Sagesse de Condillac, folie des contemporains?
Douleur= on accorde un corps vivant à l'animal, ce qui n'est pas rien, si on considère l'animal machine de Descartes ou le chien de Malebranche qui n'a pas, selon, son mâître,de douleur lorsqu'il est battu mais simplement une poulie mal huilée.....
Avec souffrance le moral apparaît comme une caractéristique essentielle= la subjectivité, la temporalisation avec le souci, la peur, l'angoisse, le remords, le regret, la responsabilité....On a ouvert la boite de Pandore et on frise le ridicule....
Qu'est-ce que le corps vivant implique?
Si on parle de souffrance de l'animal c'est par analogie, le plus mauvais des raisonnements..? Est-ce une ébauche de souffrance?
Pourquoi cet acharnement des contemporains sinon par ressentiment, haine de l'homme,= le culpabiliser?
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir