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Discussion: A quoi bon savoir?

  1. #41
    vchine Guest

    Par défaut corinthe

    Corinthe,
    mon pseudo vient du fait que j'ai vécu en Chine pendant ma petite enfance, j'en ai de vagues souvenirs... comme un rêve très flou... mais je ne suis pas chinoise.
    Tu as l'air un peu désabusée... Tant que ça?
    Tu m'as fait une drôle d'impression sur un autre forum, je crois que c'était à propos des grèves... mais je ne veux pas revenir là-dessus. C'est vrai que je m'étais tapé l'incruste au beau milieu d'un débat enflammé!
    Toi aussi, tu me donnes l'impression de qqn de sympa.
    Bonne nuite

  2. #42
    Date d'inscription
    May 2003
    Messages
    388

    Par défaut

    Citation Posté par exos
    ecoute bretling


    j'ai un mal fou a te suivre je te dirais meme mieux il a fallu que je me fasse violence pour te lire et surtout arriver au bout

    j'ai l'impression que nos horloges ne tournent pas dans le meme sens
    et heureusement sinon il n'y aurait pas de debat
    je ne suis pas ton prof c'est un debat
    c'est fait pour ouvrir l'esprit et echanger des ressentis des etats d'ame pour ceux qui ont une recherche
    il n'y a pas une verite mais des verites c'est a toi de chercher on va pas tout t'expliquer

    tiens si un conseil
    celui qui es decu c'est qu'il attendait quelque chose
    alors n'attend rien tu ne seras jamais decu
    car la deception debouche sur l'amertume puis on devient aigri etc.. tu vois on est pas grand chose on peut basculer tres vite d'un cote comme de l'autre

    je sais que tu as une recherche et c'est confus alors on peu essayer en debattant de rendre les choses acceptables mais cela serait bien si tu descendais en falcoon 2 voir 1
    je crois que la menace est passe
    on est pas en guerre
    enfin du moins pas moi
    a+
    Monsieur,

    A quoi bon savoir ? Est une question d'utilité.
    Celle-ci,en principe, ne peut être
    que deux:
    prouver ou convaincre.Celui-ci devrait avoir pour"base" celui-là.
    Et celui-là n'est pas synonyme de celle-ci .... et cette dernière n'est pas la seule fonction d'un bon savoir....Il faut aussi savoir "se" décider....

    Pour "vraiment" philosopher il faut savoir"au moins" ne plus "se" mentir
    stupidement....Ne plus "se" léser inconsciemment....

    Dans ce but il faut en "savoir" toujours "plus" sur le faux....L'inadéquat,le stupide,l'erroné,l'inexact,le confus,les oublis,les mensonges.....

    je me permet,ainsi,de vous faire "remarquer" que seuls les mensonges qui "embellisent"
    sont acceptables....De là a dire que "dire du bien sans fondement" est déjà
    douteux il n'y a qu'un pas.....

    Vous voyez donc la difficulté:il faut du discernement qu'on le veuille ou non....

    Comme déjà dit:c'est le mensonge qui représente l'ennemei principal"des philosophes" comme des non philosophes(qu'ils le veuillent ou non)....

    Car le problème "central" d'un être humain(qu'il le veuille ou non,que cela lui plaise ou non) c'est ça mort....
    Il ne s'agit donc pas comme beaucoup "veullent le croire"(mensongèrement)
    de la mort "physique".....
    Il s'agit,peut-être et très souvent(pour ne pas dire en toute évidence)
    de la souffrance qui peut l'accompager.....Mais aussi de la peur de cette souffrance qui n'est
    pas à sous-estimer....
    A mon avis si la surprise "en plus" entre en ligne de compte alors elle peut avoir un effet psychologique encore plus grave que la peure.....
    Ensuite il ne faut pas oublier la "dramatisation", produit psychologique qui peut
    résulter de l'attente de la mort,elle-même parfois inévitable selon la situation...
    D'autres aspects négatifs peuvent encore intervenir....On regrète le passé....
    on a encore "espéré en un meilleur avenir....On est "attaché" à quelqu'un ou
    à plusieurs....On est "attaché" à un objet ou a un vice(ou plusieurs....)

