Un sujet annexe a dévié sur la peine de mort et le respect de la vie …

Dans la même veine je vais me permettre un copier coller

Condamnée à perpétuité en 1987 pour l’assassinat du PDG de Renault, Georges Besse, l’ancienne militante d’AD (comme les trois autres membres du groupe) a subi depuis bientôt dix-huit ans un traitement tout particulier en prison. Incarcérée sous le statut de « détenu particulièrement signalé » (DPS), Nathalie Ménigon a eu droit pendant des années au placement à l’isolement, avec droit de visite limité, restriction des parloirs, du courrier, des appels téléphoniques, etc. En 1996, elle est victime d’un premier accident vasculaire cérébral. Puis d’un second en 2001 qui, faute de soins et de suivi médical sérieux, ne sera détecté que plusieurs mois après son déclenchement. Depuis, elle souffre de spasmes à la main et au pied gauche, accompagnés de troubles de l’équilibre. Semi-paralysée, elle se déplace de moins en moins
ce texte parle de Nathalie Ménigon ancienne activiste d’action direct.
Aujourd’hui doit être décidé de sa remise en liberté.
La prison est censé protégé la société d’êtres dangereux, et je suis tout a fait d’accord qu’en sont temps Nathalie Ménigon était dangereuse … mais maintenant ???
Quelles raisons pourrait on invoquer pour ne pas la laisser finir sa vie avec des soins correcte, dans un vrai hôpital …

Je me pose quand même une question Joëlle Aubron a été libérée il y a 6 mois, avec un cancer en phase terminal …
Il n’y aurait pas un léger problème de suivi médical en prison ?