Un monde sans froideur,

    Sans rougeur et sans chaleur,

    Un monde de fraîcheur,



    Un monde heureux,

    Un monde moins peureux,

    Un monde moins dangereux

    Pour des hommes plus heureux.



    Je sais que ce n’est pas une erreur

    Que de rêver d’un monde plein de douceur.

    C’est en moi, la lumière qui brille,

    C’est de mon être, le pari.



    Grand vent !

    Je te le dis vivement,

    Ce que j’ai à l’esprit tout le temps,

    C’est allumer la flamme d’un monde moins chancelant,



    C’est briser la frontière de nos sentiments

    Pour que nous soyons tous comme des enfants.

    Un monde sans peine et sans haine,

    Grand vent ! Vers lui, rien ne me freine.















    LE REVE D’UN ENFANT



    Si tous les hommes de la terre

    Pouvaient chercher à se plaire,

    Ils rendraient plus beau l’univers

    Et sortiraient tous de l’enfer.



    Si tous les hommes de la terre

    Pouvaient s’appeler FRERES,

    Ils mettraient fin à toutes les guerres

    Et sortiraient à jamais des fers.



    Si tous les hommes de la terre

    Pouvaient désormais ne plus se taire

    Devant la misère,

    Elle disparaîtra alors comme un éclair.



    Si tous les hommes du monde

    Pouvaient se donner la main,

    Nous mangerions à notre faim

    Ensembles dans une immense ronde.



    Si tous les hommes du monde

    Pouvaient chercher à se ressembler,

    Ils vivraient plus qu’en amitié

    Dans une société que rien ne sonde.



    Si tous les hommes de la terre

    Pouvaient se tendre la main,

    Nous aurions de très beaux quotidiens

    Parce que ensemble, nous partagerions notre pain.



    N’est-il pas beau, le rêve de l’enfant ?

    Si tout le monde pouvait traduire ses sentiments,

    Nous vivrions dans une société sans haine,

    Une société où jamais les fleurs ne se fanent.







    LA TERRE PROMISE



    La terre promise,

    C’est cela notre but.

    Ecrasons donc nos malaises,

    Ne traînons plus.



    Marchons sur ces épines

    Qui font plus mal qu’une échine.

    Ce sera pour nous plus qu’une étrenne

    Que d’atteindre cette terre où plus rien ne gêne.



    Faisons de ce monde un paradis

    En sortant tous de nos maisons et en allant au carrefour

    Pour construire ensemble une tour

    Où nous vivrons tous en frères et non en amis.



    Ce sera pour nous la terre promise.

    Une terre où jonchent les roses,

    Une terre où tout est beau,

    Une terre où nous serions tous égaux.



    Sur cette terre, nous serons à bout de nos peines.

    Et vers cette terre, un seul chemin nous mène :

    Celui de l’unité,

    Rien d’autre que l’unité.





    UNE VIE SANS GUERRES



    Chaque matin quand je me lève,

    Je vois dans le ciel un très beau soleil,

    Un soleil lourd de merveilles,

    Et qui s’élève.



    Je me dis du fond de moi-même

    Que si tous ces guerriers pouvaient laisser leurs armes,

    Si tous pouvaient se tenir par la main

    Et s’entendre de très loin,



    Ce serait pour tous, le début d’une ère nouvelle,

    Ce serait pour tous, l’heure d’une aube nouvelle,

    Ce serait pour tous, l’instant d’un hymne nouvel

    Que nous chanterons ensemble dans cette vie nouvelle.



    Il nous a tous transformé en guerriers,

    Ce champ qui manque de merveilles

    Et qui se révèle difficilement être un cercueil

    Qui avale le monde tout entier.



    Mais si dans nos veines pouvait couler un même sang,

    Si nos désirs pouvaient correspondre au rêve qui tout le temps

    Comme une obsession, anime le cœur d’un enfant,

    Si sur ce champ nous pourrions nous écouter juste un tout petit instant,



    Ce serait vraiment merveilleux.

    Et nous reviendrons tous heureux,

    Pour repartir moins peureux

    Désormais non plus à la guerre, mais aux cieux.



    Le monde sera alors sans frontières,

    Et nous vivrons donc dans une société sans barrières,

    Dans une vie sans guerres,

    Une vie sans guerres.

  10. #40
    dugogh Guest

    Par défaut

    Voilà une réponse radicale à cet Adorno.

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