    Le mensonge qui,à mon avis, est d'origine sociale est donc responsable du fait que nous ne pensons "jamais" exactement à ce complexe de facteurs....
    La philosophie qui,souvent,ment exactement comme toutes les autres discipline,donne,pourtant, la seule possibilité pour ouvrir un tel débat.....
    Non,excusez-moi,il existe une autre qui en parle aussi:la pensée ésotérique....

    L'ésotérisme donc+la philo,voilà les deux ici en jeu....

    A quoi bon savoir? obtient donc déjà une réponse négative si l'on "se" ment....

    Il faut donc "chercher" ce savoir "psychologique" qui devrait permettre au sens
    figuré(mais peut-être aussi concret) le "comment" ne pas "crever comme un chien" mais de mourir "honorablement" si cela doit signifier quelque chose pour quelqu'un.....
    Mais,de toute manière,ce savoir se rapportent à la question:comment l'affaire "personnelle"(ou non) après la mort"est"? .....
    Ceux qui "se" mentent font
    bizarrement
    comme les dépressifs.....Ils disent ne pas savoir,ils disent qu'on ne peut savoir,ils disent qu'il n'est pas possible de savoir.... Ils disent que ceux qui prétendent mentent...(n'est-ce pas étrange?)Ou que l'on ne peut pas prouver....
    Pourquoi donc "prouver"?A qui et pour quoi faire?
    Il faudrait"seulement" une preuve subjective pour soi-même:ce serait suffisant...
    Il est donc question d'un "savoir" se rapportant à ce qui "arrive" à chacun après sa mort.....
    Et comme nous ne pouvons pas venir de null part(avant notre conception comme du point de vue de Lucrèce:de rien ne vient rien) il faut donc que nous allions après notre vie...quelque part.....
    Dans ce but il existe une littérature:
    on a le droit de savoir,de vouloir,de "se faire une idée" ou de laisser tomber une telle recherche....
    Mais mourir il le faudra "quand même" et si,"psychologiquement" on a pas l'affaire"en main" l'expérience prouve que les choses vont,en général,toujours le plus mal possible.....
    Surtout,sans ironie,quand"en la matière" l'affaire est déjà assez mauvaise....

    Il ne faut donc pas,
    OBLIGATOIREMENT,
    "se" faire beaucoup d'illusions pour voir
    la mort "en face".....
    Je vous propose donc la présente "vérité":résoudre le problème"avenir" de sa propre mort d'un point de vue "psychologique"....
    L'on ne peut pas perdre son temps à se sujet.....Preuve qu'il ne s'agit pas là de quelque chose de bidon....
    Rester donc de bonne humeur(ou au moins indifférent) pour réfléchir"constructivement" à ce thème....Rechercher des solutions(pour soi-même ou les autres....)....Trouver,enfin,l'attitude adéquate,personnelle devant permettre de voir venir la mort sans peur de la peur,de la souffrance(possible) ou de la perte de la vie...ou de l'inquiétude par rapport au futur,ensuite....

    A quoi bon savoir? obtient,ainsi,comme vous le voyez,une "profondeur sémantique "étonnante" et peut-être même positive....Car le vrai savoir(comme chacun sait,au fond....) n'est pas ,seulement,ce pouvoir"étonnant"
    qui peut rendre si sûr de soi mais,de surcroît,qui permet même d'espérer
    sans avoir besoin d'illusions ou de.....mensonges.....

