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Discussion: Quelle sexualité pour l'avenir?

  1. #11
    Angélique Guest

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    Bonjour Iaelle,

    Je crois qu'il existe une double facette à la sexualité. Une face qui concerne le plaisir de l'individu et une seconde face qui est sociale.

    Vous dites que nous avons toujours connu la sexualité érotique. C'est tout à fait vrai. Mais pas avec les possibilités qui sont à notre disposition désormais, en occident avec la pilule et l'avortement et même le préservatif.

    Ces moyens de libération font notre bonheur, mais ils vont inéluctablement donner la mort à notre collectivité, donc à notre culture et peut-être à notre civilisation tout-entière. Et, en ce sens, les Eglises, avec tout leur conservatisme voient une face que nous refusons d'examiner.

    Nous sommes confrontés à un choc de civilisations. L'Occident contre l'Islam. Je ne fais pas, bien-sûr, de la morale, ici, sur ce forum. Je ne fais qu'observer froidement les faits comme celui qui observe les moeurs des ruches d'abeilles. Et, je laisse totalement de côté l'aspect individuel du plaisir sexuel. C'est un lieu commun que de dire que la société occidentale est une ruche qui vieillit de façon accélérée et suicidaire.

    Nos enfants auront à pourvoir à des vieux en état de longue survie jusqu'à des âges et en quantité jusqu'alors inconnus. Seulement sous cet angle, nous allons vers l'abîme. Mais, en plus, l'occident n'a plus réellement de religions pour corseter les moeurs par la morale. Par contre l'Islam est une religion qui corsette parfaitement ses adhérents. Les moyens de contraceptions n'y sont pas préconisés, bien au contraire. Aussi, nous aurons un occident doublement condamné : à la vieillesse et à la dénatalité, l'une interférant, bien-sûr, sur l'autre.

    Ainsi, la jouissance de l'individu est cause de la décrépiture obligée de sa société. Non pas, évidemment, pour des causes directes de moralité et de morale, mais pour des causes mathématiques.
    Comme, en plus, l'Islam est une religion de combat et de conversion par la conviction, l'exemple et même le fouet et l'épée, nous sommes acculés sur tous les points stratégiques. D'autant que l'Islam rejette, par ses principes d'austèrité saine, les soi-disant "progrès" de notre culture, pour ses adhérents.

    Comme, en plus, l'apostat et le blasphèmateur sont très sévèrement sanctionnés par l'Islam, cette culture est en position de force pour nous bousculer sur tous les points, et à tous les niveaux.

    C'est d'ailleurs ainsi que les Romains ont conquis les Grecs aux moeurs relachées. Puis les Barbares ont anéanti l'empire romain débauché.
    Alea jacta est. Les dés sont jetés et.. plombés.
    Dernière modification par Angélique 09/03/2005 à 10h42

  2. #12
    iaume1211 Guest

    Unhappy Erreur historique

    Le principe qui sert de base, comme norme, à la réfléxion est hélas faux. La sexualité au Moyen-Âge était bien plus licencieuse que celle d'aujourd'hui (inceste, adultère entre autres). Deux exemples suffiront pour montrer que la présence d'un ordre monacal au fort pouvoir religieux ne se constituait pas comme gardien de la vertu et de l'ascèse : le nombre très élevé de mariages homosexuels célébrés par l'Église catholique (et si !) pendant le Moyen-Âge et le nombre d'enfants signalés dans des registre officieux de pères religieux (la plupart font voeu de célibat, pas de chasteté...)

