juste une vague idee comme ça : l'ascétisme, en tant qu'exercice de purification de l'âme de toute souillure charnelle, ne conduit-il pas paradoxalement à une souillure de l'âme elle-même ? A une philosophie du soupçon perpétuel, culpabilisante ?
peut-être utiliser Hegel et la figure de la csce malheureuse perpétuellement déchirée ....