    Avec mes salutations distinguées,Brezing-Hamm
    Dernière modification par Brezing-Hamm 29/01/2005 à 02h37

  3. #43
    vchine Guest

    Par défaut Brezing Hamm

    Il y a des gens qui réfléchissent la nuit....
    C'est vrai que je n'étais pas allée jusque là dans mon raisonnement, mais comment faire de la mort le problème central à mon âge? Pour l'instant, c'est la vie qui est mon problème central. Vous me répondrez certainement que l'une ne va pas sans l'autre - bon, je fais les questions et les réponses maintenant, vu que vous ne me répondez jamais.
    Votre point de vue est intéressant quand même. Malheureusement, j'ai déjà rendu ma copie ( au passage, seuls 10/34 élèves l'ont rendue).
    Nous verrons bien la suite...
    A bientôt.

  4. #44
    exos Guest

    Par défaut

    Citation Posté par Corinthe
    Vchine, tu dis : "comme nous avons intuitivement l'idée d'un être parfait, cet être parfait doit exister, sinon nous ne saurions l'imaginer."

    En ce qui me concerne, je n'ai absolument pas "l'idée d'un être parfait".

    Par contre, il m'est possible de m'imaginer dans d'affreuses douleurs, dans d'affreux malheurs, des cauchemars, quoi !

    Mais je ne parviens pas à imaginer le parfait bonheur, et encore moins m'y trouver.

    Bizarre, non ?

    Suis-je normale ?
    je te rassure raisin de corinthe si tu etais normal ca se saurait
    on dirait que tu arrives a echapper au conditionnement humain au moule (robotisation) bravo
    mais en ce qui consiste a epurer tes demons interieurs et tes pensees y a du boulot
    allez un secret amuse toi a surveiller tes pensees
    t'es tu jamais demande d'ou viennent les pensees et les pulsions

  5. #45
    exos Guest

    Par défaut

    Citation Posté par aloui
    Artide, il faut savoir que la vie fait en effet accroître un peu la conscience après l'âge de trente ans, mais considérablement moins que l'on pourrait. Une preuve, la jeunesse voit sa conscience croître très vite, alors qu'après cette croissance baisse très fort. Autre preuve, l'adulte arrête les études alors que le meilleur reste à connaître. Troisième preuve, le mariage (ou l'accouplement) et la famille font baisser l'éveil à la haute conscience considérablement. Quatrième preuve, notre enseignement est basée sur l'engramme et quasiment pas sur la mémoire structurelle. Cinquième preuve, la vie moderne favorise la consommation et les loisirs au détriment de la méditation (qui est l'art de relier tout à tout).

    Aloui
    alloui

    arrete avec tes il faut savoir la preuve que
    que tu es besoin de certitudes est un fait normal que tu te trouves dans un passage ou tu penses que tout ce que tu dis et vrai est aussi envisageable
    mais la tu prends un chemin verifie tes certitudes soit vigilant humble rien n'est jamais acquis

    la conscience n'a rien avoir avec la connaissance
    seul l'experience te donne conscience par la loi de causalite
    (je pose ma main sur le feu ca brule j'ai mal j'ai pri conscience j'ai appris la loi de cause a effet avant je ne savais pas j'etais inconscient maintenant je sais
    c'est plus comme avant je suis responsable et ainsi de suite dans tout les compartiments humains)

    developper les vertus de l'homme (c'est d'abord s'apercevoir qu'autour comme tu le dis rien ne te convient et que tu t'es fais avoir)
    c'est un choix il est la le moment du basculement d'un cote ou de l'autre
    il faut faire un choix ce choix est une prise de conscience en vu de s'ameliorer de devenir meilleurs c'est la signification de l'homme noble

    ensuite c'est le chemin interieur qui mene a la conscience de soi il faut eliminer un a un tous les demons qui t'empechent d'y arriver
    c'est simple
    tu mentais essaye de ne plus jamais mentir a personne (essaye)

    et tu prends une a une toutes les vertus de l'homme en penssant par exemple que tu veus etre pur comme de l'eau de source limpide clair

    si tu veus je te fais la liste ce que je te dis je l'ai fait et ca a dure des annees