  3. #13
    Angélique Guest

    Par défaut

    Bonjour Iaume,

    Il semble certain que la sexualité au moyen-âge existait, avec son cortège de fantasmes. Mais rares étaient les teneurs de chandelles. Et, si quelques souterrains, documents, narrations montées en épingle ont pu permettre d'affirmer qu'une certaine sexualité "licencieuse" existait dans certains monastères, et dans les classes privilègiées, il semble très improbable que la majorité de la paysannerie accablée au travail des champs, au défrichage, à la fabrication des nourritures, tissage, couture, saboterie, l'entretien des habitats, les soins aux nombreux enfants souffreteux..etc avait beaucoup de temps à consacrer à la bagatelle. Sans compter que les loisirs étaient meublés par les nombreux offices religieux de toutes sortes. La majorité de la population trimait comme du bêtail de somme, du lever du soleil à tard dans la soirée auprès de la cheminée à filer et rapetasser.
    Si les actes sexuels étaient vraisemblablement aussi nombreux qu'aujourd'hui, il est probable que les loisirs sexuels devaient être, eux, très limités dans le temps.

    D'ailleurs, je pense que Zéross n'utilise le moyen-âge qu'en entrée en matière de la réflexion à laquelle il nous invite.
    Le thème en étant plutôt, j'ai l'impression, la sexualité dans l'avenir.

    Cordialement.

  4. #14
    smigniot Guest

    Par défaut Acte sexuel d'amour ou Sexe ?

    > Au moyen age, les pratiques sexuelles, étaient simple:
    > [...] Tout cela en moins de 40 ans.
    Aaarg.

    D'accord avec iaume1211 :
    A mon avis, les manants et seigneurs avaient déja des fantasmes, au moins autant que nous et étaient certainement plus prompts à les réaliser que nous : on vie dans une société de perte d'intimité (caméras, reality TV, etc.).
    Au contraire, ils devaient déja pratiquer toute sorte de débauche (nourriture, acte en groupe, passons).

    A quel époque a été écrit le kamasutra déja ?

    > Et.... demain?
    > 1°) On met au point l'espèce de casque virtuel
    > 2°) On revient avec un systême type moyen ageux.
    > 3°) Le sexe se banalise de plus en plus
    > 4°) Le sexe devient quelquechose qui relève de l'intimité la plus absolue.
    > 5°) La sexualité à fait son temps
    Aaarg. Aaarg. Aaarg. (ad libidum )

    La société du 21eme semble bien partie pour l'option [3], avec un bémol : la sexualité (acrobaties, comptez les bras et les pieds et divisez) semble se banaliser de + en +, ce qui ne diminue pas la singulière intimité d'un vrai rapport "amoureux".
    L'acte amoureux se compose de bien plus que du sexe. Nous faisons tous la distinction entre "baiser" avec un(e) partenaire et "faire l'amour" avec quelqu'un qu'on veut ... toucher, sentir, partager, emporter. Bref briser notre solitude (?)
    Un seul exemple : les acteurs de films licensieux se considèrent comme des body builders. Ils vendent leur prestation d'exposition musculaire et vascularisée. C'est pas de l'amour, c'est une forme de gym.

    Intimité :
    Mes prévisions : de + en + d'actes sexuels banalisés, autant que possible tant que ca ne génerera pas de violence/tension sociale parce que c'est générateur de fric, et ...
    Toujours autant d'émotion fébrile, par essence non banale quand on tient a la (au) partenaire.