    mais le probleme c'est que cela demande des efforts de l'endurance de la volonte un ideal defini des choix une foi
    et la il y des pieges multiples
    ego mental moi inferieur etc...
    alors comme tout le monde se trouve tres bien et trouve la vie si stressant que faire des efforts supplementaire tiens de la folie
    c est pourquoi le monde est comme ca ecoute la petite voix dans ta tete qui te dis il est fou avant d'avoir essaye
    c'est ca le mental il parle il est rusé comme un singe les chinois le compare a un singe qui tourne et retourne en cage
    tu pense bien que l'ego se trouve bien comme il est il a aucune envie de laisser la place a quelqu'un d'autre

    ceux qui y arrive c'est au prix d'une bataille incessante un combat de chaque instant
    l'homme doit se transcender se depasser
    la suffisance est un piege subtil (j'ai reussi je reste au bord de ma piscine)
    malin malin 1/2)

    c'est le chemin interieur tu vas voir tu crois grimper tu tombes tu te trompes de chemin tu reviens en arriere tu tournes en rond t'es fatigue tu baisse les bras tu reparts y a un gouffre puis une montagne etc.....

    il ne faut pas vouloir deja etre arrive avant d'avoir parcouru le chemin

    si tu crois que l'on va t'apprendre la haute conscience tu vas te transformer en statut

  6. #46
    Corinthe Guest

    Par défaut

    "Ah les hormones si elles n'étaient pas là." dit fort justement François.

    Eh oui, Exos !
    " En ce qui consiste a epurer tes demons interieurs, Corinthe, et tes pensees y a du boulot. Allez un secret amuse toi a surveiller tes pensees. T'es tu jamais demandé d'ou viennent les pensees et les pulsions..".

    Je crois que c'est François qui a raison, et non pas toi, Exos.

    L'introspection que tu préconises donne rarement de bons résultats.
    D'ailleurs, Vchine n'a pas bien compris mes écrits.
    Je suis très bien dans ma peau. Mais pas plus attachée que cela à la vie. C'est ainsi. Si je vis, ça va. Si je meurs, bof !

    Je disais à Vchine que je parvenais très bien à imaginer de grandes souffrances difficiles à supporter (Et qui, si elles étaient destinées à se prolonger "éternellement", mieux vaudrait mourir assez vite. Quitte à se suicider.)
    Mais que je ne parvenais pas à imaginer un potentiel aussi fort, de bonheur et de plaisirs.
    Autrement dit, nous avons de grandes capacités de souffrir.
    Mais nous n'avons que faibles aptitudes au bonheur.

    Le bonheur est très vite contrecarré par une "tuile".
    Alors que le malheur est, lui, très rarement "contrecarré" (sic) par un bonheur subit.

    Facile d'être malheureuse. Difficile d'être heureuse.

    Et, il me semble (tic-tac), que c'est pour TOUT LE MONDE, un peu ça .

  7. #47
    Corinthe Guest

    Par défaut

    Quant aux hormones et phérormones..
    Il me semble (tic-tac) que tous les bobards des philosophes et des pycho-machins.. sont des discours assez stériles et inutiles.
    Nous sommes "réglés" (comme les carottes, les serins et les chiens) par nos systèmes glandulaires. Notre "tempérament" détermine notre existence. On pourra lire tous les écrits de BZH, qu'on ne sera pas plus avancés en refermant le "bouquin". Nous sommes presque totalement déterminés. Ce sont nos gènes qui font de nous ce que nous sommes, ainsi que nos pensées. C'est même notre nervosité émotionnelle qui "détermine" notre aptitude (sic) à être contaminés par des maladies psychosomatiques. Ce ne sont pas vraiment les événements qui agissent sur nous, mais notre fragilité.