    @+

    PS: S'il n'en reste qu'un qui voie une différence, je serais celui-la

  5. #15
    Maréchal 85 Guest

    Par défaut

    On peut prendre l'exemple de la société romaine, qui fut sans doute la société civilisée la plus " libertine" ( mot à relativiser, replaçons nous dans le contexte de l'époque).On pourrait penser, et ce à juste titre, que la chute de l'empire romain est en partie ( et en grande partie) due aux moeurs de cette société!
    Plus ils avançaient dans le temps, plus ils devenaient avides de plaisirs, ne voyaient que par les loisirs, les orgies....Nous ne sommes pas arriver à ce point, mais on peut imaginer que cela soit possible, car personnellement l'évolution de ce monde en matière de sexualité me fait peur! En comparant les romains, aux gens du moyen-age, on peut constater comme un retour en arrière au niveau des moeurs, du en particulier à la religion, qui fit de la sexualité quelque chose de tabou ( par crainte de reproduire le système romain ?).L'Homme en règle générale n'effectue de toute façon que des retours en arrière.On fait une expérience en plaçant quelques puces dans un mini bocal!on les laisse sauter à leur guise, puis au bout d'un petit moment on place un couvercle en verre au dessu, pour fermer le bocal ( les puces sans efforts sautent facilement au dessus du haut du bocal).les puces continuent de sauter un petit moment et se cognentsur le couvercle, puis elles adaptent leur saut à la nouvelle hauteur.Lorsque plus tard on retire le couvercle, les puces continuent de sauter comme elles le faisaient en présence du couvercle, ne prenant plus le risque de sauter plus haut et de se cogner. Il faut donc attendre , et atendre encore, mais les hommes se reposent toujours sur les acquis de leurs aïeux, même si l'on connait un changement social inévitable, on ne connait pas d'avancée, et l'Histoire n'est qu'un éternel recommencement......

  6. #16
    Maréchal 85 Guest

    Par défaut La Religion

    Je suis tout à fait d'accord avec angélique quant à la religion!En mettant un bémol par rapport à la religion islamique, qui peut tout aussi bien protéger son peuple de la débauche et donc de la destruction de sa civilisation, mais qui peut de même entraîner le monde dans un chaos dont les seules personnalités religieuses et leur dérives seront responsable, à noter que je n'ai absolument rien contre cette religion, mais un petit quelque chose contre les personnes censées représenter Dieu ( Allah ) sur terre, et qui commettent les dérives qu'ont leur connaît ( mais la religion catholique et ses représentants a aussi son lot de dérives, bien que comme toutes dérives de nos jours, elles soient surmédiatiser, ce qui conduit le commun des mortels à généraliser de façon trop hative.Mais les religions quelles qu'elles soient ont une vision des choses que nous rejetons souvent, mais elles explorent pourtant souvent le "bon" côté, si on peut définir un bon côté et un mauvais côté......

  7. #17
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    Citation Posté par _zeross
    Au moyen age, les pratiques sexuelles, étaient simple: un homme, une femme et pas d efantasmes particuliers, point barre.

    Depuis les années soxante, on assiste à un véritable boum des pratiques et des fantasmes, certaines nous venant de l'antiquité (homosexualité), d'autres complètement moderne (fantasme tenue cuir).

    De plus, la science moderne met à notre dispoisition des "outils" pour les dites pratiques, de plus en plus perfectionnés.

    Bref, nous assistons à une refonte complète de la société en matière de pratique amoureuse, tant d'un point de vue pratique, que d'un point d evue morale (avec quelques limites quand même). Tout cela en moins de 40 ans.

    Et.... demain?

    Il y'a plusieurs otions qui se profilent, conditionnées par la science ou par la société:

    1°) On met au point l'espèce de casque virtuel dont on parle depuis 20 ans et qui nous permet de faire artificiellement ce que nous voulons avec des êtres virtuels. C'est pas pour demain mais ça viendra.

    2°) Afin d'éviter les débordement associaux qui deviendraient de plsu en plus flagrant (ce n'est q'une supposition) la loi est réformée et on revient avec un systême type moyen ageux.

    3°) Le sexe se banalise de plus en plus, dans 50 ans, faire "ça" avec un parfait inconnu en pleine rue devant tout le monde ne gène plus personne, ça arrive à tout le monde toutes les semaines, c'est comme fumer une cigarette, c'est d'une banalité totale, même les mineurs de 14 ans le font à la cour de récrée.

    4°) Le sexe devient quelquechose qui relève de l'intimité la plus absolue. Il n'ya pratiquement plus de couple au sens traditionnel du terme, car évidemment on ne va pas exhiber son corps et pratiquer avec autrui, c'est bien trop personnel pour qu'on le aprtage avec quelqu'un. A la place, on a à la maison des "robots d'amour", qui peuvent utiliser toutes les "techniques", changer d'apparence à envie faire le ménage, s'occuper des enfants etc... D'ailleurs pour avoir des enfants, la grossesse étant devenue superflue, on se reproduit dans des cuves génétiques.

    5°) La sexualité à fait son temps, plus personne n'a envie d'avoir de rapports tout comme plus personne n'a envie de grimper aux arbres pour cueillir des bananes comme nos lointains ancêtres. A la place la nouvelle "jouissance" est spirituelle. On éprouve bien plus de plaisir à réaliser une ouvre comme une peinture, une sculpture, une découverte scientifique, etc... que d'avoir des contacts charnels. Cet instinct primaire à laisser la place à des aspirations plus élevées. (perso c'est mon option préférée).

    Il y'a des tas d'options, certaines raisonnables d'autres complètement folles. J'aimerai votre avis sur l'évolution de la sexualité humaine dans l'avenir (pas de détail graveleux merci, c'est un débat philosophique ici, je tiens à le rappeler).

    La sexualité est en premier lieu une relation entre deux être humains dans le but de créer la vie. Maintenant il est fort probable que notre éducation ait modifié notre instinct. L'acte sexuel a perdu son caractère sacré, naturel, vital pour devenir une gymnastique comportementale éducationnelle et souvent égoiste. La satisfaction immédiate du plaisir ne gache-t-il pas une partie du plaisir. L'acces trop facile au plaisir ne le dénature-il pas. Je crois qu'il existe une accoutumance progressive. Quant aux phantasmes, sont-ils naturels ou liés à l'éducation. Nous baignions dans une telle masse de phatasmes extérieurs qu'il est difficile de savoir d'où ils viennent.

    Mais depuis Freud nous sommes tous devenus des bêtes de sexe. Peut être n'a-t-il fait que revelé ce qui est naturel. Bizarrement lorsque je contemple le roi des animaux, ce n'est à l'évidence qu'une bête de fainéantise.
    Dernière modification par francois2 12/03/2005 à 10h54

  8. #18
    Helloween Guest

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    La sexualité est en premier lieu une relation entre deux être humains dans le but de créer la vie.
    Je pense que c'est l'ensemble des principes physiques, psychiques et accessoirement "moraux", au sein desquels l'être humain se débat depuis que son cerveau lui a donné accès à l'abstrait.

    Maintenant il est fort probable que notre éducation ait modifié notre instinct. L'acte sexuel a perdu son caractère sacré, naturel, vital pour devenir une gymnastique comportementale éducationnelle et souvent égoiste.
    Je pense plutôt que c'est en voulant donner à l'acte destiné à perpétuer l'espèce un caractère sacré que l'humain a été amenéé à introduire dans son concept tout neuf les corollaires incontournables que sont les interdits, les fantasmes et les châtiments divins.

    La satisfaction immédiate du plaisir ne gache-t-il pas une partie du plaisir. L'acces trop facile au plaisir ne le dénature-il pas. Je crois qu'il existe une accoutumance progressive. Quant aux phantasmes, sont-ils naturels ou liés à l'éducation. Nous baignions dans une telle masse de phatasmes extérieurs qu'il est difficile de savoir d'où ils viennent.
    La simple "peur" du châtiment divin ne joue plus autant qu'elle a pu le faire. Si les dieux licencieux des civilisations antiques avaient été inventés de manière à légitimer les comportements libertins de leurs sujets, les religions monothéïstes ont surgi en opposition à ces pratiques.
    Les espaces occupés par la liberté de se faire plaisir ont toujours attiré les foudres des esprits torturés par leur incapacité à s'y reconnaître.
    Et si les notions d'enfer et de damnation éternelle pouvait amener les autorités religieuses à terroriser les esprits (tout en se permettant, à quelque échelon que ce soit, de ne respecter aucun de ces principes...), il semble plus difficile de faire passer la pilule à l'heure actuelle, où l'information permet à vitesse réelle de constater quotidiennement qu'à de très rares exceptions près, aucun conseilleur n'est aussi payeur et que seuls vivent bien ceux qui n'appliquent pas les principes qu'ils prônent...