    Le "terrain" c'est presque tout. Selon le PH de celui-ci, il y pousse du blé ou des landes arides. Rien ne sert de le labourer et le relabourer..
    (Bien que ce soit, parfois, fort agréable..)
    Dernière modification par Corinthe 29/01/2005 à 15h11

  8. #48
    exos Guest

    Par défaut

    Je suis très bien dans ma peau. Mais pas plus attachée que cela à la vie. C'est ainsi. Si je vis, ça va. Si je meurs, bof !

    voila tu as tout dis ce que tout le monde se dit

    je suis tres bien

    de plus tu n'es attachee a rien
    cela veut dire que tu acceptes ton sort

    tu ne fais pas de choix et tu te pleins
    c'est la fatalitas la fatalitas c'est le cote obscur puisque tu acceptes bof tu sais pas trop

    choisi le cote lumineux tu veras comme ta vie va changer
    ah mais pardon

    tu te trouves bien

    il faut savoir ce qu'on veut et ca a mon avis
    c'est le privileges de ceux qui ont beaucoup souffert
    le reste c'est tres bien a condition que les paroles soit misent en application

    faire la moral sans la mettre en application
    c'est comme souffler dans un ballon

  9. #49
    Corinthe Guest

    Par défaut

    Je ne fais la morale à personne.
    Où as-tu lu cela ?

    Je dis qu'il est très facile d'être malheureux.
    Et, très difficile, parallèlement d'être heureux.

    Les deux plateaux de la balance ne sont pas équivalents.
    La somme des misères et des malheurs est toujurs plus importante que celle des (petits) bonheurs et des plaisirs.
    Et, à regarder autour de moi, juste à côté de moi ou en Irak (par exemple), je suis obligée de constater que cela ne s'améliore jamais, pour chacun, en vieillissant.
    Je suis donc nécessairement contrainte à en déduire que l'être humain est destiné (?) à assumer beaucoup PLUS de malheur que de bonheur.
    Et, ce, en toute objectivité.
    Et, comme cela ne s'arrange JAMAIS avec le temps, j'en déduis que c'est une bénédiction que de ne jamais naître. Et, que c'en est une autre que de mourir assez jeune.
    M'en démontreras-tu le contraire ?

  10. #50
    exos Guest

    Par défaut

    Citation Posté par Corinthe
    Je ne fais la morale à personne.
    Où as-tu lu cela ?

    Je dis qu'il est très facile d'être malheureux.
    Et, très difficile, parallèlement d'être heureux.

    Les deux plateaux de la balance ne sont pas équivalents.
    La somme des misères et des malheurs est toujurs plus importante que celle des (petits) bonheurs et des plaisirs.
    Et, à regarder autour de moi, juste à côté de moi ou en Irak (par exemple), je suis obligée de constater que cela ne s'améliore jamais, pour chacun, en vieillissant.
    Je suis donc nécessairement contrainte à en déduire que l'être humain est destiné (?) à assumer beaucoup PLUS de malheur que de bonheur.
    Et, ce, en toute objectivité.
    Et, comme cela ne s'arrange JAMAIS avec le temps, j'en déduis que c'est une bénédiction que de ne jamais naître. Et, que c'en est une autre que de mourir assez jeune.
    M'en démontreras-tu le contraire ?

    corinthe pour les 2 premieres phrases
    ce n'etait pas adresse a toi
    la morale c'etait dans le sens general
    on est ici par exemple en philo
    tout ce que l'on pense il faut le mettre en application

    tu as entierement compris tu t'es apercu de la realite de la situation et tu constates dont impossibilite a changer le monde
    ( bien sur tout le monde reve d'un monde ou tout ne serez que beaute et tendresse)
    cette impossibilite c'est ta volonte
    ta volonte c'est ton ego

    la tu as decouvert le passage mais maitenant tu arrives a dire


    j'en déduis que c'est une bénédiction que de ne jamais naître. Et, que c'en est une autre que de mourir assez jeune.



    la l'arme employee pour t'empecher de te realiser et le decouragement
    la tristesse le renoncement le doute le manque de volonte
    puis hop tu bascules dans la fatalitas
    il t'as eu
    tu n'as meme pas eu le temps de faire le choix et de le mettre en application
    il a gagne tu n'as meme pas commencee a enfiler ton armure de combattante

    fais un choix avec le coeur et tient toi
    ferme et definitif
    contre vent et maree
    tu vas voir ca fait mal
    au dela du mal
    il y a autre chose

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