  9. #19
    Zitune Guest

    Par défaut

    ce qui est amusant de voir dans la conception du sexe chez certain, c'est la notion de but .

    "Le sexe a pour but la conception", c'est evidement vrai, mais en aucun cas on ne peut conciderer que le fait de s'eloigne de cela "denature" l'acte sexuel.

    Soyons realiste, une chatte en recherche d'un mattou, ne se dit pas "aujourd'hui je vais faire perdurer mon espece".

    c'est un genre instinct, mais cela se traduit par une _envie_ ennorme.

    Cela se remarque tres bien chez des animaux aux subtilité sociale plus devellope, les dauphins par exemple ont des relation sexuelles sans regard avec leur periode de fecondité, qand ils en ont envie.

    De plus que dire des animaux, et ils sont nombreux, qui se masturbe.

    Preuve que le sexe comme recherche du plaisir n'est pas propre a l'humain.

    Et il est donc aberant de nier ce plaisir et de le conciderer contre nature.

  10. #20
    Date d'inscription
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    Citation Posté par Helloween
    Je pense que c'est l'ensemble des principes physiques, psychiques et accessoirement "moraux", au sein desquels l'être humain se débat depuis que son cerveau lui a donné accès à l'abstrait.

    Je pense plutôt que c'est en voulant donner à l'acte destiné à perpétuer l'espèce un caractère sacré que l'humain a été amenéé à introduire dans son concept tout neuf les corollaires incontournables que sont les interdits, les fantasmes et les châtiments divins.

    La simple "peur" du châtiment divin ne joue plus autant qu'elle a pu le faire. Si les dieux licencieux des civilisations antiques avaient été inventés de manière à légitimer les comportements libertins de leurs sujets, les religions monothéïstes ont surgi en opposition à ces pratiques.
    Les espaces occupés par la liberté de se faire plaisir ont toujours attiré les foudres des esprits torturés par leur incapacité à s'y reconnaître.
    Et si les notions d'enfer et de damnation éternelle pouvait amener les autorités religieuses à terroriser les esprits (tout en se permettant, à quelque échelon que ce soit, de ne respecter aucun de ces principes...), il semble plus difficile de faire passer la pilule à l'heure actuelle, où l'information permet à vitesse réelle de constater quotidiennement qu'à de très rares exceptions près, aucun conseilleur n'est aussi payeur et que seuls vivent bien ceux qui n'appliquent pas les principes qu'ils prônent...
    helloween

    il ne me semble pas avoir de contradiction franche entre nous. Peut être une différence de vocabulaire.

    Il me semble que l'acte sexuel n'est pas tout à fait identique à une partie de gymnastique agréable. Il est indéniable que cela est fort agréable. Il est indéniable que notre corps réclame cela. Cette envie doit-elle être canalisée ou faut-il la satisfaire dans les plus brefs délais. Pour ma part, il m'arrive d'avoir faim à 10 heures pourtant j'attends l'heure du repas.

    Mais je suis tout à fait conscient qu'il est possible de dissocier l'acte sexuel plaisant de l'acte reproducteur. Mais quoiqu'il en soit l'acte sexuel est une communication entre deux êtres humains; n'est ce pas un partage ou s'agit-il d'un rapport de force? A chacun de décider.

    La peur du chatiment divin correspond pour ma part au remord d'avoir mal agi. Ce remord me suffit amplement, pas la peine d'avoir peur de l'au delà.

    Tout à fait d'accord avec toi sur " le conseilleur n'est pas le payeur ". Il me semble que cette maxime s'applique à tout être humain et pas seulement les religieux mais aussi les athés.
    Dernière modification par francois2 14/03/2005 à 14h58

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